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Tout bonus pour Bayonne


Tout bonus pour Bayonne - Rugby - Top 14

Bayonne décroche son premier bonus offensif de la saison contre Agen (31-10) et profite du revers de Brive pour entrevoir le maintien. Mieux, l'Aviron, après une saison galère, possède cinq unités d'avance sur le CABCL. Il faudrait une catastrophe pour que Bayonne soit relégué. Agen est maintenu.

Il aura fallu attendre la dernière rencontre à domicile pour voir Bayonne décrocher enfin son premier bonus offensif cette saison. Une victoire à cinq points devant Agen (31-10) intervenue au meilleur moment pour l'Aviron, qui effectue ainsi un pas de géant vers le maintien. Le public de Jean-Dauger en était d'ailleurs conscient. La sirène n'avait pas encore retenti qu'il exultait et communiait déjà avec ses protégés, alors que les écrans du stade signalaient la défaite de Brive, synonyme d'une avance de cinq points pour l'Aviron sur son principal concurrent avant d'aborder la dernière journée. Une joie d'autant plus intense qu'elle faisait suite à une extrême crispation dans une rencontre où les deux équipes à la lutte pour se sauver ont montré de belles intentions et mis beaucoup d'engagement tout en se respectant.
Crispation car Bayonne avait tardé à concrétiser l'ultra-domination de son pack, véritable rouleau-compresseur notamment en mêlée. Une incapacité à conclure symbolisée par deux longues séquences interminables sur la ligne lot-et-garonnaise: au quart d'heure de jeu, après une série de mêlées enfoncées, occasionnant d'ailleurs un carton jaune contre Telefoni (17e), Roumieu était finalement sanctionné pour avoir rampé et le SUALG pouvait se dégager ; rebelotte en toute fin de période, même si cette fois l'issue s'en trouvait plus heureuse pour les Basques puisque Gerber profitait finalement d'une pénalité vite jouée pour aller aplatir (7-3, 38e). Mais c'est pourtant Agen, qui avait mené au score pendant presque toute la mi-temps grâce à une pénalité précoce de Barnard (6e), qui virait en tête à la pause (7-10). Dulin profitait d'une déconcentration de l'arrière garde bayonnaise pour prolonger un coup de pied à suivre de Vaka et aller à l'essai sur la sirène. Jetant un véritable coup de froid dans les travées de Jean-Dauger.
Le pack fait la différence
Car d'aucuns auraient pu croire que Bayonne avait laissé passer sa chance. Mais toujours en profitant de la supériorité de ses avants, l'Aviron allait finalement faire la différence assez vite au retour des vestiaires. Une nouvelle série de mêlées maîtrisées permettait à Roumieu de conclure en force (47e). Les Ciel et Blanc avaient fait le plus dur. D'autant qu'en face, Agen baissait le pied physiquement. Les hommes du duo Lanta-Deylaud - écarté pour cette rencontre car ils entraîneront l'Aviron la saison prochaine - continuaient ainsi à subir devant, écopant d'un carton jaune (Faasoso, 50e) et concédant dans la foulée un essai de pénalité... à la suite d'une mêlée. La cause était entendue (24-10).
Car bien que ne renonçant pas, Agen se désorganisait et se montrait toujours aussi impuissant face à la puissance adverse. Puissance symbolisée par le guerrier Boutaty, fer de lance du pack bayonnais, qui inscrivait l'essai du bonus (60e). Cinq précieux points que les Basques s'appliquaient à conserver dans une fin de rencontre assez décousue. Une petite échauffourée à la fin du match masquait la joie des deux camps, le SUALG ayant également assuré son maintien au bénéfice des autres résultats de cette 25e journée. Un sauvetage qui n'est pas encore officiel pour l'Aviron, mais qui est désormais tout proche.

Mélenchon appelle à une défaite "profonde" de Sarkozy


Un dernier pour la route. Le Front de gauche, dont le candidat Jean-Luc Mélenchon a obtenu 11,11% des suffrages au premier tour, a clôturé vendredi soir la campagne pour la présidentielle avec un rassemblement place Stalingrad, à Paris, à l'endroit même où son leader avait prononcé son premier discours de candidat en juin dernier. Mot d'ordre : « Chassons Sarkozy ! ».
Comme prévu, Jean-Luc Mélenchon, qui est monté sur scène la mine renfrognée, comme si le souvenir amer de la soirée électorale du premier tour, qu'il avait passée sur cette même place Stalingrad, lui était soudain revenu en mémoire, a pris la parole à 19h30. Savourant l'accueil chaleureux qui lui a été réservé, l'ex-candidat du Front de gauche a fait le bilan de sa campagne avant de se lancer dans une explication pédagogique du vote du dimanche 6 mai.
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FRANCE SOIR

Petit sarko, en désespoir de cause, s'en prend aux journalistes... (Video)




