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30.11.11

Manifestation contre l'austérité vendredi à Bruxelles

© afp
Le front commun syndical FGTB-CSC-CGSLB manifestera vendredi au centre de Bruxelles pour protester contre l'austérité "pour les victimes de la crise". Des milliers de manifestants, provenant des quatre coins du pays, sont attendus dans la capitale.

"Après les arbitrages budgétaires, les craintes syndicales se confirment: l'on constate que l'effort demandé aux plus faibles est largement plus important que celui demandé aux plus aisés. Il y a en effet un déséquilibre entre nouvelles recettes (qui devaient être cherchées du côté du capital) et économies (qui touchent les bas et moyens salaires)", soulignent les syndicats dans un communiqué mercredi. Les syndicats CSC et FGTB ont dénoncé l'accord sur le budget "socialement injuste" selon eux.

Les syndicats avaient annoncé l'organisation de cette manifestation le 15 novembre dernier alors que les négociateurs n'avaient toujours pas trouvé un accord sur le budget fédéral.

Le rassemblement des syndicats est annoncé vendredi à 09h30 près de la gare du Nord où un podium sera installé au coin du boulevard
Bolivar et du Quai de Willebroeck. Les leaders syndicaux Rudy De Leeuw (FGTB), Luc Cortebeek (CSC), Anne Demelenne (FGTB), Claude Rolin (CSC), Jan Vercamst (CGSLB) y prendront la parole à partir de 10h00.

Le cortège quittera ensuite le quartier nord vers 10h30 pour rejoindre la gare du midi en passant par le boulevard Jacqmain, la place De Brouckère, le boulevard Anspach et Lemonnier. La police prévoit de nombreux embarras de circulation au centre de Bruxelles où les tunnels de la petite ceinture seront fermés. La fin de la manifestation est annoncée pour 13h00.

Si une estimation du nombre de manifestants n'est pas encore possible, des militants rejoindront la capitale des quatre coins du pays. La SNCB a notamment prévu des trains spéciaux pour cette manifestation. (belga)
7SUR7 - BELGIQUE

Bolivia disminuyó sus niveles de pobreza e indigencia

Bolivia descendió su nivel de pobreza entre 2002 y 2009, en 8.4%, mientras que el índice de indigencia bajó en 5.9%, de acuerdo con el informe “Panorama social de América Latina 2011”, presentado por la Comisión Económica para América Latina y el Caribe (CEPAL) este martes en Santiago de Chile.
Los datos del Informe de la CEPAL señalan que para el 2002, los índices de pobreza eran de 62,4% y que para alrededor de 2009 ese indicador bajó a 54%, registrando una mejora del orden del 8,4% en los niveles de pobreza en el país.
Respecto a los índices de indigencia, para Bolivia esos datos indicaban para el 2002 un índice de 37,1% de la población, pero para alrededor de 2009 el mismo registra una caída a 31,2% que, en términos generales implica una baja en el porcentaje de indigencia de 5,9%.
Para la CEPAL, “Los diferentes niveles de desarrollo, así como la carga impositiva y el consecuente presupuesto público general y específicamente social, ocasionan grandes disparidades en la cantidad de recursos por habitante que los Estados pueden destinar a áreas sociales como la educación, la salud, la seguridad y la asistencia social, entre otras”.
Otra de las observaciones de la CEPAL concluye que, “en promedio, los países de mayor gasto pueden destinar ocho veces los recursos por habitante respecto de los más restringidos en este ámbito”.
Otro aspecto que destaca el informe “Panorama social de América Latina 2011”, aunque no menciona de manera específica a Bolivia, es que como respuesta a la crisis económica internacional, “los países optaron por expandir transitoriamente su gasto público en vez de contraerlo, como era lo tradicional. Aunque dicha expansión no siempre tuvo un énfasis social, igualmente permitió prevenir el aumento del desempleo y de la vulnerabilidad social”.
Cabe recordar que en semanas pasadas, una polémica entre el Ministro de Economía y Finanzas boliviano con personeros del FMI, se dio en torno a si debe o no debe incrementarse el gasto público y no contraerlo. La autoridad boliviana puso énfasis en que las políticas adoptadas incluían un mayor gasto público, en lugar de “frenar” el mismo.
EL MUNDO - BOLIVIA

Venezuela - ?Elecciones sin Chavez?

