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Résultat de la Présidentielle en France, aujourd'hui dimanche, dès dix-huit heures, sur ce blog





Aujourd'hui dimanche,  dès dix-huit heures (heure de France), ce blog publiera une estimation très proche de la réalité du résultat de la Présidentielle en France.
JMIRA

Risque de marée brune en Grèce



Voilà le résultat de la technocratie et des politiques néo-libérales en Europe...

Le parti néo-nazi Aube Dorée devrait faire son entrée au Parlement. Grâce, notamment, à son travail de terrain dans les quartiers défavorisés.
A 300 mètres d’un des commissariats les plus importants d’Athènes se trouve le quartier général du parti politique néo-nazi Aube Dorée. On ne peut pas le louper. Son nom, en grec XRISSI AVGHI, est inscrit sur les tentures du balcon en grosses lettres blanches sur fond rouge avec son slogan si particulier : "La Grèce appartient aux Grecs", encadré des méandres grecs qui évoquent très fortement les svastikas hitlériennes.
Lire l'article en son intégralité sur http://www.lalibre.be/actu/international/article/736146/risque-de-maree-brune-en-grece.html

La France retient son souffle à la veille du second tour


La France retenait son souffle samedi à la veille du second tour de la présidentielle pour lequel le socialiste François Hollande part favori devant le président sortant Nicolas Sarkozy mais avec l'avance la plus faible depuis le début de la campagne électorale.
Les opérations de vote ont débuté samedi pour les Français d'outre-mer et ceux vivant aux Etats-Unis, au Canada et en Amérique du Sud. En Guyane, on enregistrait à la mi-journée un taux de participation plus élevé qu'au premier tour.
Au total 46 millions d'électeurs sont appelés aux urnes pour décider dimanche quel sera le président de la France pendant cinq ans.
Depuis vendredi minuit, les candidats sont contraints au silence jusqu'à dimanche 20H00 (18H00 GMT), heure de fermeture des derniers bureaux de vote.
Au premier tour, le 22 avril, François Hollande est arrivé en tête (28,63% des suffrages) devant Nicolas Sarkozy (27,18%). Il aborde le scrutin de dimanche en favori pour ramener la gauche à l'Elysée dont elle est absente depuis 17 ans: depuis des mois, il est donné vainqueur par les sondages.
Mais avec 52% des intentions de vote pour le candidat socialiste contre 48% pour le président sortant, selon une dernière enquête Ifop-Fiducial publiée vendredi soir, l'écart entre les deux hommes s'est réduit à son plus faible niveau depuis le début de la campagne électorale.
"Dimanche tout est possible", titrait samedi le quotidien de gauche Libération tandis que le journal de droite Le Figaro rappelait à ses lecteurs qu'ils avaient à faire "un choix historique".
LA LIBRE BELGIQUE

Présidentielle: fin de campagne

Montage photo des posters de campagne de Nicolas Sarkozy et François Hollande.

Le vote de Bayrou au centre de l’attention

L’ex-candidat MoDem a créé la surprise jeudi soir en annonçant qu’à titre personnel, il voterait pour François Hollande au second tour de la présidentielle. Les réactions ont été nombreuses ce vendredi, et d’abord dans le camp centriste, avec le Parti radical de Jean-Louis Borloo qui «s'étonne et regrette le choix de François Bayrou de se prononcer, même à titre personnel, en faveur de François Hollande». Côté PS, on a salué la «cohérence» de la décision de François Bayrou et, côté UMP, on a condamné son «incohérence».

Les journalistes chahutés

Nicolas Sarkozy et Jean-Luc Mélenchon ont été invités ce vendredi à réagir aux petits incidents qui ont opposé cette semaine des journalistes à eux-mêmes ou à leurs militants. L’ex-candidat du Front de gauche, qui avait malmené des reporters du «Petit Journal» de Canal +, a expliqué que ces derniers, qu’il ne considère pas comme des journalistes, lui avaient manqué de respect. Le candidat UMP a quant à lui dit comprendre «l’exaspération vis-à-vis des journalistes». Lors de son dernier meeting aux Sables-d'Olonne ce vendredi, Nicolas Sarkozy a d’ailleurs interrompu son discours pour rappeler à l’ordre un journaliste réalisant un direct. Quelques heures après, la direction de BFM TV, dont deux journalistes avaient été pris à partie jeudi par des militants UMP, en ont appelé au CSA pour faire respecter la presse et son travail.

