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L'image du jour 10-05-2012
La flamme des JO de Londres allumée à Olympie
8.5.12
Une pleine lune exceptionnelle
Dans la nuit du 5 au 6 mai, un événement a précédé celui de l’élection du nouveau président français… Comme le vote, c’est un phénomène qui revient régulièrement. En l’occurrence, c’est lorsque la Lune est au plus près de la Terre sur son orbite légèrement elliptique que nous pouvons bénéficier dans le ciel nocturne d’une pleine Lune qui parait beaucoup plus grosse d’environ 14% et plus lumineuse de 30%.
Dans la nuit du 5 au 6 mai 2012, la Lune était à 356.400 kilomètres de la Terre –c’est son périgée-, au lieu de 384.000 kilomètres habituellement. Le 28 novembre prochain, à l’inverse, la Lune sera à son apogée, à 406.364 kilomètres, le point le plus éloigné de la Terre.
Dans la nuit du 5 au 6 mai 2012, la Lune était à 356.400 kilomètres de la Terre –c’est son périgée-, au lieu de 384.000 kilomètres habituellement. Le 28 novembre prochain, à l’inverse, la Lune sera à son apogée, à 406.364 kilomètres, le point le plus éloigné de la Terre.
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L'image du jour 08-05-2012
Les deux présidents de la République française
La CLASSE rejette en bloc
Les étudiants ont commencé à se prononcer lundi sur l’entente de principe négociée la semaine dernière entre le gouvernement et les représentants des fédérations étudiantes. En fin d’après-midi, les associations affiliées à la CLASSE avaient toutes refusées cette offre.
Conséquence directe de ces consultations : la grève pourrait être massivement reconduite partout où l’entente est rejetée.
Selon la Coalition large de l'Association pour une solidarité syndicale étudiante (CLASSE), le Collège de Valleyfield, le Collège de Bois-de-Boulogne, le Cégep de Saint-Laurent, le Cégep Marie-Victorin, et le Cégep de l’Outaouais ont déjà voté contre l’entente de principe qui prévoit notamment la création d'un comité pour revoir la gestion des universités et pointer les économies
envisageables. Les sommes épargnées seraient déduites des frais institutionnels obligatoires que les étudiants payent à chaque session.
À 17 h, toujours selon la CLASSE, Les étudiants du département informatique et de recherche opérationnelle de l’Université de Montréal (UdeM), l’Association facultaire étudiante des Langues et Communication de l’Université du Québec à Montréal (UQAM), les associations des étudiants en Littérature et en Sociologie à l’Université Laval, à Québec, de même que les étudiants en Études québécoises à l’Université de Trois-Rivières s’étaient également prononcés contre le document, qui avait été rendu public dès dimanche.
Les associations membres de la Fédération étudiante collégiale du Québec (FECQ) devaient également se pencher sur le texte ce lundi.
En début d’après-midi, les étudiants du Cégep de Gaspésie ont annoncé qu’ils acceptaient l’offre, tandis que ceux du Cégep de Saint-Hyacinthe l’ont rejetée après de longues heures de débat.
La Fédération étudiante universitaire du Québec (FEUQ) a prévu de consulter ses membres seulement vendredi.
Les leaders étudiants présents autour de la table de négociations en fin de semaine dernière ont tous refusé de faire des recommandations formelles à leurs membres.
Si l'entente était acceptée, plusieurs jours seraient nécessaires pour mettre sur pied un plan de reprise de cours.
LE JOURNAL DE MONTREAL
LE JOURNAL DE MONTREAL
7.5.12
Ce qu'a dit Nicolas Sarkozy à ses proches au lendemain de la défaite...
L’heure des adieux a sonné à l’Elysée. Lors d’une cérémonie au château, Nicolas Sarkozy a réuni une vingtaine de ténors de l’UMP ainsi que ses principaux collaborateurs, dont certains pleuraient, pour les remercier. «Il a rappelé que la bataille méritait d’être menée, que, au vu des résultats, c’était jouable», rapporte à 20minutes.fr l’un des participants.
Selon cette source, le président de la République, «fatigué, serein et amical», a dit qu’ils pouvaient être «fiers» de la campagne menée et a rappelé que «tous les sortants ont été balayés» dans les pays européens. «Ne croyez pas ce que l’on raconte, la campagne a été bonne.» Nicolas Sarkozy a dit qu’il allait devenir «simple adhérent» de l’UMP. «Je quitte l’opérationnel, une autre vie commence», a-t-il indiqué, précisant qu’il allait prendre des vacances. Il a demandé aux dirigeants de la droite de rester unis: «si chacun devient chef de chapelle, vous n’y arriverez pas, la roue tourne vite». A la fin de son intervention, Nicolas Sarkozy a été applaudi.
Alexandre Sulzer
20 MINUTES
Les premiers chantiers économiques du nouveau président
Dès le mois de mai :
• Bloquer les prix du carburant pendant trois mois. Le 13 mars, le litre de sans plomb 95 avait dépassé la barre symbolique des 2 euros. Parallèlement à cette mesure, François Hollande avait annoncé vouloir rétablir la TIPP (Taxe intérieure sur les produits pétroliers) flottante, pour l’augmenter en période de baisse et la diminuer en période de hausse.
• Le plafond du livret A et du livret épargne-industrie (nouveau produit financier créé pour aider les PME) sera doublé, passant de 15 000 à 30 000 euros. Sa rémunération devra rester supérieure à l’inflation.