Secretario ejecutivo de la MUD, Ramón Guillermo Aveledo
La oposición venezolana está preparada para enfrentar en las elecciones de 2012 a un candidato del gobierno distinto del mandatario Hugo Chávez, quien asegura recuperarse de un cáncer, dijo este martes el portavoz de la coalición de fuerzas opositores en Brasilia.

El coordinador de la llamada Mesa de Unidad Democrática (MUD), Ramón Aveledo, hizo la afirmación a propósito de los rumores sobre un eventual deterioro de la salud del líder venezolano.

"Estamos preparados para la eventualidad de que el presidente de la República sea candidato a la reelección, que es obviamente su preferencia personal, pero también preparados para que haya otro candidato del gobierno", señaló Aveledo a la prensa extranjera.

El dirigente reconoció que existen muchos rumores sobre la salud de Chávez debido a la falta de información oficial detallada, pero que en Venezuela nadie sabe con certeza cuál es el verdadero estado del presidente.

"Estoy más enterado, como cualquier venezolano, de los padecimientos que sufrió el ex presidente Fidel Castro (alejado del poder en 2006 por enfermedad, ndlr) que los que tiene nuestro presidente", dijo.

Aveledo agregó que la oposición venezolana, "cualquiera sea la circunstancia", apoyará sólo una sucesión presidencial apegada a las normas constitucionales. El dirigente venezolano inició una visita de tres días Brasilia para reunirse con políticos y congresistas brasileños.

Chávez, de 57 años, fue operado de un tumor maligno en junio en Cuba y a finales de septiembre concluyó su tratamiento de quimioterapia luego de cuatro sesiones.

El jefe de Estado, en el poder desde 1999, aspira a ser reelecto para un tercer mandato en las elecciones presidenciales del 7 de octubre de 2012, para las cuales asegura que estará plenamente recuperado.

29.11.11

Le maître au firmament

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En remportant son sixième Masters, un record absolu, Roger Federer a couronné dimanche une fin de saison exceptionnelle marquée par des victoires à Bâle, Paris et Londres. «C'est un rêve», a commenté le Bâlois, qui termine l'année à la 3e place du classement mondial.

Roger Federer s'est imposé 6-3 6-7 (6/8) 6-3 en finale du Masters face à Jo-Wilfried Tsonga, pour lequel les dimanches se suivent et se ressemblent. C'est le troisième dimanche de suite qu'il perd contre Roger Federer après la finale de Bercy et le premier match du round-robin dans cette O2 Arena que Roger Federer a fait sienne.

Devant un public tout acquis à sa cause et qui lui aura réservé samedi et dimanche deux belles «standing ovations», Roger Federer a cueilli son septantième titre, son sixième dans ce tournoi des Maîtres dont il est aujourd'hui le seul détenteur de victoires. Le seul autre tournoi dans lequel il s'est imposé à six reprises est... Wimbledon.

Ce succès a été acquis au terme d'un match riche en rebondissements mais qui ne fut pas d'une qualité exceptionnelle. Roger Federer a, en effet, servi pour le gain de la partie à 6-3 5-4. Il a ensuite bénéficié d'une balle de match dans le tie-break. Son grand mérite fut de repartir au combat en oubliant très vite l'issue de ce deuxième set qu'il n'aurait jamais dû perdre.
SWISSINFO

28.11.11

Football - Le PSG prend la leçon à MARSEILLE

A l'image d'un Pastore de nouveau transparent, les individualités parisiennes ont encore déçu contre Marseille, dimanche.(EQ)
A l'image d'un Pastore de nouveau transparent, les individualités parisiennes ont encore déçu contre Marseille, dimanche.(EQ)
C'est une crise que lui envieraient certainement beaucoup de ses concurrents. En ne remportant aucun de ses trois derniers matches de L1, le Paris-SG s'est encore débrouillé pour alimenter les discussions autour de cette crise qu'il s'offre traditionnellement au mois de novembre. Bien sûr, le club de la capitale n'accuse que trois longueurs de retard sur le leader montpelliérain. Mais sa déb,cle à Marseille (0-3), dimanche, a fait ressurgir quelques doutes sur sa capacité à se muer en cette équipe censée tout écraser sur son passage. La faute à Leonardo qui a fragilisé l'équipe tout seul en entretenant un climat de défiance à l'égard d'Antoine Kombouaré ? Sans doute un peu, mais pas seulement. A l'exception d'un succès probant contre Lyon (2-0) le 12 octobre dernier, Paris n'a jamais dévoilé un niveau de jeu conforme aux espérances de ses nouveaux propriétaires. Seuls les coups d'éclat de ses individualités lui avaient permis de donner le change.

