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13.11.11

Fukushima



Les autorités japonaises ont ouvert samedi les portes de la centrale nucléaire de Fukushima à un groupe de journalistes pour la première fois depuis le tsunami du 11 mars, voulant ainsi prouver que l'accident nucléaire est désormais sous contrôle.
Vêtus de combinaisons intégrales antiradiations, le visage protégé par un masque respiratoire, munis de deux paires de gants, une trentaine de reporters, dont quatre représentants de médias étrangers, ont été conduits à bord de deux autobus jusqu'au site atomique.

Doses intenses de radiations

Après avoir traversé les villes fantômes situées dans la zone interdite des 20 kilomètres, vidées de leurs habitants après l'accident, les journalistes ont constaté que le niveau de radioactivité était déjà de 20 microsieverts par heure aux portes de la centrale.
A mesure que les véhicules s'approchaient des réacteurs, le niveau est monté rapidement, atteignant même au coeur d'une forêt de pins le record de 1.000 microsieverts, soit un millisievert par heure, ce qui correspond à la dose annuelle maximale imposée en temps normal au Japon et dans la plupart des pays.
Un journaliste a raconté que le bâtiment abritant le réacteur numéro 3 était le plus endommagé, avec tout autour des carcasses de camions, des barrières métalliques tordues et des réservoirs d'eau éventrés.


L'image du jour 13-11-2011

"Shock of Peace" opération mains propres à Rio de Janeiro

L’introduction du programme de maintien de la paix à Rio de Janeiro fait partie de l’effort mené par l‘état pour s’attaquer au crime et assurer la sécurité en préparation de la Coupe du Monde de football de 2014 et des Jeux Olympiques de 2016. REUTERS / Sergio Moraes

La révolte contre les "Marchés"

Les citoyens finiront par se révolter contre la "dictature de fait" des marchés financiers depuis le début de la crise de la dette en zone euro, a déclaré le président de l'Autorité des marchés financiers (AMF), Jean-Pierre Jouyet, dans un entretien au Journal du dimanche.
Les marchés "ont fait pression sur le jeu démocratique", a-t-il expliqué, soulignant qu'avec le départ du président du conseil italien, Silvio Berlusconi, "c'est le troisième gouvernement qui saute à leur initiative pour cause de dette excessive".
Avant le renoncement de M. Berlusconi, son homologue grec Georges Papandréou en avait fait de même, mercredi soir. En novembre 2010, le Premier ministre irlandais Brian Cowen avait lui aussi été contraint d'annoncer son départ en février 2011, après la mise en place d'un plan d'aide d'urgence à son pays.
"Pour les marchés, Silvio Berlusconi n'était plus l'homme de la situation et l'envolée des taux d'intérêt de la dette italienne a été leur bulletin de vote", a analysé M. Jouyet, observant que "Nicolas Sarkozy, à l'inverse, est plutôt bien noté pour le moment".
Interrogé sur l'envoi jeudi, par erreur, d'un avis de dégradation de la note de la France par l'agence Standard and Poor's, M. Jouyet a estimé que, pour les grandes agences de notation, "la dette souveraine est devenue un produit d'appel et de notoriété". L'AMF a annoncé jeudi soir avoir ouvert une enquête sur l'erreur de Standard and Poor's.

Le village des nostalgiques de Mussolini


Portrait non daté de Benito Mussolini.