• Fixer un éventail maximal de rémunération de 1 à 20 entre le salarié le moins bien payé et le dirigeant dans les entreprises publiques. En se basant sur le Smic brut mensuel fixé depuis janvier à 1 398,37 euros, on peut estimer le plafond à 27 960,40. Soit environ 336 000 euros par an. Cette mesure ne s’appliquera qu’aux entreprises publiques, dans lesquelles l’Etat est majoritaire, comme EDF ou Areva.
• Au niveau européen, envoyer avant le Conseil européen qui se tiendra fin juin, à tous les chefs d’Etats et de gouvernements, un mémorandum «proposant un Pacte de responsabilité, de croissance et de gouvernance». Ce «pacte» comprendra notamment l’introduction d’une taxe sur les transactions financières ou l'émission d’euro-obligations pour mutualiser les dettes nationales.
En juillet, session extraordinaire du Parlement :
• Présenter au Parlement le «programme de stabilité» qui fixe comme objectif le retour à l'équilibre budgétaire en 2017. Quant au déficit, il doit déjà revenir à 3% d’ici 2013. Ces mesures tablent sur une prévision de croissance jugée optimiste par certains économistes (1,7% en 2013, 2% ensuite).
• Supprimer la «TVA Sarkozy» ou TVA sociale, relevée par le précédent président de 19,6 à 21,2%. Le décret d’application de cette taxe a été publié seulement hier, le jour même de l'élection de François Hollande. Elle doit s’appliquer à compter du 1er octobre mais le nouveau président a promis son abrogation.
• Séparer les activités de dépôt et des activités spéculatives, ce qu’a déjà décidé de faire le Royaume-Uni en fin d’année dernière en obligeant les banques à cloisonner les deux activités. En cas de crise, l’État n’aiderait que la banque de détail, pas la banque d’affaires.
• A la mi-juillet, lors d’une Conférence nationale pour la croissance et l’emploi, les «grands chantiers» du quinquennat doivent être lancés. Au programme notamment, le contrat de génération qui permettrait une exonération de charges aux entreprises qui embaucheraient un senior et un jeune. Ou encore l’encadrement des licenciements boursiers : les salariés qui en sont victimes auront la possibilité de saisir le juge en cas de licenciement collectif dans les cas «manifestement contraires» aux intérêts de l’entreprise.
LIBERATION
6.5.12
Sondage officiel: Hollande 52,7 %
Le premier sondage officiel a été communiqué aux QG des partis. Hollande l'emporterait avec 52,6% contre 47,4% à Sarkozy, annonce Twizz Radio. Le rassemblement des sympathisants de l'UMP qui devait se tenir à la Place de la Concorde a été annulé. A l'inverse, la rue de Solférino, où se situe le siège du PS, est prise d'assaut par les sympathisants socialistes. LaLibre.be |
Bling, bling, blang!!!
Petit Sarko dans tous ses états...
Adieu petit sarko. Même Carla ne t'aime plus... kass'-toi!
"Bonsoerr"!
Résultat de la Présidentielle
FRANCOIS HOLLANDE, PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE
Hollande obtiendrait 53% des suffrages devant Sarkozy
Selon nos informations, François Hollande devancerait Nicolas Sarkozy au deuxième tour de l'élection présidentielle. D'après certains instituts de sondage, le candidat socialiste obtiendrait entre 52,5 et 53% des voix contre 47 ou 47,5% pour le président sortant.
Taux de participation élevé
Dimanche à midi, le taux de participation au vote était plus élevé qu’au premier tour du 22 avril. Ainsi selon l'AFP, il s’établissait à 30,66% contre 28,29%, ce qui laisse entrevoir un taux de participation supérieur à 80% pour l’ensemble de la journée.
Les deux candidats ont voté dimanche matin, François Hollande dans son fief de Tulle, dans le département rural de la Corrèze (centre), Nicolas Sarkozy dans le XVIe arrondissement de Paris.
La victoire à portée de main
Arrivé en tête au premier tour (28,63% des suffrages), François Hollande, 57 ans, ancien chef du Parti socialiste pendant 11 ans, est depuis des mois donné favori du scrutin qui se déroule sur fond de crise et de chômage record.
Persuadé que la victoire est à portée de main, son camp a déjà annoncé que le socialiste, s’il est élu, aurait dès dimanche soir un échange sur l’Europe avec la chancelière allemande Angela Merkel. Les relations franco-allemandes "ça va compter tout de suite", a expliqué son ami Jean-Marc Ayrault.
Sarkozy promet une «surprise»
Après cinq ans au pouvoir, Nicolas Sarkozy, 57 ans également, s’est retrouvé en position de challenger (27,18%). Mais il reste convaincu que la victoire va se jouer dans un mouchoir de poche.
"Déterminé" et combatif jusqu’au bout, celui, qui avait été triomphalement élu en 2007 avant de devenir un président très impopulaire, a appelé à un "sursaut national" promettant pour dimanche "une grande surprise".
Report des voix de Marine Le Pen
La grande inconnue du scrutin réside dans le report des voix de Marine Le Pen, dirigeante de l’extrême droite, qui a réalisé un score historique le 22 avril (17,9%), et dans une moindre mesure de celles du centriste François Bayrou (9,1%).
Pendant la campagne très tendue de l’entre-deux-tours, les finalistes se sont directement adressés aux électeurs du Front national. Nicolas Sarkozy, qui ne peut espérer gagner sans eux, a radicalisé comme jamais auparavant son discours sur l’immigration et la sécurité.
Mais Marine Le Pen a renvoyé dos à dos les deux candidats, indiquant qu’elle voterait blanc. Sans donner de consigne, François Bayrou a annoncé lui qu’il voterait Hollande car la ligne très à droite du sortant ne correspondait pas à ses "valeurs".
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