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4.12.11

Collision entre un camion et un autocar au Brésil: au moins 36 morts


La route est le principal moyen de transport... (Photo: AP)
Agence France-Presse
Sao Paulo
Une collision entre un camion et un autocar transportant des travailleurs agricoles a fait au moins 36 morts samedi dans l'État de Bahia, dans le nord-est du Brésil, a annoncé à l'AFP un porte-parole de la police de la route.
Une enquête a été ouverte sur cet accident qui a fait également 13 blessés à Milagres, à environ 250 kilomètres de Salvador de Bahia, la capitale de l'État.
L'autocar était «un transport clandestin de passagers. Il ne disposait pas des documents requis. Il transportait des travailleurs agricoles, des coupeurs de canne à sucre depuis l'état du Mato Grosso vers celui de Pernambuco», a précisé le porte-parole de la police.
La collision s'est produite dans la nuit de vendredi à samedi, semble-t-il lors d'un dépassement dangereux. Les premiers éléments de l'enquête n'ont pas permis dans l'immédiat de déterminer quel véhicule était responsable de l'accident.
En raison du caractère clandestin du transport de passagers, la police ne dispose pas d'une liste des passagers de l'autocar, ce qui rend difficile l'identification des victimes dont les corps ont été transportés à la ville de Jequié. Le porte-parole de la police n'a pas pu préciser si le conducteur du camion figurait parmi les victimes.
Selon des témoignages recueillis par la radio CBN, un troisième véhicule a subi une perte de contrôle et est entré en collision frontale avec l'autocar, qui, à son tour, a alors frappé le camion.
La route est le principal moyen de transport au Brésil, qui a l'un des taux les plus élevés de morts dans des accidents de la route avec 18,3 tués pour 100 000 habitants par an, selon les statistiques de l'Organisation mondiale de la santé.

3.12.11

Manifestation contre l'austérité à Bruxelles

Manifestation contre l'austérité à Bruxelles 
Une marée humaine rouge, verte et bleue marche pour manifester contre l'austérité. Les syndicats parlent de 60 à 80.000 personnes. Une journée très compliquée dans et aux abords de la capitale. La voiture est à éviter. Les trains roulent, mais la Stib et les TEC sont partiellement en grève. Les photos
BELGIQUE - LE SOIR

1.12.11

El Vaticano pide abstinencia y la fidelidad contra el Sida



El Pontificio Consejo para los Agentes Sanitarios del Vaticano ha publicado el mensaje con ocasión del Día Mundial contra el Sida en el que destaca que es "fundamental la formación y educación de todos" para promover "un estilo de vida que privilegie la abstinencia, la fidelidad conyugal y el rechazo a la promiscuidad sexual" para luchar contra el virus del Sida.

El dicasterio ha subrayado que este Día Mundial contra el Sida debe ser una ocasión para promover "la educación a estilos de vida que comprendan también un acercamiento correcto y responsable a la sexualidad" y "el acceso universal a las terapias por parte de los contagiados".
El Vaticano ha recordado que el Papa, en la Exhortación Apostólica Africae Munus, subrayó que la formación de las nuevas generaciones en la abstinencia "forma parte de la cuestión del 'desarrollo integral' a la cual tienen derecho las personas y las comunidades".
Terapias adecuadas
Por otra parte, el Pontificio Consejo para los Agentes Sanitarios del Vaticano ha destacado que, "a pesar de que la comunidad internacional ha comenzado a comprometerse contra la infección hace más de 20 años", todavía "se estima que 1.800.000 personas mueren hoy a causa del virus".
Según ha precisado el dicasterio, estas personas "podrían llevar una vida normal, si tan sólo habrían tenido acceso a las terapias farmacológicas adecuadas". El Vaticano ha declarado que estas muertes "no son justificables" al igual "que el dolor de sus familias, la pobreza de sus núcleos familiares, el crecimiento de su marginación y la angustia de los niños huérfanos". Asimismo, ha señalado que también es "injustificable" la transmisión del virus "de la madre al niño, muchas veces víctima antes de comenzar a ver el mundo que le rodea".

30.11.11

Rugby - Père d'IMANOL Harinordoquy dans la bagarre de Biarritz...