“Nous venons rendre hommage à cet homme pour ses idées, les plus européennes, les plus méditerranéennes et les plus originales” déclame Giulio Tam, un prêtre catholique traditionnaliste.
Voilà ce qui se passe à Predappio, trois fois par an, pour commémorer le jour de la naissance de Benito Mussolini (le 29 juillet 1883, dans une maison non loin du cimetière), sa mort (aux mains des partisans, le 28 avril 1945) et ce que l'on appelle la marche sur Rome, qui a mené son parti au pouvoir en octobre 1922.
Ils sont venus le mois dernier en car, de Turin à Palerme, en pèlerinage jusqu'à la tombe de l'ancien dictateur fasciste, qui reçoit entre 80.000 et 100.000 visiteurs par an.
“C'est comme aller à la basilique Saint-Pierre pour les chrétiens, sauf qu'ici certains portent un fez”, indique Gianni, un Turinois. Il parle du chapeau de feutre noir en forme de cône tronqué devenu un élément de l'uniforme des chemises noires fascistes, porté ici par quelques jeunes gens tirés à quatre épingles.
D'autres sont venus en témoignage d'une époque où, croient-ils, l'Italie, contrairement à aujourd'hui, jouait un rôle important dans le monde.
“L'Italie a besoin d'un changement significatif, nous sommes aux mains de politiciens qui sont indignes d'avoir été élus, affirme Enrico Cozzani, propriétaire d'une entreprise de sécurité à Lucques. Nous sommes la risée de l'Europe.”
Après l'assassinat de Mussolini, la décision est prise de dissimuler sa tombe pour éviter que ses partisans en fassent un mémorial.
Après son exécution, le 29 avril 1945, à Milan, son cadavre est accroché à un croc de boucher, puis il est enterré dans une tombe anonyme d'un cimetière voisin. Un an plus tard, des loyalistes néofascistes déterrent sa dépouille et le cachent dans un couvent en Lombardie jusqu'en 1957, lorsque les restes sont rendus à la veuve de Mussolini, qui les enterre dans la crypte familiale à Predappio.
En vérité, les efforts des autorités italiennes pour cacher le lieu de sa sépulture se sont retournés contre elles, son emplacement suscitant rapidement d'intenses spéculations. “Un cadavre qui n'est nulle part est partout”, affirme Sergio Luzzatto, historien à l'université de Turin, auteur d'Il Corpo del Duce, ouvrage sur les vicissitudes du cadavre.
Un musée des souvenirs du Duce a été ouvert en 2001 par Domenico Morosini, un homme d'affaires lombard, dans une ancienne villégiature de Mussolini.
Entre 2 000 et 3 000 visiteurs s'y rendent tous les ans et il pourrait en attirer plus, mais son fondateur a du mal à le promouvoir. Les panneaux de signalisation qui indiquent le musée “sont en permanence renversés par les gauchistes”, dit-il.
Giorgio Frassineti, maire de centre gauche de Predappio, préférerait éviter ce tourisme.
“Nous refusons une vision de Predappio réservé aux rares fidèles, à ceux qui assistent aux commémorations, mais aussi celle de l'extrême gauche qui voudrait effacer son histoire, explique-t-il. Ils empêchent un autre type de tourisme.”

La fin du mafieux Berlusconi



Berlusconi, c'est fini. Samedi après-midi, les députés italiens ont définitivement adopté les mesures anti-crises promises à l’Union européenne pour réduire la dette de leur pays. Le texte a recueilli 380 voix pour, 26 contre et deux abstentions. Ce vote de la Chambre, après celui du Sénat vendredi, était la condition de Silvio Berlusconi pour remettre sa démission au président de la République, Giorgio Napolitano. Celle-ci est intervenue peu après 21h30, après que le Cavaliere se soit rendu au palais présidentiel, sous les huées des Italiens présents sur place. Avant cela, un dernier conseil des ministres s'était tenu pour acter le départ définitif du dirigeant de 75 ans. La présidence du Conseil italien devrait désormais revenir à l’ancien commissaire européen, Mario Monti.

