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14.11.11

Sondages : pourquoi Sarkozy ne décolle pas


 


Le dernier en date (Ipsos/France-Télévisions/Le Monde) est à peu près aussi décevant pour le président sortant que les précédents. François Hollande mène le bal, Nicolas Sarkozy progresse un peu, et Marine Le Pen reprend des couleurs. Même s’il est jugé « crédible » sur sa gestion de la crise, Nicolas Sarkozy ne décolle pourtant pas. A six mois du premier tour, les carottes sont-elles cuites ?

Pas sûr, certes. Mais ça sent le brûlé. Certes, le président sortant relève un peu la tête avec 24% d’intentions de vote au premier tour (+3%). Mais son challenger socialiste enregistre la même progression, avec 12 points de plus ! Et même si un Français sur deux reconnaît qu’il n’a pas encore fait son choix, l’affaire paraît bien mal engagée. Au point d’ailleurs de favoriser le retour en grâce de Marine Le Pen qui affiche, elle aussi, une progression de 3%. Pas de jaloux.
Pourtant, à y regarder de plus près, 37% des personnes interrogées estiment que Nicolas Sarkozy est le plus à même de « réduire les déficits et la dette ». François Hollande n’est pas loin derrière (36%) mais il perd 7 points dans la bataille : la gauche n’a pas bonne réputation dans ce registre. Du reste, 40% des Français estiment que la politique menée par la droite depuis 2002 est « plus responsable » que celles menées par Lionel Jospin et François Mitterrand (30%).
Mais alors, qu’est-ce qui cloche ?
(Bye, bye, triste clown...)

13.11.11

Les "marchés"... fait chier...MERDE!!!

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"ils se coucheront sous la révolte du Peuple"...comme toujours...

Marchkel: Marchés, marchés...ou MERRKADOS!!!




La chancelière allemande Angela Merkel souhaite accélérer la révision du traité régissant le fonctionnement de l'Union européenne et souhaite que les 27 pays membres donnent à ce projet leur feu vert d'ici à la fin de l'année prochaine, a-t-on déclaré, dimanche, de source gouvernementale à Berlin.
La chancelière a marqué des points en octobre en obtenant que l'Union européenne envisage d'amender le traité de Lisbonne, qui a été adopté après plus de huit années de négociations. Selon Angela Merkel, il est cependant nécessaire de réformer ce traité si l'UE veut se doter d'un mécanisme permanent de gestion des crises financières.
L'Allemagne souhaite que des propositions concrètes de réforme du traité soient prêtes au plus tard au printemps 2012 afin qu'une "convention gouvernementale" puisse être convoquée. "Le gouvernement (de Berlin) fait pression en faveur d'un amendement limité du traité afin de donner à l'UE plus de poids face aux États qui négligent les règles budgétaires. (...) Cela devra être réalisé d'ici à la fin 2012", a-t-on déclaré de source gouvernementale allemande à Reuters.

Fukushima



Les autorités japonaises ont ouvert samedi les portes de la centrale nucléaire de Fukushima à un groupe de journalistes pour la première fois depuis le tsunami du 11 mars, voulant ainsi prouver que l'accident nucléaire est désormais sous contrôle.
Vêtus de combinaisons intégrales antiradiations, le visage protégé par un masque respiratoire, munis de deux paires de gants, une trentaine de reporters, dont quatre représentants de médias étrangers, ont été conduits à bord de deux autobus jusqu'au site atomique.

Doses intenses de radiations

Après avoir traversé les villes fantômes situées dans la zone interdite des 20 kilomètres, vidées de leurs habitants après l'accident, les journalistes ont constaté que le niveau de radioactivité était déjà de 20 microsieverts par heure aux portes de la centrale.
A mesure que les véhicules s'approchaient des réacteurs, le niveau est monté rapidement, atteignant même au coeur d'une forêt de pins le record de 1.000 microsieverts, soit un millisievert par heure, ce qui correspond à la dose annuelle maximale imposée en temps normal au Japon et dans la plupart des pays.
Un journaliste a raconté que le bâtiment abritant le réacteur numéro 3 était le plus endommagé, avec tout autour des carcasses de camions, des barrières métalliques tordues et des réservoirs d'eau éventrés.


