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12.7.12

Aviron Bayonnais : "Le plus vite possible dans le top 6"


Christian Lanta et Christophe Deylaud poursuivent leur aventure commune à Bayonne

Ambitieux mais réaliste aussi : c’est le ton du discours tenu ce mardi midi par Christian Lanta, le nouvel entraîneur de l’Aviron Bayonnais et Christophe Deylaud, son adjoint, à l’occasion de la reprise de la saison.
"Il serait prétentieux de dire que nous allons terminer dans les quatre premiers avec une équipe qui a fini à la douzième place, a estimé Lanta. Mais on a l’ambition d’intégrer le top 6 le plus vite possible. Il faut d’abord mettre les moyens en route, réussir notre préparation et les objectifs viendront naturellement."
Après douze années passées à Agen (1998-2006 puis 2008-2012), Lanta (59 ans) a affirmé qu’il abordait cette nouvelle aventure avec "l’envie de vivre une très belle expérience et de réussir. Bayonne, c’est le choix d’un club traditionnel, avec une grande histoire qui correspond à ce qu’on aime faire. A Agen on touchait à nos limites. A Bayonne, il y a un contexte, un effectif, un club , un public qui peuvent nous aider à réaliser quelque chose de bien sportivement."
C’est aussi le message qu’a fait passer Christophe Deylaud, l’inséparable -ou presque- binôme de Lanta depuis 2001. "On sait qu’on va être confronté à une exigence de résultats plus forte qu’à Agen vu l’effectif dont nous disposons. On va essayer de figurer rapidement parmi les équipes qui joueront le haut du tableau."
L’Aviron Bayonnais qui a achevé le Top 14 à la douzième place, a repris l'entraînement ce matin sans une partie de ses internationaux. Quatre matches de préparation seront à son programme. D’abord à Jean-Dauger face au Stade Français le 20 juillet, puis à Narbonne contre Montpellier le 27 juillet, face au Biarritz Olympique à Saint Sébastien le 3 août, et enfin à domicile contre l’Ulster le 9 août.
SUD-OUEST

13.5.12

Castres-Bayonne : L'Aviron est allé au bout!

Le capitaine du Castres Olympique, pris par le Bayonnais Dwayne Haare.


Ils partirent 500. Et sans même un prompt renfort, ils se virent 3000 arrivés au stade Pierre-Antoine. Ou du moins, les supporters de l'Aviron Bayonnais ont fait du bruit comme s'ils étaient six fois plus hier dans le Tarn. Et c'est vers eux, ces fidèles qui ont fait l'aller-retour en bus (pour la plupart) dans la journée pour soutenir les leurs, que Didier Faugeron et ses joueurs ont pensé en premier. « Pour notre public, pour tous ces gens-là, qui se sont déplacés, il fallait qu'on soit exigeant. C'était une question de respect », a déclaré le désormais ex-entraîneur de l'Aviron Bayonnais.
Si le maintien n'était officiellement pas acquis avant cette dernière journée du Top 14, Bayonne, officieusement, avait la semaine passée gardé sa place dans l'élite. Mais dans la semaine, le mot d'ordre était le suivant : pas question de laisser filer. La sortie devait se faire tête haute, et si possible sans prendre une danse sur la pelouse de Pierre-Antoine. Afin de ne rien regretter, de ne pas laisser s'instiller un certes plus qu'hypothétique doute, l'Aviron devait prendre un point. Ce qui fut fait. « On a tout donné sur ce dernier match, insiste l'ailier international Yoann Huget. Plus personne ne peut nous reprocher quoi que ce soit ». En prenant un point donc, dans les arrêts de jeu par un essai de l'inévitable Sam Gerber, Bayonne n'a en effet pas eu besoin de Clermont, qui a rossé Brive (57-14), pour se sauver définitivement.
« La fin d'une aventure » Ce match, hier, dans une ambiance parfois proche de celle de Jean-Dauger, eu égard à la présence basque en tribunes, est finalement une mise en abyme de la saison bayonnaise. Quand juste avant la pause Castres mène 23-0 grâce à deux essais de son pilier gauche Taumoepau (23e, 36e), personne ne donnait cher des ambitions « avironardes » de glaner un point. Mais Dwayne Haare et ses camarades s'étaient fait une promesse avant la rencontre. Les derniers mots, prononcés sans Didier Faugeron, qui, pris par l'émotion a préféré rester sur la pelouse, étaient ceux-là : « On donne tout, pendant 80 minutes. On ne lâche rien ». C'est Sam Gerber qui parle.
Mené 23-12 à la pause, Bayonne va rester dans le coup grâce à Boyet (40e, 51e). Puis va se laisser à nouveau distancer quand Forestier signe le troisième essai, synonyme de bonus pour Castres (31-15, 64e). Alors que le money time se rapproche, Bayonne ne s'affole pas, continue à mettre du volume, tant dans les rucks que dans le jeu. Sans pression particulière, si ce n'est celle de bien figurer, l'Aviron se libère. Trois minutes après l'essai castrais, Flavell, repositionné en troisième ligne déchire la défense tarnaise. Audy est au relais pour servir Huget qui marque sous les poteaux (67e). L'objectif de prendre au moins un point, redevient alors réalisable (31-22). Alors que les minutes filent, comme les journées de championnat plus tôt dans la saison, Bayonne est toujours dans le coup. Pas décroché pour atteindre son but.
Juste avant que la sirène ne résonne, M. Cloute siffle une dernière mêlée, pour Bayonne qui joue plutôt que de taper en touche. Le ballon est perdu. Quelques instants seulement car Gerber ramasse un ballon perdu et file dans l'en-but (31-29, 82e), alors que le temps réglementaire est terminé. Didier Faugeron, grand artisan du maintien, ne cache pas sa joie. « C'est la volonté, le courage, la persévérance qui ont fait qu'on est allé au bout ». Plus tard, il dira avec dans la voix un peu de tristesse : « C'est la fin d'une aventure ». Un peu trop tôt à son goût. « J'aurais aimé qu'il reste quelques matches supplémentaires… ».
SUD-OUEST

