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27.10.12

Images du Monde - Syrie

Un membre de l'Armée syrienne libre parle à une femme  dans la ville d'Haram durant une patrouille pour rechercher des soldats pro-gouvernement.
 
Un membre de l'Armée syrienne libre parle à une femme dans la ville d'Haram durant une patrouille pour rechercher des soldats pro-gouvernement

Images du Monde - USA

L'ouragan Sandy pointe bout de son nez en Floride. Il devrait atteindre New York en début de semaine.


L'ouragan Sandy pointe bout de son nez en Floride. Il devrait atteindre New York en début de semaine.

26.10.12

Bise noire et froid polaire à Genève pour ce week-end

Photo d'illustration

Vous en avez marre du stratus? Vous aurez bientôt la bise et l’air polaire! Sans oublier la pluie et la neige pour les plus chanceux. MétéoSuisse annonce une «offensive hivernale» pour ce week-end avec une chute des températures de 10 à 15 degrés. «C’est une véritable cassure qui accompagne l’horaire d’hiver», relève Lionel Fontannaz, météorologue.
A Genève, les températures ne dépasseront pas les 3 degrés dès samedi après-midi. Et une bise tempétueuse accentuera la sensation de froid à partir de la fin de journée. «Les rafales pourront avoisiner les 100 km/h sur l’ouest lémanique dans la nuit de samedi à dimanche et dimanche matin», prévient le météorologue. Des dégâts sont-ils à craindre? «Les arbres ont encore beaucoup de feuilles, un peu de casse n’est pas à exclure.»
Mais comment expliquer un tel phénomène? «Deux perturbations vont se rencontrer au-dessus de notre région, explique Lionel Fontannaz. La première arrive déjà aujourd’hui depuis la Méditerranée avec de l’air doux, la deuxième rejoindra la Suisse depuis le nord dans la journée de samedi. Cette dernière prendra le dessus avec une poussée importante d’air polaire. La limite pluie neige passera en quelques heures de 2000 mètres à la plaine.» A chaque région, ses aléas. Les Alémaniques auront la neige, les Romands, la bise et la pluie. Quant aux bilingues, ils auront un peu de tout. «Le nord du Plateau — de Bienne à Bâle environ — sera le secteur le plus rapidement et le plus profondément touché par les perturbations», confirme le météorologue.
Situation exceptionnelle? «Une chute brutale des températures ou une forte bise ne sont pas très surprenantes à cette période de l’année, à l’inverse de la neige en plaine qui est un phénomène plutôt rare, indique MétéoSuisse. Mais le plus inhabituel est surtout la réunion des trois facteurs avec une telle intensité au mois d’octobre.» Il faut, en effet, remonter à 1966 pour trouver un épisode similaire en Suisse. «Et encore, la neige n’avait semble-t-il pas été aussi étendue en plaine que celle prévue pour ce week-end», confie Lionel Fontannaz.
LA TRIBUNE DE GENEVE

Un requin se retrouve... sur un parcours de golf!


Les golfeurs du parcours de San Juan Hills Golf Club ont été surpris jeudi en voyant un requin léopard atterrir près du départ du trou numéro 12, mais beaux joueurs, ils ont permis à ce petit prédateur d'environ 60 cm de regagner l'océan. La direction du golf, situé à huit kilomètres de la côte à San Juan Capistrano, au sud de Los Angeles, pense que le requin a été attrapé par un rapace qui a ensuite laissé échapper sa proie au-dessus du golf.
"Un de nos surveillants faisait sa ronde quand il a remarqué quelque chose qui s'agitait dans l'herbe près du départ du trou numéro 12", a raconté à l'AFP la directrice des opérations du club, Melissa McCormack. "Il s'est approché et a vu un petit requin d'environ 60 cm de long. Il l'a rapidement mis sur sa voiturette et l'a ramené au club house", a-t-elle ajouté.
Mme McCormack a pris la bête en photo et a expliqué avoir constaté des blessures sur le dos du requin, ressemblant à des marques de morsures. Elle estime par conséquent que le poisson a été attrapé par un rapace, fréquent dans la région, qui l'a laissé tomber au-dessus du parcours.
Les membres du golf ont rapidement décidé de ramener le requin dans l'océan. "On l'a placé dans un récipient d'eau et on savait qu'il fallait le ramener à l'océan aussitôt. Un de nos membres l'a ramené sur la plage de Dana Point où il a été relâché", a repris Mme McCormack.
"Après l'avoir remis à l'eau il a quand même fallu attendre quelques instants avant qu'il ne se mette à nager", a-t-elle encore dit.

Ces étudiantes qui commercialisent leur corps


Cette problématique s'inscrit dans une banalisation de plus en plus fréquente du sexe.
Cette semaine, une Brésilienne de 20 ans a vendu sa virginité aux enchères. 600.000 euros, c'est le montant que Catarina Migliorini a récolté pour payer ses études de médecine. En Belgique, de telles situations sont-elles fréquentes?
Les membres du centre de planning familial "Aimer à l'ULB" expliquent qu'ils n'ont jamais été informés de pareil cas au sein de l'université bruxelloise, tout en précisant que les jeunes ne les consultent pas pour ce type de comportements.
Néanmoins, certains étudiants se servent de leur corps pour payer leur cursus universitaire. "Nous avons connaissance de cas de call girls", explique Cécile Laurent, psychologue à "Aimer à l'ULB". "Quand les parents ne veulent pas aider, les étudiants se retrouvent sans argent. En plus du minerval, ils doivent payer le kot, la nourriture, les livres. Chacun son truc pour récolter des sous."
Pour Florent Loos, sexologue au planning familial de Louvain-la-Neuve, "il est délicat de parler de 'prostitution' au sens où on l'entend généralement. Par contre, d'autres pratiques, moins explicites, sont plus fréquentes, comme ces étudiantes qui, si elles couchent, iront au restaurant et recevront un petit supplément à la fin du mois".
La prostitution destinée à payer les études s'avère donc plutôt rare. Néanmoins, la pratique est bien plus régulière dans certains pays, comme la Grande-Bretagne. Florent Loos souligne qu'"au Canada, et à Montréal plus précisément, où les études sont plus chères, la commercialisation du corps semble fréquente. Même des pratiques comme le strip-tease sont assez habituelles."
Quoi qu'il en soit, cette problématique s'inscrit dans une banalisation de plus en plus fréquente du sexe. Comme l'indique Cécile Laurent, "notre société baigne dans la pornographie, qui change les normes. On voit l'évolution dans notre centre de planning. Aujourd'hui, pour rentrer dans la norme, certaines personnes se sentent obligées d'exercer certaines pratiques".
LA LIBRE BELGIQUE