L'image du jour 13-11-2011

"Shock of Peace" opération mains propres à Rio de Janeiro

L’introduction du programme de maintien de la paix à Rio de Janeiro fait partie de l’effort mené par l‘état pour s’attaquer au crime et assurer la sécurité en préparation de la Coupe du Monde de football de 2014 et des Jeux Olympiques de 2016. REUTERS / Sergio Moraes

La révolte contre les "Marchés"

Les citoyens finiront par se révolter contre la "dictature de fait" des marchés financiers depuis le début de la crise de la dette en zone euro, a déclaré le président de l'Autorité des marchés financiers (AMF), Jean-Pierre Jouyet, dans un entretien au Journal du dimanche.
Les marchés "ont fait pression sur le jeu démocratique", a-t-il expliqué, soulignant qu'avec le départ du président du conseil italien, Silvio Berlusconi, "c'est le troisième gouvernement qui saute à leur initiative pour cause de dette excessive".
Avant le renoncement de M. Berlusconi, son homologue grec Georges Papandréou en avait fait de même, mercredi soir. En novembre 2010, le Premier ministre irlandais Brian Cowen avait lui aussi été contraint d'annoncer son départ en février 2011, après la mise en place d'un plan d'aide d'urgence à son pays.
"Pour les marchés, Silvio Berlusconi n'était plus l'homme de la situation et l'envolée des taux d'intérêt de la dette italienne a été leur bulletin de vote", a analysé M. Jouyet, observant que "Nicolas Sarkozy, à l'inverse, est plutôt bien noté pour le moment".
Interrogé sur l'envoi jeudi, par erreur, d'un avis de dégradation de la note de la France par l'agence Standard and Poor's, M. Jouyet a estimé que, pour les grandes agences de notation, "la dette souveraine est devenue un produit d'appel et de notoriété". L'AMF a annoncé jeudi soir avoir ouvert une enquête sur l'erreur de Standard and Poor's.

Le village des nostalgiques de Mussolini


Portrait non daté de Benito Mussolini.


“Nous venons rendre hommage à cet homme pour ses idées, les plus européennes, les plus méditerranéennes et les plus originales” déclame Giulio Tam, un prêtre catholique traditionnaliste.
Voilà ce qui se passe à Predappio, trois fois par an, pour commémorer le jour de la naissance de Benito Mussolini (le 29 juillet 1883, dans une maison non loin du cimetière), sa mort (aux mains des partisans, le 28 avril 1945) et ce que l'on appelle la marche sur Rome, qui a mené son parti au pouvoir en octobre 1922.
Ils sont venus le mois dernier en car, de Turin à Palerme, en pèlerinage jusqu'à la tombe de l'ancien dictateur fasciste, qui reçoit entre 80.000 et 100.000 visiteurs par an.
“C'est comme aller à la basilique Saint-Pierre pour les chrétiens, sauf qu'ici certains portent un fez”, indique Gianni, un Turinois. Il parle du chapeau de feutre noir en forme de cône tronqué devenu un élément de l'uniforme des chemises noires fascistes, porté ici par quelques jeunes gens tirés à quatre épingles.
D'autres sont venus en témoignage d'une époque où, croient-ils, l'Italie, contrairement à aujourd'hui, jouait un rôle important dans le monde.
“L'Italie a besoin d'un changement significatif, nous sommes aux mains de politiciens qui sont indignes d'avoir été élus, affirme Enrico Cozzani, propriétaire d'une entreprise de sécurité à Lucques. Nous sommes la risée de l'Europe.”
Après l'assassinat de Mussolini, la décision est prise de dissimuler sa tombe pour éviter que ses partisans en fassent un mémorial.
Après son exécution, le 29 avril 1945, à Milan, son cadavre est accroché à un croc de boucher, puis il est enterré dans une tombe anonyme d'un cimetière voisin. Un an plus tard, des loyalistes néofascistes déterrent sa dépouille et le cachent dans un couvent en Lombardie jusqu'en 1957, lorsque les restes sont rendus à la veuve de Mussolini, qui les enterre dans la crypte familiale à Predappio.
En vérité, les efforts des autorités italiennes pour cacher le lieu de sa sépulture se sont retournés contre elles, son emplacement suscitant rapidement d'intenses spéculations. “Un cadavre qui n'est nulle part est partout”, affirme Sergio Luzzatto, historien à l'université de Turin, auteur d'Il Corpo del Duce, ouvrage sur les vicissitudes du cadavre.
Un musée des souvenirs du Duce a été ouvert en 2001 par Domenico Morosini, un homme d'affaires lombard, dans une ancienne villégiature de Mussolini.
Entre 2 000 et 3 000 visiteurs s'y rendent tous les ans et il pourrait en attirer plus, mais son fondateur a du mal à le promouvoir. Les panneaux de signalisation qui indiquent le musée “sont en permanence renversés par les gauchistes”, dit-il.
Giorgio Frassineti, maire de centre gauche de Predappio, préférerait éviter ce tourisme.
“Nous refusons une vision de Predappio réservé aux rares fidèles, à ceux qui assistent aux commémorations, mais aussi celle de l'extrême gauche qui voudrait effacer son histoire, explique-t-il. Ils empêchent un autre type de tourisme.”