Le derby basque a connu une bagarre étonnante: Le père d'Imanol est entré en scène! Bravo, Papy! Même si nous sommes pour l'Aviron, nous disons chapeau bas!

Great Britain - Strike - Public sector workers on the picket lines for day of action


Public sector workers from the GMB, Unite and Unison unions picket outside the Queen Alexandra Hospital in Cosham, near Portsmouth (Pic: PA)

Public sector workers from the GMB, Unite and Unison unions picket outside the Queen Alexandra Hospital in Cosham, near Portsmouth (Pic: PA)
Schools, hospitals, courts and transport were hit by the biggest strike in decades today as up to two million public sector workers staged a walkout.

Teachers, nurses and civil servants joined weather forecasters, botanists and nuclear physicists on picket lines.
Unions reported huge support for the 24-hour walkout in the bitter row over pensions, but warnings of massive delays at Heathrow airport failed to materialise, with passengers saying border controls were "better than usual".
Union officials accused the Government of "ramping up" possible airport disruption and claimed that "under-trained" staff had been drafted in to cover striking immigration and passport workers.
"Some of those on duty today don't have proper security clearance. They are not qualified to do the job properly, which is a concern. We will take this up after the strike ends," said an official from the Public and Commercial Services (PCS) union.
The PCS said reports from picket lines showed a "huge" turnout for the strike, with up to 90% of staff in some Government departments, including Revenue and Customs, taking action.
General secretary Mark Serwotka said: "I have been to pickets around central London and spirits are sky-high, with many other unions besides PCS out on strike.
"People should be very proud of the stand they are making today, in contrast to the shame of the Government. Public sector workers have come together today to show their united opposition to the Government's prolonged and concerted attacks on their pensions, jobs and communities."

Manifestation contre l'austérité vendredi à Bruxelles

© afp
Le front commun syndical FGTB-CSC-CGSLB manifestera vendredi au centre de Bruxelles pour protester contre l'austérité "pour les victimes de la crise". Des milliers de manifestants, provenant des quatre coins du pays, sont attendus dans la capitale.

"Après les arbitrages budgétaires, les craintes syndicales se confirment: l'on constate que l'effort demandé aux plus faibles est largement plus important que celui demandé aux plus aisés. Il y a en effet un déséquilibre entre nouvelles recettes (qui devaient être cherchées du côté du capital) et économies (qui touchent les bas et moyens salaires)", soulignent les syndicats dans un communiqué mercredi. Les syndicats CSC et FGTB ont dénoncé l'accord sur le budget "socialement injuste" selon eux.

Les syndicats avaient annoncé l'organisation de cette manifestation le 15 novembre dernier alors que les négociateurs n'avaient toujours pas trouvé un accord sur le budget fédéral.

Le rassemblement des syndicats est annoncé vendredi à 09h30 près de la gare du Nord où un podium sera installé au coin du boulevard
Bolivar et du Quai de Willebroeck. Les leaders syndicaux Rudy De Leeuw (FGTB), Luc Cortebeek (CSC), Anne Demelenne (FGTB), Claude Rolin (CSC), Jan Vercamst (CGSLB) y prendront la parole à partir de 10h00.

Le cortège quittera ensuite le quartier nord vers 10h30 pour rejoindre la gare du midi en passant par le boulevard Jacqmain, la place De Brouckère, le boulevard Anspach et Lemonnier. La police prévoit de nombreux embarras de circulation au centre de Bruxelles où les tunnels de la petite ceinture seront fermés. La fin de la manifestation est annoncée pour 13h00.

Si une estimation du nombre de manifestants n'est pas encore possible, des militants rejoindront la capitale des quatre coins du pays. La SNCB a notamment prévu des trains spéciaux pour cette manifestation. (belga)
7SUR7 - BELGIQUE