12.5.12

Rugby - L'Aviron Bayonnais gagne le droit de rester dans le "Top 14"


Castres a fait le métier - Rugby - Top 14

Castres s'assure le barrage à domicile. L'objectif de cette dernière journée est en effet pleinement rempli pour le Castres olympique. De son côté , l'Aviron bayonnais peut aussi repartir satisfait du stade Pierre-Antoine. Dès l'entame de la partie, les Bayonnais prenaient le jeu à leur compte et se montraient plus dangereux. Plus offensifs et plus réalistes avec une première pénalité passée par Boyet (1e, 0-3) à la suite de la première incursion des siens dans le camp des locaux du jour. Dans une première période hâchée, la faute à un temps pluvieux ,un véritable chassé-croisé de buteurs s'amorçait entre Boyet et Bernard (6-9) successif à une multitude de fautes de part et d'autre.
Le réveil castrais intervenait peu après la vingtième minute de jeu avec un essai inscrit par le pilier Taumoepeau (23e, 13-9). Profitant de ce regain de forme, Teulet enfonçait le clou par une pénalité (34e, 16-9). Face à des Bayonnais en difficulté notamment en touche, les Castrais désormais en confiance marquaient un second essai par le biais de Taumoepeau pour son doublé (36e, 23-9). Mais les Basques étaient loin de se laisser abattre et Boyet réduisait la marque juste avant la pause (40e, 23-12).
L'indiscipline bayonnaise
Au retour des vestiaires, les Bayonnais prenaient cette seconde période par le même bout que la première. Boyet passait en effet une nouvelle pénalité (50e, 23-15) permettant à son équipe de recoller au score. Dans une seconde mi-temps tout aussi entâchée par de multiples fautes, Bernard lui répondait quelques minutes plus tard (58e, 26-15). Et l'indiscipline commençait à coûter pour l'Aviron bayonnais avec Gerber qui écopait d'un carton jaune. La sanction était alors immédiate pour les hommes de Didier Faugeron qui encaissaient un essai par Forestier (64e, 31-15). Profitant d'un certain relâchement de la part du CO, les Bayonnais montraient de nouveau un visage offensif en toute fin de partie avec la marque de deux essais. Via Huget (66e, 31-22), auteur de son dernier essai sous les couleurs ciel et blanc, puis Gerber (81e, 31-29).
Grâce à ce succès et profitant de la défaite de Montpellier à Toulouse, Castres gagne le droit de disputer son match de barrage à Pierre-Antoine pour la deuxième saison consécutive. Pour sa part, Bayonne repart des terres castraises avec un point de bonus défensif. Les Basques sont désormais assurés de jouer dans l'élite la saison prochaine.
MIDI OLYMPIQUE 

5.5.12

Tout bonus pour Bayonne


Tout bonus pour Bayonne - Rugby - Top 14

Bayonne décroche son premier bonus offensif de la saison contre Agen (31-10) et profite du revers de Brive pour entrevoir le maintien. Mieux, l'Aviron, après une saison galère, possède cinq unités d'avance sur le CABCL. Il faudrait une catastrophe pour que Bayonne soit relégué. Agen est maintenu.