12.11.11

Rosa Ferrer és condecorada com a Gran Oficial de l'Ordre de l'Infant de l'Ambaixada de Portugal



L'ambaixador de Portugal, Mario Damas Nunes, ha fet entrega, aquest dijous al vespre de la condecoració de Gran Oficial de l'Ordre de l'Infant a la cònsol major d'Andorra la Vella, Rosa Ferrer.
Damas Nunes ha explicat que va sol·licitar al primer ministre portuguès, Aníbal Cavaco Silva, condecorar a la cònsol per la seva tasca al costat de la població i el seu suport a les comunitats residents, com és la portuguesa. La cònsol s'ha mostrat emocionada de rebre el reconeixement i ha expressat que 'no sé perquè me'l donen a mi'.
L'ambaixador de Portugal, Mario Damas Nunes, ha explicat que la decisió de donar la condecoració a la cònsol major d'Andorra la Vella, Rosa Ferrer, va ser presa per l'actitud que sempre ha tingut de col·laboració amb la comunitat portuguesa.
Damas Nunes ha dit que 'de totes les persones que treballen amb nosaltres, que sempre ha tingut una paraula de comprensió, d'acceptar la diferència i integrar-la socialment, culturalment i políticament a la parròquia, Rosa Ferrer ho fa d'una manera única'.
Per la seva banda, Rosa Ferrer, ha agraït emocionada la condecoració i ha dit que creia que no feia res d'excepcional, si no que quan els han demanat col·laboració 'sempre hem estat a la seva disposició, però per a mi forma part de la responsabilitat institucional que em toca assumir'. Ha afegit que sempre, des del Comú, han intentat satisfer les necessitats i demandes fetes per part de la comunitat portuguesa.
Durant el discurs de la cònsol major, que ha acabat amb la lectura en portuguès d'un poema de Fernando Pessoa titulat Saudades, ha destacat el pes al llarg de la història dels residents portuguesos a Andorra, així com l'aportació al creixement econòmic del país i la seva integració sociocultural i lingüística. Actualment representen el 20% de la població, unes 14.000 persones.
Ferrer no ha oblidat la incertesa que es viu en aquests moments per la possibilitat que els residents portuguesos es quedin sense representació diplomàtica, i ha explicat que ha fet arribar a l'alcalde de Lisboa la necessitat d'aquesta representació i que si pot intercedeixi perquè es mantingui.
Igualment ha dit que tots els cònsols, en la darrera reunió, ha signat una demanda de les mateixes característiques que han fet arribar al conseller de les comunitats portugueses a Andorra, José Manuel Da Silva, perquè en pugui fer ús com estimi convenient. Mario Damas, en declaracions als mitjans ha dit que encara no se sabia res oficialment sobre el futur de l'Ambaixada i del Consolat.
A l'acte hi ha hagut una nombrosa representació institucional, però entre els quals s'hi han trobat a faltar els consellers del PS del Comú d'Andorra la Vella. Si que hi eren tota la resta de la corporació inclosos els consellers de Progrés Comunal, així com els dos cònsols d'Ordino, els dos de Sant Julià i el cònsol major de la Massana.
L'excap de Govern, Òscar Ribas, també hi ha estat present, així com els consellers generals Carles Ensenyat i Sofia Garrallà. Entre els assistents, tots els representants de les diferents associacions i col·lectius de residents portuguesos, amb l'ambaixador, el cònsol i el conselleiro.

11.11.11

CE SON EN (tout en « S »)

Mais quel est ce triste son
Qui "réss-onne" dans sa tête 
Est-ce la dérai"sson" qui
Sans cesse s’entête ?

Andorra, 11-11-11

8.11.11

L'image du jour 08-11-2011

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Pélérinage annuel à la Mecque

Pélérinage annuel à la Mecque
Les musulmans du monde entier célèbrent l’Aïd al-Adha par le sacrifice de moutons, de chèvres et de chameaux pour commémorer la soumission du prophète Abraham sacrifiant son fils Ismaël à la demande de Dieu. REUTERS/Ammar Awad

7.11.11

Rigueur, en route vers la grande dépression

dessin Louison
François Fillon a annoncé un nouveau train de mesures d'économie, soit 17,5 milliards pour 2012 et 2013. Confirmant l'objectif de 0 déficit pour 2016, le Premier ministre affirme placer la France sur les railles d'une cure d'austérité sans précédent depuis 1945. La grande dépression est plus que jamais une issue possible pour les économies européennes.