Bolivia disminuyó sus niveles de pobreza e indigencia

Bolivia descendió su nivel de pobreza entre 2002 y 2009, en 8.4%, mientras que el índice de indigencia bajó en 5.9%, de acuerdo con el informe “Panorama social de América Latina 2011”, presentado por la Comisión Económica para América Latina y el Caribe (CEPAL) este martes en Santiago de Chile.
Los datos del Informe de la CEPAL señalan que para el 2002, los índices de pobreza eran de 62,4% y que para alrededor de 2009 ese indicador bajó a 54%, registrando una mejora del orden del 8,4% en los niveles de pobreza en el país.
Respecto a los índices de indigencia, para Bolivia esos datos indicaban para el 2002 un índice de 37,1% de la población, pero para alrededor de 2009 el mismo registra una caída a 31,2% que, en términos generales implica una baja en el porcentaje de indigencia de 5,9%.
Para la CEPAL, “Los diferentes niveles de desarrollo, así como la carga impositiva y el consecuente presupuesto público general y específicamente social, ocasionan grandes disparidades en la cantidad de recursos por habitante que los Estados pueden destinar a áreas sociales como la educación, la salud, la seguridad y la asistencia social, entre otras”.
Otra de las observaciones de la CEPAL concluye que, “en promedio, los países de mayor gasto pueden destinar ocho veces los recursos por habitante respecto de los más restringidos en este ámbito”.
Otro aspecto que destaca el informe “Panorama social de América Latina 2011”, aunque no menciona de manera específica a Bolivia, es que como respuesta a la crisis económica internacional, “los países optaron por expandir transitoriamente su gasto público en vez de contraerlo, como era lo tradicional. Aunque dicha expansión no siempre tuvo un énfasis social, igualmente permitió prevenir el aumento del desempleo y de la vulnerabilidad social”.
Cabe recordar que en semanas pasadas, una polémica entre el Ministro de Economía y Finanzas boliviano con personeros del FMI, se dio en torno a si debe o no debe incrementarse el gasto público y no contraerlo. La autoridad boliviana puso énfasis en que las políticas adoptadas incluían un mayor gasto público, en lugar de “frenar” el mismo.
EL MUNDO - BOLIVIA

Venezuela - ?Elecciones sin Chavez?

Secretario ejecutivo de la MUD, Ramón Guillermo Aveledo
La oposición venezolana está preparada para enfrentar en las elecciones de 2012 a un candidato del gobierno distinto del mandatario Hugo Chávez, quien asegura recuperarse de un cáncer, dijo este martes el portavoz de la coalición de fuerzas opositores en Brasilia.

El coordinador de la llamada Mesa de Unidad Democrática (MUD), Ramón Aveledo, hizo la afirmación a propósito de los rumores sobre un eventual deterioro de la salud del líder venezolano.

"Estamos preparados para la eventualidad de que el presidente de la República sea candidato a la reelección, que es obviamente su preferencia personal, pero también preparados para que haya otro candidato del gobierno", señaló Aveledo a la prensa extranjera.

El dirigente reconoció que existen muchos rumores sobre la salud de Chávez debido a la falta de información oficial detallada, pero que en Venezuela nadie sabe con certeza cuál es el verdadero estado del presidente.

"Estoy más enterado, como cualquier venezolano, de los padecimientos que sufrió el ex presidente Fidel Castro (alejado del poder en 2006 por enfermedad, ndlr) que los que tiene nuestro presidente", dijo.

Aveledo agregó que la oposición venezolana, "cualquiera sea la circunstancia", apoyará sólo una sucesión presidencial apegada a las normas constitucionales. El dirigente venezolano inició una visita de tres días Brasilia para reunirse con políticos y congresistas brasileños.

Chávez, de 57 años, fue operado de un tumor maligno en junio en Cuba y a finales de septiembre concluyó su tratamiento de quimioterapia luego de cuatro sesiones.

El jefe de Estado, en el poder desde 1999, aspira a ser reelecto para un tercer mandato en las elecciones presidenciales del 7 de octubre de 2012, para las cuales asegura que estará plenamente recuperado.

29.11.11

Le maître au firmament

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En remportant son sixième Masters, un record absolu, Roger Federer a couronné dimanche une fin de saison exceptionnelle marquée par des victoires à Bâle, Paris et Londres. «C'est un rêve», a commenté le Bâlois, qui termine l'année à la 3e place du classement mondial.

Roger Federer s'est imposé 6-3 6-7 (6/8) 6-3 en finale du Masters face à Jo-Wilfried Tsonga, pour lequel les dimanches se suivent et se ressemblent. C'est le troisième dimanche de suite qu'il perd contre Roger Federer après la finale de Bercy et le premier match du round-robin dans cette O2 Arena que Roger Federer a fait sienne.