Longuet, Sarkozy et le Front national

Nicolas Sarkozy est revenu ce vendredi sur les propos malheureux de son ministre de la Défense, qui avait estimé en début de semaine dans Minute que Marine Le Pen, contrairement à son père, est un «interlocuteur possible». «Je n'ai pas vu une différence notable entre Marine Le Pen et Jean-Marie Le Pen», a estimé Nicolas Sarkozy. Mais Gérard Longuet a bien malgré lui eu un nouveau mot malheureux, en commettant un joli lapsus : «Et pour nous au Front national... euh... pour eux au Front national.»

C’est la fin de la campagne

Victoriaville: affrontements d’une rare violence entre policiers et manifestants.


manifestation

La Sûreté du Québec (SQ) répète qu'elle ne ménagera pas ses efforts pour protéger la paix sociale et éviter que la sécurité des citoyens soit menacée par «des individus sans scrupule» et «des criminels».
Lors d’une conférence de presse tenue au lendemain de l’émeute qui a éclaté, vendredi soir, à Victoriaville, le capitaine Jean Finet a confirmé que 106 personnes, dont trois récidivistes, ont été arrêtés, au cours de la nuit.
Trois autobus avaient notamment été interceptés, dont deux à Saint-Hyacinthe et un autre près de Victoriaville.
«Malheureusement, des groupes d’individus, qui visiblement n’avaient pas l’intention de manifester, mais plutôt, de commettre des actes criminels, ont rapidement, et malgré les nombreux avertissements (…) fait tomber la clôture, la ligne à ne pas franchir», précise-t-il.
M. Finet estime que «les policiers ont utilisé la force nécessaire pour assurer la sécurité des citoyens».
Les individus arrêtés pourraient faire face à des accusations d’attroupement illégal, d’avoir participé à une émeute, d’entrave au travail des policiers et de méfait. D’autres pourraient devoir à des accusations plus grave de voies de fait sur un policier et d’agression armée.
Au sujet des blessés, Josée Simoneau, du Centre de santé et des services sociaux d’Arthabaska-et-de-l’Érable, a affirmé que neuf personnes ont été transportées dans un centre hospitalier.
Deux d’entre eux sont dans un état grave et on craindrait même pour la vie de l’un d’eux.
«Inadmissible», dit le maire
Le maire de Victoriaville, Alain Rayes a pour sa part qualifié les gestes posés «d’inadmissibles».
«Une minorité, qui n’a rien à voir avec les enjeux défendus présentement, ont réussi à transformer une manifestation qui se voulait pacifique et sécuritaire en une émeute», a-t-il dit.
Il a, par ailleurs, tenu à lancer un nouvel appel au calme, comme il l’avait fait quelques jours auparavant.
«La fin de semaine n’est pas finie. On a encore la chance de vivre la démocratie de façon calme et posée et c’est encore mon souhait le plus cher».
«Pour ma part, je n’ai pas l’intention de rester les bras croisés et de me faire intimider» a-t-il ajouté.
Rappelons que vendredi soir, une manifestation de 3000 personnes a rapidement tourné au vinaigre et a été le théâtre d’affrontements d’une rare violence entre policiers et manifestants.
Un agent a notamment été violemment passé à tabac lorsqu’un groupe de manifestants a bondi sur lui pour lui asséner coups de pied, coups de poing et lui lancer dives projectiles, dont des morceaux de pavé.
Les différentes associations étudiantes commenteront les événements plus tard en journée.
Pendant ce temps, les négociations se poursuivent à Québec. L’attaché de presse de la Fédération étudiante universitaire du Québec (FEUQ), Mathieu Le Blanc, a confirmé que des discussions ont eu lieu pendant une bonne partie de la nuit et qu’elles se poursuivront samedi en journée.
LE JOURNAL DE QUEBEC

Tout bonus pour Bayonne


Tout bonus pour Bayonne - Rugby - Top 14

Bayonne décroche son premier bonus offensif de la saison contre Agen (31-10) et profite du revers de Brive pour entrevoir le maintien. Mieux, l'Aviron, après une saison galère, possède cinq unités d'avance sur le CABCL. Il faudrait une catastrophe pour que Bayonne soit relégué. Agen est maintenu.