Il aura fallu attendre la dernière rencontre à domicile pour voir Bayonne décrocher enfin son premier bonus offensif cette saison. Une victoire à cinq points devant Agen (31-10) intervenue au meilleur moment pour l'Aviron, qui effectue ainsi un pas de géant vers le maintien. Le public de Jean-Dauger en était d'ailleurs conscient. La sirène n'avait pas encore retenti qu'il exultait et communiait déjà avec ses protégés, alors que les écrans du stade signalaient la défaite de Brive, synonyme d'une avance de cinq points pour l'Aviron sur son principal concurrent avant d'aborder la dernière journée. Une joie d'autant plus intense qu'elle faisait suite à une extrême crispation dans une rencontre où les deux équipes à la lutte pour se sauver ont montré de belles intentions et mis beaucoup d'engagement tout en se respectant.
Crispation car Bayonne avait tardé à concrétiser l'ultra-domination de son pack, véritable rouleau-compresseur notamment en mêlée. Une incapacité à conclure symbolisée par deux longues séquences interminables sur la ligne lot-et-garonnaise: au quart d'heure de jeu, après une série de mêlées enfoncées, occasionnant d'ailleurs un carton jaune contre Telefoni (17e), Roumieu était finalement sanctionné pour avoir rampé et le SUALG pouvait se dégager ; rebelotte en toute fin de période, même si cette fois l'issue s'en trouvait plus heureuse pour les Basques puisque Gerber profitait finalement d'une pénalité vite jouée pour aller aplatir (7-3, 38e). Mais c'est pourtant Agen, qui avait mené au score pendant presque toute la mi-temps grâce à une pénalité précoce de Barnard (6e), qui virait en tête à la pause (7-10). Dulin profitait d'une déconcentration de l'arrière garde bayonnaise pour prolonger un coup de pied à suivre de Vaka et aller à l'essai sur la sirène. Jetant un véritable coup de froid dans les travées de Jean-Dauger.
Le pack fait la différence
Car d'aucuns auraient pu croire que Bayonne avait laissé passer sa chance. Mais toujours en profitant de la supériorité de ses avants, l'Aviron allait finalement faire la différence assez vite au retour des vestiaires. Une nouvelle série de mêlées maîtrisées permettait à Roumieu de conclure en force (47e). Les Ciel et Blanc avaient fait le plus dur. D'autant qu'en face, Agen baissait le pied physiquement. Les hommes du duo Lanta-Deylaud - écarté pour cette rencontre car ils entraîneront l'Aviron la saison prochaine - continuaient ainsi à subir devant, écopant d'un carton jaune (Faasoso, 50e) et concédant dans la foulée un essai de pénalité... à la suite d'une mêlée. La cause était entendue (24-10).
Car bien que ne renonçant pas, Agen se désorganisait et se montrait toujours aussi impuissant face à la puissance adverse. Puissance symbolisée par le guerrier Boutaty, fer de lance du pack bayonnais, qui inscrivait l'essai du bonus (60e). Cinq précieux points que les Basques s'appliquaient à conserver dans une fin de rencontre assez décousue. Une petite échauffourée à la fin du match masquait la joie des deux camps, le SUALG ayant également assuré son maintien au bénéfice des autres résultats de cette 25e journée. Un sauvetage qui n'est pas encore officiel pour l'Aviron, mais qui est désormais tout proche.