Un manque de caractère

C'est une certitude : Paris ne souffre pas d'un déficit de talent. Ces dernières semaines, la faillite de son quatuor offensif Ménez-Pastore-Nene-Gameiro a toutefois pointé du doigt des manques plus ennuyeux. Manque de cohésion à l'image d'une altercation Nene-Bodmer, trois jours avant le Clasico, ou encore d'une prise de bec Nene-Sakho en plein match. Manque d'agressivité, ce qui est souvent perçu comme de la suffisance. Manque de caractère également comme en témoigne cette absence de révolte après l'ouverture du score de Rémy. En dehors de Sakho et Sissoko, aucun joueur parisien n'a affiché les valeurs de combativité que requiert un tel choc. «On a perdu au mental», pouvait se désoler Blaise Matuidi dans les couloirs du Vélodrome. «Marseille a joué avec la rage et la détermination, complétait Salvatore Sirigu. C'est ça la différence entre l'OM et nous en ce moment».

Pastore passe encore à côté

Le plus inquiétant dans l'histoire, c'est que certains Parisiens semblent encore se voiler la face. Il fallait entendre, à la fin du match, Jérémy Ménez louer les occasions que se seraient apparemment procurés ses équipiers... Bon d'accord, il y a eu cette frappe de Sissoko sur le poteau de Mandanda, mais sinon ? Alors qu'il s'était targué la semaine précédant ce match de toujours répondre présent lors des grands évènements, Pastore est passé à côté, encore... L'Argentin ne s'est montré qu'une seule fois décisif depuis la venue de Lyon, et la thèse de la fatigue qu'il a lui-même avancée ne peut plus expliquer à elle seule son trop grand déchet technique. Quant à Gameiro, qui n'a plus marqué depuis cinq journées, il n'a encore eu aucun bon ballon à se mettre sous la dent. Passablement énervé lors de son remplacement, l'ancien Lorientais lâchera plus tard : «je ne parle pas, on a été nuls». «Et s'ils jouaient ensemble ?», interrogeait L'Equipe deux jours après un nul décevant à Bordeaux. La solution passera peut-être par là.

L'EQUIPE

27.11.11

Video - Le fado sacré par l’Unesco "Patrimoine de l'Humanité"

Chanson des voyous, chant engagé, chanson du régime sous la dictature… le fado perdra-t-il un jour de son mystère ? Quoiqu’il en soit, voici venu le temps de la reconnaissance mondiale pour ce chant traditionnel, né à Lisbonne il y a près de deux siècles, et devenu depuis le symbole du peuple portugais. Cela fait longtemps que Lisbonne et le Portugal attendait cette consécration…
Le fado vient d’être inscrit au Patrimoine culturel immatériel de l’Humanité par l’Unesco !


Affiche du film de Leitão de Barros
Dans les années 50, la diva disparue, Amália Rodrigues (1920-1999), a exporté ce chant de la saudade aux quatre coins du monde contribuant ainsi à l’imposer comme le symbole de la culture portugaise.
Aujourd’hui, le fado n’est donc plus seulement la chanson de Severa, Alfredo Marceneiro, Amália, Carlos do Carmo, Camané ou Carminho… c’est un trésor que le monde entier devra préserver, pour les générations futures.

Logo de la candidature du fado

26.11.11



FLIPPER ET JUKE-BOX

Arrête de déconner Jimmy.
Faut débarrasser l’esplanade.
Sûr, il n’est que quatre heures
Mais ; Régis veut fermer.

Attends, je vais mettre de la tune
Dans le juke-box : veux encore
L’écouter, Ray Charles… Et puis,
Boire encore boire un coup…

Tu me suis ? Allez, on s’en jette
Un dernier ; fait chaud, nom de dieu !
Messieurs, on ferme, tonne la voix
Du patron… Jimmy lui a cassé la tête.