Il aura fallu attendre la dernière rencontre à domicile pour voir Bayonne décrocher enfin son premier bonus offensif cette saison. Une victoire à cinq points devant Agen (31-10) intervenue au meilleur moment pour l'Aviron, qui effectue ainsi un pas de géant vers le maintien. Le public de Jean-Dauger en était d'ailleurs conscient. La sirène n'avait pas encore retenti qu'il exultait et communiait déjà avec ses protégés, alors que les écrans du stade signalaient la défaite de Brive, synonyme d'une avance de cinq points pour l'Aviron sur son principal concurrent avant d'aborder la dernière journée. Une joie d'autant plus intense qu'elle faisait suite à une extrême crispation dans une rencontre où les deux équipes à la lutte pour se sauver ont montré de belles intentions et mis beaucoup d'engagement tout en se respectant.
Crispation car Bayonne avait tardé à concrétiser l'ultra-domination de son pack, véritable rouleau-compresseur notamment en mêlée. Une incapacité à conclure symbolisée par deux longues séquences interminables sur la ligne lot-et-garonnaise: au quart d'heure de jeu, après une série de mêlées enfoncées, occasionnant d'ailleurs un carton jaune contre Telefoni (17e), Roumieu était finalement sanctionné pour avoir rampé et le SUALG pouvait se dégager ; rebelotte en toute fin de période, même si cette fois l'issue s'en trouvait plus heureuse pour les Basques puisque Gerber profitait finalement d'une pénalité vite jouée pour aller aplatir (7-3, 38e). Mais c'est pourtant Agen, qui avait mené au score pendant presque toute la mi-temps grâce à une pénalité précoce de Barnard (6e), qui virait en tête à la pause (7-10). Dulin profitait d'une déconcentration de l'arrière garde bayonnaise pour prolonger un coup de pied à suivre de Vaka et aller à l'essai sur la sirène. Jetant un véritable coup de froid dans les travées de Jean-Dauger.
Le pack fait la différence
Car d'aucuns auraient pu croire que Bayonne avait laissé passer sa chance. Mais toujours en profitant de la supériorité de ses avants, l'Aviron allait finalement faire la différence assez vite au retour des vestiaires. Une nouvelle série de mêlées maîtrisées permettait à Roumieu de conclure en force (47e). Les Ciel et Blanc avaient fait le plus dur. D'autant qu'en face, Agen baissait le pied physiquement. Les hommes du duo Lanta-Deylaud - écarté pour cette rencontre car ils entraîneront l'Aviron la saison prochaine - continuaient ainsi à subir devant, écopant d'un carton jaune (Faasoso, 50e) et concédant dans la foulée un essai de pénalité... à la suite d'une mêlée. La cause était entendue (24-10).
Car bien que ne renonçant pas, Agen se désorganisait et se montrait toujours aussi impuissant face à la puissance adverse. Puissance symbolisée par le guerrier Boutaty, fer de lance du pack bayonnais, qui inscrivait l'essai du bonus (60e). Cinq précieux points que les Basques s'appliquaient à conserver dans une fin de rencontre assez décousue. Une petite échauffourée à la fin du match masquait la joie des deux camps, le SUALG ayant également assuré son maintien au bénéfice des autres résultats de cette 25e journée. Un sauvetage qui n'est pas encore officiel pour l'Aviron, mais qui est désormais tout proche.