21.4.12

Bayonne descend Lyon


Lyon en Pro D2 - Rugby - Top 14

Au terme d'un incroyable suspense, Bayonne s'impose sur le fil à Lyon (20-19) et envoie le club rhodanien en Pro D2. Enorme déception pour le Lou qui menait de douze points à la pause. C'était sans compter sur le réveil des Basques qui reviennent à égalité de points avec Brive pour le maintien.
Pour chacune des deux formations du jour, c'était le match qu'il ne fallait pas manquer. A fortiori pour des Bayonnais aux abois qui ont désespérément besoin de points pour espérer se maintenir en Top 14 l'année prochaine. Pour Lyon, qui avait effectué dix changements sur la feuille de match, une victoire était vitale afin de garder un espoir infime pour se maintenir parmi l'élite.
C'est un match en deux temps auquel nous avons assisté, avec des Bayonnais très tranchants sur le début de rencontre et qui voulaient marquer l'adversaire physiquement. Un engagement qui s'est trouvé récompensé peu de temps après le coup d'envoi, Huget qui s'en allait pointer en terre promise (3e). Un essai en contre superbe de 70 mètres initié par Guillaume Bernad, qui trouvait Gerber plein champ et qui se terminait par un judicieux coup de pied à suivre de Mazars dans l'en-but pour l'ailier international. Mais ce fut bien tout pour le jeu bayonnais en cette première période. Car il faut bien dire que ce sont les Lyonnais qui se sont illustrés par un essai du jeune et prometteur Suchier tout d'abord (14e), consécutivement à un petit coup de pied dans la boite de Mickaël Forest. Le mauvais rebond mettait Cédric Heymans dans le vent, permettant à l'arrière lyonnais d'aplatir. Et ensuite par leur botteur Lee Thomas, qui profitait des très nombreuses fautes bayonnaises pour faire grimper le compteur des hommes de Raphaël Saint-André (18e, 26e, 30e et 40e). Un score de 19-7 acquis à la pause, qui n'augurait rien de bon pour les Basques qui s'enferraient dans un jeu trop restrictif et trop prévisible pour mettre à mal l'excellente défense du LOU. La rechute sur blessure de leur capitaine Marc Baget (23e) n'arrangeant pas les choses.
Boyet donne un avantage décisif
Mais au retour des vestiaires, le vent avait tourné. Ce sont les Bayonnais qui prenaient enfin le jeu à leur compte, se sortant enfin de la pression que l'on ressent quand on joue pour ne pas perdre. Un état d'esprit retrouvé qui fut récompensé dès la 47e minute, grâce à un essai de l'excellent O'Connor. Un essai qui doit encore beaucoup à Lional Mazars, dont le coup d'oeil pour repérer l'absence de second rideau rhodanien lui permit de délivrer une nouvelle passe au pied pour son ailier, qui s'en allait marquer après une course le long de la touche. Les avants jouaient enfin groupés en accumulant les mauls perforants pour mettre la défense lyonnaise à la faute. Potgieter et Boyet se chargeant de convertir les occasions en points afin de permettre aux Basques d'espérer (44e, 71e). A l'entrée des dix dernières minutes, ce sont finalement les Bayonnais qui prenaient le contrôle du match, pour ne plus le lâcher. Une mi-temps pour cheque équipe pour un destin différent: tandis que le LOU est lui officiellement en Pro D2, Bayonne a gagné le droit de rêver à un maintien en Top 14 qu'il faudra aller chercher avec le même mental que ce samedi.

14.4.12

Rugby: Bayonne fait de la résistance



Bayonne a remporté le derby basque face à Biarritz, samedi lors de la 23e journée du Top 14. (L'Equipe)

Victorieux du derby basque face à Biarritz (24-19), Bayonne s'offre des points précieux en vue du maintien. L'Aviron joue aussi un mauvais tour à son voisin, qui devra patienter pour assurer sa présence en Top 14 l'an prochain. 

10.4.12

Derby basque : Le compte à rebours est lancé


L'Aviron risque d'être privé de Marc Baget...|| PH. JEAN-DANIEL CHOPIN

Aviron Bayonnais (13e, 34 points)
Le contexte. Plus d'une semaine après la sévère déconvenue récoltée sur la pelouse de Perpignan (47-9), l'Aviron Bayonnais entame la dernière ligne droite vers un derby décisif pour le maintien. Avant dernier à 6 points de l'Usap, son bourreau de la journée précédente, les Bayonnais n'ont d'autre alternative que de battre le Biarritz Olympique pour espérer encore évoluer en Top 14 la saison prochaine.
L'infirmerie. Pour cette rencontre déterminante, les entraîneurs Didier Faugeron et Denis avril devraient se passer de Marc Baget, victime d'une entorse acromio- claviculaire à Perpignan, et de l'ouvreur Benjamin Boyet, très incertain. En revanche, le 2e ligne Mark Chisholm et le 3e ligne Dwayne Haare, absents la semaine dernière seront opérationnels pour accueillir le voisin biarrot. Les joueurs et l'encadrement seront à huis clos en fin de semaine.
Le calendrier. Après le derby, l'Aviron se rendra à Lyon, recevra Agen, puis ira à Castres.
  • Biarritz Olympique (10e, 42 points)
Le contexte. En battant les Wasps samedi à Londres (23-26), le BO s'est donné le droit de jouer une demi-finale européenne cette saison. Il se rapproche ainsi d'un nouvel objectif : remporter le Challenge européen pour rejouer la « grande » Coupe d'Europe la saison prochaine. À Londres, le BO a gagné pour la 5e fois d'affilée (quatre en enTop 14, une en Challenge) et est redevenu, sous la baguette de Dimitri Yachvili, une équipe conquérante. Samedi, dans le derby basque, les Biarrots auront l'occasion de définitivement sauver leur place en Top 14.
L'infirmerie. Le Biarritz Olympique pourra compter sur les retours de Damien Traille, Jérôme Thion et Arnaud Héguy, mais devra peut-être se passer de Marcelo Bosch (lumbago), Wenceslas Lauret (ischio-jambiers) et Takudza Ngwenya (épaule) tous les trois touchés samedi à Londres.
Le calendrier. Après le derby, le BO recevra le Racing, ira à Montpellier, puis recevra le Stade Français

30.11.11

Rugby - Père d'IMANOL Harinordoquy dans la bagarre de Biarritz...


Le derby basque a connu une bagarre étonnante: Le père d'Imanol est entré en scène! Bravo, Papy! Même si nous sommes pour l'Aviron, nous disons chapeau bas!