Devant un public tout acquis à sa cause et qui lui aura réservé samedi et dimanche deux belles «standing ovations», Roger Federer a cueilli son septantième titre, son sixième dans ce tournoi des Maîtres dont il est aujourd'hui le seul détenteur de victoires. Le seul autre tournoi dans lequel il s'est imposé à six reprises est... Wimbledon.

Ce succès a été acquis au terme d'un match riche en rebondissements mais qui ne fut pas d'une qualité exceptionnelle. Roger Federer a, en effet, servi pour le gain de la partie à 6-3 5-4. Il a ensuite bénéficié d'une balle de match dans le tie-break. Son grand mérite fut de repartir au combat en oubliant très vite l'issue de ce deuxième set qu'il n'aurait jamais dû perdre.
SWISSINFO

28.11.11

Football - Le PSG prend la leçon à MARSEILLE

A l'image d'un Pastore de nouveau transparent, les individualités parisiennes ont encore déçu contre Marseille, dimanche.(EQ)
A l'image d'un Pastore de nouveau transparent, les individualités parisiennes ont encore déçu contre Marseille, dimanche.(EQ)
C'est une crise que lui envieraient certainement beaucoup de ses concurrents. En ne remportant aucun de ses trois derniers matches de L1, le Paris-SG s'est encore débrouillé pour alimenter les discussions autour de cette crise qu'il s'offre traditionnellement au mois de novembre. Bien sûr, le club de la capitale n'accuse que trois longueurs de retard sur le leader montpelliérain. Mais sa déb,cle à Marseille (0-3), dimanche, a fait ressurgir quelques doutes sur sa capacité à se muer en cette équipe censée tout écraser sur son passage. La faute à Leonardo qui a fragilisé l'équipe tout seul en entretenant un climat de défiance à l'égard d'Antoine Kombouaré ? Sans doute un peu, mais pas seulement. A l'exception d'un succès probant contre Lyon (2-0) le 12 octobre dernier, Paris n'a jamais dévoilé un niveau de jeu conforme aux espérances de ses nouveaux propriétaires. Seuls les coups d'éclat de ses individualités lui avaient permis de donner le change.

Un manque de caractère

C'est une certitude : Paris ne souffre pas d'un déficit de talent. Ces dernières semaines, la faillite de son quatuor offensif Ménez-Pastore-Nene-Gameiro a toutefois pointé du doigt des manques plus ennuyeux. Manque de cohésion à l'image d'une altercation Nene-Bodmer, trois jours avant le Clasico, ou encore d'une prise de bec Nene-Sakho en plein match. Manque d'agressivité, ce qui est souvent perçu comme de la suffisance. Manque de caractère également comme en témoigne cette absence de révolte après l'ouverture du score de Rémy. En dehors de Sakho et Sissoko, aucun joueur parisien n'a affiché les valeurs de combativité que requiert un tel choc. «On a perdu au mental», pouvait se désoler Blaise Matuidi dans les couloirs du Vélodrome. «Marseille a joué avec la rage et la détermination, complétait Salvatore Sirigu. C'est ça la différence entre l'OM et nous en ce moment».

Pastore passe encore à côté

Le plus inquiétant dans l'histoire, c'est que certains Parisiens semblent encore se voiler la face. Il fallait entendre, à la fin du match, Jérémy Ménez louer les occasions que se seraient apparemment procurés ses équipiers... Bon d'accord, il y a eu cette frappe de Sissoko sur le poteau de Mandanda, mais sinon ? Alors qu'il s'était targué la semaine précédant ce match de toujours répondre présent lors des grands évènements, Pastore est passé à côté, encore... L'Argentin ne s'est montré qu'une seule fois décisif depuis la venue de Lyon, et la thèse de la fatigue qu'il a lui-même avancée ne peut plus expliquer à elle seule son trop grand déchet technique. Quant à Gameiro, qui n'a plus marqué depuis cinq journées, il n'a encore eu aucun bon ballon à se mettre sous la dent. Passablement énervé lors de son remplacement, l'ancien Lorientais lâchera plus tard : «je ne parle pas, on a été nuls». «Et s'ils jouaient ensemble ?», interrogeait L'Equipe deux jours après un nul décevant à Bordeaux. La solution passera peut-être par là.

L'EQUIPE