Faut pas l’énerver le Jimmy, tout
Maigre et pâlichon il en a maté d’autres.
Couchés sur le trottoir, nous pansons nos
Plaies au son de « In the heat of the night »…

Andorra, 26 novembre 2011

JMIRA

Breve historia de Andorra


Andorra

Andorra es un rincón casi perdido entre España y Francia, más conocido por muchos por ser un paraíso fiscal y una estupenda estación de esquí. Este diminuto principado situado en los Pirineos orientales está surcado por montañas, ríos serpenteantes y valles. A muchos os podrá parecer pequeño, sin embargo para otros es la mejor estación de esquí de todos los Pirineos, por lo que es ideal para esquiar.
Andorra es una antigua nación, fundada por Carlomagno, que la conquistó a los musulmanes en el año 803. Carlomagno la usó como barrera de protección ante los musulmanes que pretendían entrar en Francia. Un siglo más tarde, el nieto de Carlomagno, Carlos fue nombrado Conde de Urgell y soberano de Andorra. La familia Urgell entregó las tierras a la diócesis de Urgell, bajo la atenta mirada del obispo de la Seu de Urgell.
En el siglo XI el obispo se colocó bajo la protección de un noble español, el Señor de Caboet, porque temía un ataque militar de los señores vecinos. Sin embargo, un noble francés, el conde de Foix, se casó con un miembro de la familia de los Caboet, con lo que se acabaron los posibles ataques. Sin embargo, esto desembocó en una disputa entre el noble francés y el obispo por hacerse con el dominio de Andorra.
Finalmente, en 1278, como resultado de los Paretages, las actas del señorío mixto, las escaramuzas entre los condes y los obispos de Urgell por el control de los valles circundantes llegaron a su fin, cuando el obispo de la Seu de Urgell y la casa francesa de Foix firmaron la co-soberanía.
Este reparto de poder en un pequeño punto del país llegó finalmente a su fin en 1993, cuando Andorra se convirtió finalmente en un estado independiente, con su propia constitución. Hoy en día, el principado de Andorra ofrece un clima muy agradable. En invierno cae la suficiente nieve como para poder esquiar, y en verano no hace tanta calor para hacer el mejor turismo rural.
Con su larga historia hispano-francesa, es curioso, pero los andorranos hablan catalán como lengua oficial, y su gastronomía tiene también una fuerte influencia catalana. La capital es la pequeña Andorra la Vella, situada en la quebrada de un valle. Su vida nocturna es muy interesante, con bares, restaurantes y salas de fiesta.

25.11.11

petit sarko: on n'a pas besoin de le caricaturer; il "se" le fait tout seul!


Pouvez-vous imaginer qu'un Président de la Republique puisse faire plein de fautes d'orthographe? Eh bien, les voilà, en  quelques lignes pondues par le nabot!

(traduction instantané à la mode nabostyle: pouver vou imaginéé qu'un prédident de la républic fasse pleines des fautes d'ortografe? Eh ben v'là, en quelque ligne pondut par le nabeau)

...Et quand il parle c'est mieux qui c'était pas pire...



Après le décès de Danielle Mitterand, le Palais de l'Elysée a publié un communiqué rendant hommage à la femme de l'ancien Président.
Un document anormalement bourré de fautes d'orthographe (six au total)…smiley laughing LElysée au top en orthographe!
.danielle miterrand elysee m LElysée au top en orthographe!

Merkozy: La fin de l'€uro - les pauvres gens sont très tristes...


Keystone

Le président français Nicolas Sarkozy et la chancelière allemande Angela Merkel ont dit jeudi à Strasbourg au chef du gouvernement italien Mario Monti qu'un "écroulement de l'Italie amènerait inévitablement à la fin de l'euro". C'est ce qu'a indiqué vendredi le gouvernement italien au sortir d'un conseil des ministres.
Le président français et la chancelière allemande ont "réaffirmé leur soutien à l'Italie, se disant conscients qu'un écroulement de l'Italie amènerait inévitablement la fin de l'euro, provoquant un arrêt du processus d'intégration européenne aux conséquences imprévisibles", selon un communiqué de la présidence du Conseil italien.
Lors du mini-sommet qui a réuni jeudi les trois dirigeants à Strasbourg, Nicolas Sarkozy et Angela Merkel ont par ailleurs exprimé leur "confiance" en Mario Monti et leur "conviction de l'engagement" de l'Italie "dans l'effort commun destiné à trouver des solutions à la grave crise financière et économique de la zone euro", a ajouté le gouvernement italien.