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24.7.12

Alerte au requin sur la côte belge


Pouvant atteindre douze mètres de long pour un poids d'environ cinq tonnes, de couleur gris-brun, le requin pèlerin ne passe pas inaperçu, et pourtant il est inoffensif.

Un aileron de requin a causé une grosse frayeur lundi après-midi sur la côte belge, mais l'alerte a été rapidement levée lorsque les secours ont reconnu un inoffensif pèlerin, a rapporté mardi le site internet Natuurbericht.be. Gros consommateur de plancton, le requin pèlerin nageait tranquillement près de la côte de La Panne, entre Ostende et Dunkerque, a expliqué Filip Jongbloet, un des secouristes qui a pris des photographies du squale.
Le requin pèlerin a été reconduit vers des eaux plus profondes pour ne plus effrayer les baigneurs, a-t-il précisé. Il peut en effet être confondu avec un grand requin blanc qui peut s'attaquer aux humains. Le spécimen aperçu en mer du Nord mesure environ deux mètres. Adulte, il peut atteindre de six à douze mètres de longueur. Le plus gros poisson au monde est le requin baleine.
La présence d'un requin pèlerin en Belgique est exceptionnelle, ont rappelé les médias belges. Un spécimen avait été signalé le 21 octobre 2011 par un avion de surveillance de l'Institut royal des sciences naturelles de Belgique en mer du Nord, à hauteur de Bighbank, un banc de sable situé à environ 40 km de la côte. Les requins pèlerins vivent dans les eaux froides et tempérées des océans. Ils sont protégés par un règlement européen, et leur pêche au sein de l'Union européenne est totalement interdite.

Semi esclavage au Portugal: Echange travail contre nourriture...


Dessin de Sampaio, Portugal.

Dans les petites annonces publiées sur Internet, on voit de plus en plus de gens désespérés demander du travail en échange de nourriture. Ils sont prêts à tout. "On est en train d'assister à une régression civilisationnelle. Avec la crise, les cas de semi-esclavage augmentent", note Joaquim Dionísio, avocat spécialiste du droit du travail et membre de la direction de la CGTP [le principal syndicat portugais].
A 24 ans, António Santos a tout perdu. D'abord son emploi, puis le logement où il vivait à Matosinhos [ville située à l'ouest de Porto]. En octobre dernier, il s'est retrouvé au chômage sans droit à une allocation. L'argent économisé lorsqu'il travaillait dans le BTP et la restauration lui a permis de payer cinq mois de loyer. Sans revenus ni aides financières, il a donc dû quitter son appartement en février. Les bons jours, il dort sur le canapé chez des amis, les mauvais dans une cabane en carton.
"Je fais des choses ici ou là pour ne pas mourir de faim. Mais j'ai vraiment besoin de travailler, même si c'est seulement en échange de nourriture et d'un endroit où dormir", soupire le jeune homme, qui a une formation professionnelle en commerce. C'est ce qu'il a écrit dans les annonces qu'il a mises en ligne en mars sur plusieurs sites. Bien qu'il ait proposé de travailler gratuitement, il n'a reçu aucune réponse. Tout du moins jusqu'à fin avril, la dernière fois qu'il a pu aller sur Internet. "Je n'ai même pas assez d'argent pour aller dans un cybercafé", explique António. Il peut compter pour l'instant sur la solidarité de ses amis qui lui offrent un repas par jour et lui prêtent des habits "pour être plus présentable". Avec l'espoir de trouver un jour un emploi.

Attaques de requins


Dessin de Chapatte, Suisse.

Depuis la dernière attaque d’un requin blanc début juillet, la cinquième en 10 mois, la peur gagne l’ouest de l’Australie. Les autorités ont fait fermer les plages, préconisent l’abattage systématique des grands squales à proximité des côtes et cherchent encore le corps du jeune surfeur de 24 ans, Ben Linden [tué par un requin le 7 juillet au large des côtes de Wedge Island, une île à l'ouest de l'Australie].
La vue d’un aileron glissant dans les eaux suscite toujours l'effroi. La plupart des articles sur ce genre d’incident s’accompagnent de spéculations sur la menace que représenterait cette espèce pour l’homme, et les hypothèses ne manquent pas pour justifier cette position : ils seraient plus nombreux (il y aurait entre 3000 et 4000 requins blancs mais ces estimations restent invérifiables), ils nageraient plus près des côtes, ou ils se tourneraient vers la chair humaine par manque de nourriture. Mais d’après la Fondation, aucune donnée ne prouve une augmentation du nombre de grands requins blancs; quant aux autres explications, elles ne sont pas crédibles.

“Les requins blancs réagissent à certains stimuli comme des mouvements dans l’eau ou des poissons rejetés à la mer, explique Peirce. "Et les êtres humains ne sont pas vraiment un mets de prédilection pour les requins, car contrairement à un phoque bien gras, nous sommes un mélange de tendons, de cartilages, de combinaison en caoutchouc et de planche de surf. Les attaques ont généralement lieu sur un malentendu. Le squale commence d’abord par goûter sa proie et décide ensuite de la manger ou non. Malheureusement la morsure d’un grand requin blanc de quatre mètres est souvent mortelle et une fois qu’il y a du sang dans l’eau le requin ne peut que réagir.”

Lire plus sur http://www.courrierinternational.com/article/2012/07/24/non-l-homme-n-est-pas-bon-pour-les-requins

Non au port du voile au J. O.!

Photo - Le fort de Brégancon - France

Autre citadelle imprenable, le fort de Brégançon, à Bormes-les-Mimosas (Var). C'est la résidence d'Etat des présidents de la République française, notamment de Jacques Chirac, qui y est allé à de nombreuses reprises. Dressé sur un piton rocheux à 35m d'altitude, le fort est utilisé comme lieu de villégiature estivale.

Le fort de Brégançon, à Bormes-les-Mimosas (Var). C'est la résidence d'Etat des présidents de la République française, notamment de Jacques Chirac, qui y est allé à de nombreuses reprises. Dressé sur un piton rocheux à 35m d'altitude, le fort est utilisé comme lieu de villégiature estivale.