La fin du mafieux Berlusconi



Berlusconi, c'est fini. Samedi après-midi, les députés italiens ont définitivement adopté les mesures anti-crises promises à l’Union européenne pour réduire la dette de leur pays. Le texte a recueilli 380 voix pour, 26 contre et deux abstentions. Ce vote de la Chambre, après celui du Sénat vendredi, était la condition de Silvio Berlusconi pour remettre sa démission au président de la République, Giorgio Napolitano. Celle-ci est intervenue peu après 21h30, après que le Cavaliere se soit rendu au palais présidentiel, sous les huées des Italiens présents sur place. Avant cela, un dernier conseil des ministres s'était tenu pour acter le départ définitif du dirigeant de 75 ans. La présidence du Conseil italien devrait désormais revenir à l’ancien commissaire européen, Mario Monti.

12.11.11

Rosa Ferrer és condecorada com a Gran Oficial de l'Ordre de l'Infant de l'Ambaixada de Portugal



L'ambaixador de Portugal, Mario Damas Nunes, ha fet entrega, aquest dijous al vespre de la condecoració de Gran Oficial de l'Ordre de l'Infant a la cònsol major d'Andorra la Vella, Rosa Ferrer.
Damas Nunes ha explicat que va sol·licitar al primer ministre portuguès, Aníbal Cavaco Silva, condecorar a la cònsol per la seva tasca al costat de la població i el seu suport a les comunitats residents, com és la portuguesa. La cònsol s'ha mostrat emocionada de rebre el reconeixement i ha expressat que 'no sé perquè me'l donen a mi'.
L'ambaixador de Portugal, Mario Damas Nunes, ha explicat que la decisió de donar la condecoració a la cònsol major d'Andorra la Vella, Rosa Ferrer, va ser presa per l'actitud que sempre ha tingut de col·laboració amb la comunitat portuguesa.
Damas Nunes ha dit que 'de totes les persones que treballen amb nosaltres, que sempre ha tingut una paraula de comprensió, d'acceptar la diferència i integrar-la socialment, culturalment i políticament a la parròquia, Rosa Ferrer ho fa d'una manera única'.
Per la seva banda, Rosa Ferrer, ha agraït emocionada la condecoració i ha dit que creia que no feia res d'excepcional, si no que quan els han demanat col·laboració 'sempre hem estat a la seva disposició, però per a mi forma part de la responsabilitat institucional que em toca assumir'. Ha afegit que sempre, des del Comú, han intentat satisfer les necessitats i demandes fetes per part de la comunitat portuguesa.
Durant el discurs de la cònsol major, que ha acabat amb la lectura en portuguès d'un poema de Fernando Pessoa titulat Saudades, ha destacat el pes al llarg de la història dels residents portuguesos a Andorra, així com l'aportació al creixement econòmic del país i la seva integració sociocultural i lingüística. Actualment representen el 20% de la població, unes 14.000 persones.
Ferrer no ha oblidat la incertesa que es viu en aquests moments per la possibilitat que els residents portuguesos es quedin sense representació diplomàtica, i ha explicat que ha fet arribar a l'alcalde de Lisboa la necessitat d'aquesta representació i que si pot intercedeixi perquè es mantingui.
Igualment ha dit que tots els cònsols, en la darrera reunió, ha signat una demanda de les mateixes característiques que han fet arribar al conseller de les comunitats portugueses a Andorra, José Manuel Da Silva, perquè en pugui fer ús com estimi convenient. Mario Damas, en declaracions als mitjans ha dit que encara no se sabia res oficialment sobre el futur de l'Ambaixada i del Consolat.
A l'acte hi ha hagut una nombrosa representació institucional, però entre els quals s'hi han trobat a faltar els consellers del PS del Comú d'Andorra la Vella. Si que hi eren tota la resta de la corporació inclosos els consellers de Progrés Comunal, així com els dos cònsols d'Ordino, els dos de Sant Julià i el cònsol major de la Massana.
L'excap de Govern, Òscar Ribas, també hi ha estat present, així com els consellers generals Carles Ensenyat i Sofia Garrallà. Entre els assistents, tots els representants de les diferents associacions i col·lectius de residents portuguesos, amb l'ambaixador, el cònsol i el conselleiro.

11.11.11

CE SON EN (tout en « S »)

Mais quel est ce triste son
Qui "réss-onne" dans sa tête 
Est-ce la dérai"sson" qui
Sans cesse s’entête ?

Andorra, 11-11-11