Mardi, c’est une journaliste de Mediapart qui a été prise à partie par des militants lors de la fête du travail de Nicolas Sarkozy au Trocadéro, à Paris. Jeudi, ce sont deux journalistes de BFM TV qui ont été agressés en marge du meeting du candidat UMP à Toulon, l’un d’entre eux ayant reçu, en plus d’insultes, une bouteille d’eau sur le visage.
Après avoir expliqué ce vendredi qu’il n’avait «jamais attaqué la presse», Nicolas Sarkozy a tout de même affirmé sur Europe 1 qu’il comprenait «l’exaspération vis-à-vis des journalistes». Et quelques heures plus tard, lors d’une réunion publique aux Sables-d’Olonne, le candidat UMP a illustré ses propos, s’en prenant à un journaliste qui effectuait un plateau en direct pendant le discours: «Si notre ami qui fait un direct en me tournant le dos pouvait s’arrêter, ça m’arrangerait», lance Nicolas Sarkozy, visiblement agacé.
Après avoir laissé la salle siffler le journaliste en question, il poursuit: «La politesse n’est qu’une question d’éducation, et s’il y a eu quelque manquement, nous y porterons remède.»
Coïncidence? BFM TV a diffusé un communiqué de presse vendredi après-midi, pour rappeler que si «les médias, autant que les hommes politiques, doivent pouvoir accepter la critique, BFM TV tient à rappeler que la protection des journalistes ne saurait en aucun cas être remise en cause. La direction de BFM TV en appelle au Conseil supérieur de l’audiovisuel, garant du pluralisme de l’information dans l’audiovisuel, pour qu’il rappelle l’exigence intangible et non négociable du respect de la liberté de la presse pour la bonne tenue du débat démocratique.»
Nicolas Bégasse

Un équilibriste traversera les chutes le 15 juin


NikWallenda

« La marche devrait prendre 35 à 40 minutes, mais si le fil est solide et que la météo est bonne, je pourrais passer plus de temps là-bas », a déclaré mercredi M. Wallenda.
NIAGARA FALLS, Ont. – L'équilibriste Nik Wallenda traversera les chutes du Niagara le 15 juin prochain, sur un fil de cinq centimètres.
« La marche devrait prendre 35 à 40 minutes, mais si le fil est solide et que la météo est bonne, je pourrais passer plus de temps là-bas », a déclaré mercredi M. Wallenda devant un parterre de journalistes canadiens et américains et les équipes de télévision.
Il s’agira de la première traversée des chutes en plus d’un siècle. Le contrat a été signé avec la Commission des parcs de Niagara et la New York State Parks.
Il reste à déterminer à quelle heure la marche au-dessus des chutes Niagara se déroulera et cela dépendra des discussions en cours avec un réseau national de télévision aux États-Unis, qu’on croit être ABC.
« En fin de soirée est ce que nous envisageons, mais nous n'avons pas encore déterminé le moment, a dit l’équilibriste. Cela fait partie des négociations avec le réseau. »
Le câble construit à cet effet sera tendu entre deux grues mises en place à Table Rock au Canada, et sur Goat Island à New York.
« Nous ne sommes pas certain de la direction que nous allons prendre, a déclaré M. Wallenda. Cela sera déterminé en fonction de la température. »
LE JOURNAL DE QUEBEC

4.5.12

Résultat de la Présidentielle en France, dimanche prochain, dès dix-huit heures, sur ce blog


Dimanche prochain, dès dix-huit heures (heure de France), ce blog publiera une estimation très proche de la réalité du résultat de la Présidentielle en France.
JMIRA

Jean Charest: «Ça va bien se passer »


charest conseil

Même si la tension est palpable, le premier ministre estime que le conseil général du Parti libéral du Québec à Victoriaville se déroulera dans l’ordre.

«Ça va bien se passer», a lancé Jean Charest à son arrivée à Victoriaville, où le conseil général se tiendra sous haute surveillance policière, dans un climat d’appréhension de manifestations étudiantes.
Refusant de parler de dénouement possible ce week-end, le chef libéral indique toutefois que la tenue d’une réunion au sommet entre la ministre de l’Éducation, les associations étudiantes et les représentants des établissements d’éducation post-secondaire, présentement en cour à Québec, constitue un signe encourageant.
«Aménager un espace de discussion c’est déjà en soi une bonne chose. Et de le faire dans un environnement respectueux et apaisé, c’est ce que nous voulons», a déclaré Jean Charest.
Il reconnaît que le contexte demeure tendu, mais a tout de même envoyé le signal qu’il n’était pas trop affecté par la crise.
«Ça fait partie de la vie politique, qu’il y ait des moments comme ça, plus intense. Espérons que ça se passe bien, en fait, je pense que ça va bien se passer», a-t-il ajouté.
Alors que des autobus remplis de manifestants entrent dans la ville, M. Charest s’est dit heureux, à tout le moins, de renouer avec ses militants, dans le cadre du conseil général.
«On va beaucoup parler d’avenir. Pour nous qui aimons la politique passionnément, c’est un moment fort dans notre vie quand on a des conseils généraux, de retrouver nos militants.»
LE JOURNAL DE MONTREAL

10 raisons pour ne pas voter sarko



CHARLIE HEBDO

L'image du jour 04-05-2012 - "KASS'-TOI PAUV' CON!

Até à próxima!

"Kass'-toi, pauv' con!"

Photo - Enfant du Vénézuela



"Venezuela" - Carlos Garcia Rawlins

3.5.12

Résultat de la Présidentielle en France, dimanche prochain, dès dix-huit heures, sur ce blog





Dimanche prochain, dès dix-huit heures, ce blog publiera une estimation très proche de la réalité du résultat de la Présidentielle en France.
JMIRA