Le dessin du jour 07-11-2011

L'image du jour 07-11-2011

Course poursuite policière en Biélorussie
Course poursuite policière en Biélorussie
Des policiers en civils courent après un manifestant (à droite) dans le square de l’Indépendance à Minsk. Des dizaines de personnes se sont rassemblées lundi pour commémorer l’anniversaire de la Révolution Bolchévique de 1917. REUTERS/Vasily Fedosenko

6.11.11

Now, it's time to say goodbye

PIN UP- 2B2

CIAO, CIAO, CIAO...

Presse de combat - L'opinion de Siné

Publié le 1 novembre 2011
Siné MensuelLe journal qui fait mal et ça fait du bien

La crise ? Quelle crise ? Tout va super bien.

Dessin de une : Matthias Lehmann
Indignés, paumés, syndiqués, révoltés, Siné Mensuel donne de la voix à ceux qui luttent, se fâchent et remportent des victoires.
Les guerrières d’Albertville : ces caissières, après 103 dimanches, ont gagné le droit au repos dominical, elles continuent la bagarre.
Les Goodyear résistent toujours après cinq ans de lutte. L’usine n’a pas fermé et le combat s’intensifie.
Qui est allé s’égosiller avec les Indignés à Bruxelles ? Noël Godin a marché avec eux, urinant au passage sur une banque… Reportage décoiffant de l’entarteur sur d’enthousiasmants manifestants.
La Une de Siné Mensuel n°3Les associations d’aides aux pauvres sont asphyxiées par la baisse des moyens. Une partie de celles qui s’occupent de mauvais pauvres, les toxicos, fermeront en 2012, la rage au cœur. Témoignage de Thierry Pelletier, travailleur social.
André Grimaldi, professeur de diabétologie à la Pitié-Salpêtrière, dans une longue interview, explique comment on peut combler le trou de la Sécurité sociale et mieux soigner riches et pauvres.
Par Ian Hamel : le malheur des pauvres fait le bonheur des riches : 80 milliards de dollars entrent chaque jour en Suisse ! Les paradis fiscaux n’ont jamais été aussi florissants.
Pierre Concialdi, économiste, décode la World Company.
Willis de Tunis nous livre son chat un peu désespéré mais toujours combatif après les élections tunisiennes. Mix & Remix se défoule dans sa pleine page tout comme Jiho, Berth, Lindingre, Faujour, Willem, Carali et Aranega.
Une fiche pratique de saison pour un beaujolais nouveau fait à la maison ! Les conseils prodigués par la meilleure des vigneronnes : Marie Lapierre. À vos grappes.
Yassine Bellatar rejoint les chroniqueurs du journal : Christophe Alévêque, Jackie Berroyer, Isabelle Alonso, Delfeil de Ton.

River y Cavenaghi mostraron su mejor versión para volver a la punta

CAVENAGHI BRILLO Y RIVER VOLVIO A LA PUNTA.En Jujuy, el millonario venció 4-1 a Gimnasia con cuatro tantos del Torito (de penal, de derecha con comba, de taco y el último con una gran definición). El equipo de Almeyda se recuperó luego de la derrota ante Aldosivi y le sacó un punto a Instituto, que debe un partido...

Colômbia catastrofe: Organismos de socorro continúan buscando entre toneladas en el populoso barrio Cervantes.


Derrumbe en el barrio Cervantes de Manizales

Sentadas al borde de una ladera y llorando, Gloria y Marcela recordaron los momentos vividos con doña Marina, Lucero, 'Chila', Mercedes y los Puerta, "nuestros vecinos de toda una vida" en el barrio Cervantes, cerca del centro de Manizales, que en la madrugada de este sábado fue escenario de un deslizamiento de tierra, que deja un saldo parcial de cuatro muertos, 11 lesionados y un número indeterminado de desaparecidos.

"Doña Marina era una persona muy especial para mí, como una madre", rememoró Gloria, para quien es claro que muchos de sus amigos y vecinos perdieron la vida, aunque los organismos de socorro no los han encontrado.

