Pour une 75e soirée, plusieurs centaines de citoyens ont marché dans les rues du centre-ville de Montréal pour dénoncer à la fois la hausse des droits de scolarité et l'adoption de la loi 78.
Entre 500 et 750 manifestants – selon divers sources sur place et dans les médias sociaux – ont pris le départ place Émilie-Gamelin au centre-ville de Montréal, vers 21h00, munis de drapeaux rouges et de pancartes.
Sur Internet, l'«Anarchopanda pour la gratuité scolaire» et quelques regroupements étudiants appelaient la population à descendre de nouveau dans la rue pour manifester leur mécontentement.
La 75e manifesation nocture a été déclarée illégale par le Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) seulement une heure après le départ de celle-ci, les autorités n'ayant pas reçu l'itinéraire à l'avance. Le SPVM disait toutefois tolérer l'événement.
Entre 500 et 750 manifestants – selon divers sources sur place et dans les médias sociaux – ont pris le départ place Émilie-Gamelin au centre-ville de Montréal, vers 21h00, munis de drapeaux rouges et de pancartes.
Sur Internet, l'«Anarchopanda pour la gratuité scolaire» et quelques regroupements étudiants appelaient la population à descendre de nouveau dans la rue pour manifester leur mécontentement.
La 75e manifesation nocture a été déclarée illégale par le Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) seulement une heure après le départ de celle-ci, les autorités n'ayant pas reçu l'itinéraire à l'avance. Le SPVM disait toutefois tolérer l'événement.
Les manifestants se sont approchés du pont Jacques-Cartier, fermé en raison des feux d'artifice Loto-Québec, donnant ainsi du fil à retordre au SPVM et à la Sûreté du Québec, dont le siège social est situé près du pont.
LE DEVOIR