Interrogé sur ses chances d'accéder à Matignon en cas de victoire de François Hollande ainsi qu'une rumeur persistante le soutient depuis plusieurs semaines, il a botté en touche: "Ce n'est pas la peine de spéculer, laissons les Français se prononcer sereinement, nous sommes le 6 mai 2012 et j'espère que ce sera ce soir le début d'une autre histoire". Il a déclaré avoir "bien vécu cette campagne". "Je suis serein, toujours avec un petit stress qui nous anime le jour d'une élection parce qu'on n'est jamais sûr du résultat à l'avance", a-t-il déclaré.