Gloria y su familia no se convirtieron en víctimas de la tragedia porque un vecino les dijo que evacuaran ante los ruidos que escuchó en la madrugada. En la noche del viernes cayó un aguacero y el deslizamiento se desprendió a las 6 de la mañana.

La directora de la Oficina municipal de prevención y atención de desastres (Ompad), Sandra López, afirma que la causa del desastre es la saturación de agua del terreno debido a las precipitaciones que han caído sobre la ciudad.

Marcela relata que doña Lucía, otra de sus vecinas, se salvó milagrosamente de morir porque en su casa de tres pisos, vivía en el último. "Ella se fue cayendo, cayendo y su hijo se tiró a sacarla y la rescató, pero los que vivían en los primeros pisos sí se quedaron ahí", cuenta entre sollozos.

Las dos mujeres interrumpen sus relatos para mirar hacia el sitio de la tragedia y secarse las lágrimas con sus dedos. "Ahí debe haber mucha gente atrapada porque había casas de cuatro, tres y dos plantas, como la de don Pacheco, a quien sacaron vivo, pero le dio un preinfarto", agrega Marcela.

"Nuestras casas quedaron en peligro y por eso le pedimos a la Alcaldía que nos ayude porque acabamos de salir de la crisis del agua (toda la ciudad estuvo sin el líquido vital durante 15 días) y ahora nos sucede esto", dijo Marcela.

Al cierre de esta edición, los organismos de socorro continuaban buscando entre toneladas de lo que fueron 16 viviendas del populoso barrio Cervantes, a las víctimas del deslizamiento. El reporte oficial del Comité Local de Emergencias es de cuatro personas muertas y 11 heridas, pero en el sitio de la tragedia puede haber familias enteras sepultadas, de acuerdo con el testimonio de personas como Gloria y Marcela.

"El número de víctimas puede ser muy grande porque en una sola casa vivían 10 personas", apuntó el comandante del Cuerpo Oficial de Bomberos, Mayor Carlos Alberto Marín.

Sobre los escombros que dejó el alud y en el que quedaron esparcidos sobre una playa de 100 metros de largo por 50 de ancho las paredes de las viviendas, pedazos de tablas, electrodomésticos y tubos de alcantarillado, entre otros, socorristas de los bomberos, la Cruz Roja, la Defensa Civil, el Grupo Especial de Rescate (GER), Búsqueda y Rescate (BYR), policías, soldados y voluntarios buscaban con picas y palas a sobrevivientes, en los sitios donde escuchaban voces de auxilio.

Los voluntarios son vecinos y familiares que saben donde estaban ubicadas las casas.

Como consecuencia del alud, la operación del cable aéreo que comunica el Terminal de Transportes con el sector de Fundadores fue suspendida, ya que una de las torres del sistema de transporte está situada muy cerca al sitio del deslizamiento, al lado de un jardín infantil del Instituto Colombiano de Bienestar Familiar. El cierre del cable es por prevención.

Cuatro muertos en alud en el QuindíoLas lluvias que azotaron al Quindío en las ultimas horas, causaron un deslizamiento a las 12:14 de la madrugada de ayer, que sepultó dos viviendas, ubicadas la vereda 'Chaguala', en el sector conocido como 'El Castillo', dejando cuatro muertos y cinco heridos.

Javier Rodríguez, comandante del Cuerpo de Bomberos de Calarcá, dijo que sus hombres "acudieron de inmediato al lugar de la emergencia, con el apoyo de la Policía, la Cruz Roja, la Defensa Civil y el CTI, que está confirmando la identidad de los fallecidos".

El director de la Defensa Civil del Quindío, coronel Juan Pablo Barrera Reyes, confirmó que la tragedia se presentó por las intensas lluvias del viernes pasado. "En este momento la situación está controlada y no hay más familias en peligro", dijo Barrera.

Funcionarios del hospital de la Misericordia, de Calarcá, informaron que los heridos se encuentran estables y fuera de peligro.
Fernando Umaña Mejía
Corresponsal de EL TIEMPO - COLOMBIA