Mélenchon appelle à une défaite "profonde" de Sarkozy


Un dernier pour la route. Le Front de gauche, dont le candidat Jean-Luc Mélenchon a obtenu 11,11% des suffrages au premier tour, a clôturé vendredi soir la campagne pour la présidentielle avec un rassemblement place Stalingrad, à Paris, à l'endroit même où son leader avait prononcé son premier discours de candidat en juin dernier. Mot d'ordre : « Chassons Sarkozy ! ».
Comme prévu, Jean-Luc Mélenchon, qui est monté sur scène la mine renfrognée, comme si le souvenir amer de la soirée électorale du premier tour, qu'il avait passée sur cette même place Stalingrad, lui était soudain revenu en mémoire, a pris la parole à 19h30. Savourant l'accueil chaleureux qui lui a été réservé, l'ex-candidat du Front de gauche a fait le bilan de sa campagne avant de se lancer dans une explication pédagogique du vote du dimanche 6 mai.
Lire l'article en intégralité sur
FRANCE SOIR

Petit sarko, en désespoir de cause, s'en prend aux journalistes... (Video)




Mardi, c’est une journaliste de Mediapart qui a été prise à partie par des militants lors de la fête du travail de Nicolas Sarkozy au Trocadéro, à Paris. Jeudi, ce sont deux journalistes de BFM TV qui ont été agressés en marge du meeting du candidat UMP à Toulon, l’un d’entre eux ayant reçu, en plus d’insultes, une bouteille d’eau sur le visage.
Après avoir expliqué ce vendredi qu’il n’avait «jamais attaqué la presse», Nicolas Sarkozy a tout de même affirmé sur Europe 1 qu’il comprenait «l’exaspération vis-à-vis des journalistes». Et quelques heures plus tard, lors d’une réunion publique aux Sables-d’Olonne, le candidat UMP a illustré ses propos, s’en prenant à un journaliste qui effectuait un plateau en direct pendant le discours: «Si notre ami qui fait un direct en me tournant le dos pouvait s’arrêter, ça m’arrangerait», lance Nicolas Sarkozy, visiblement agacé.
Après avoir laissé la salle siffler le journaliste en question, il poursuit: «La politesse n’est qu’une question d’éducation, et s’il y a eu quelque manquement, nous y porterons remède.»
Coïncidence? BFM TV a diffusé un communiqué de presse vendredi après-midi, pour rappeler que si «les médias, autant que les hommes politiques, doivent pouvoir accepter la critique, BFM TV tient à rappeler que la protection des journalistes ne saurait en aucun cas être remise en cause. La direction de BFM TV en appelle au Conseil supérieur de l’audiovisuel, garant du pluralisme de l’information dans l’audiovisuel, pour qu’il rappelle l’exigence intangible et non négociable du respect de la liberté de la presse pour la bonne tenue du débat démocratique.»
Nicolas Bégasse

Un équilibriste traversera les chutes le 15 juin


NikWallenda

« La marche devrait prendre 35 à 40 minutes, mais si le fil est solide et que la météo est bonne, je pourrais passer plus de temps là-bas », a déclaré mercredi M. Wallenda.
NIAGARA FALLS, Ont. – L'équilibriste Nik Wallenda traversera les chutes du Niagara le 15 juin prochain, sur un fil de cinq centimètres.
« La marche devrait prendre 35 à 40 minutes, mais si le fil est solide et que la météo est bonne, je pourrais passer plus de temps là-bas », a déclaré mercredi M. Wallenda devant un parterre de journalistes canadiens et américains et les équipes de télévision.
Il s’agira de la première traversée des chutes en plus d’un siècle. Le contrat a été signé avec la Commission des parcs de Niagara et la New York State Parks.
Il reste à déterminer à quelle heure la marche au-dessus des chutes Niagara se déroulera et cela dépendra des discussions en cours avec un réseau national de télévision aux États-Unis, qu’on croit être ABC.
« En fin de soirée est ce que nous envisageons, mais nous n'avons pas encore déterminé le moment, a dit l’équilibriste. Cela fait partie des négociations avec le réseau. »
Le câble construit à cet effet sera tendu entre deux grues mises en place à Table Rock au Canada, et sur Goat Island à New York.
« Nous ne sommes pas certain de la direction que nous allons prendre, a déclaré M. Wallenda. Cela sera déterminé en fonction de la température. »
LE JOURNAL DE QUEBEC