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5.11.11
4.11.11
Obama describió a Cristina como una "gran amiga" y destacó los "lazos comunes" entre EE.UU. y la Argentina
Entre sonrisas, fuertes elogios y en un clima de distensión, Cristina Kirchner y Barack Obama ratificaron la importancia del vínculo bilateral entre la Argentina y los Estados Unidos y destacaron los "lazos comunes" entre ambos países. El presidente estadounidense se refirió a la jefa del Estado como una "gran amiga" y ambos se saludaron como "dos amigos personales".
Fue en una declaración pública que compartieron en Cannes después de estar reunidos durante casi una hora.
"No podemos soslayar el liderazgo político y económico de Estados Unidos en el mundo", planteó Cristina Kirchner después de agradecerle a Obama por el encuentro.
"Esta reunion es muy importante para nosotros. Quiero agradecerle sus palabras", devolvió la Presidenta. Segundos antes, el estadounidense había descripto el cónclave como "un honor". También había vuelto a felicitarla por su reelección.
L'image du jour 04-11-2011
G20 de Cannes : un sommet sous tension
3.11.11
L'image du jour 03-11-2011
Le Safari World de Bangkok inondé
Merkel se moque de la Grèce
Alors que les pays européens redoutent le pire, la chancelière allemande a fait de l’humour sur les Grecs suite à la décision d’Athènes d’organiser un référendum.
Redoutant que l’ensemble de la zone euro s’effondre si la Grèce abandonne la monnaie unique, la presse européenne tirait hier à boulets rouges sur Athènes. La plupart des journaux titraient sur les risques que court le continent, à l’exemple de La Dépêche du Midi: «La Grèce met le feu à l’Europe et au G20», ou de L’Agefi: «La Grèce joue l’avenir de l’Europe sur un coup de dés».
«Nous apprécions les Grecs (…) quand ils se montrent raisonnables», a lancé pour sa part en plaisantant la chancelière allemande, Angela Merkel, à quelques heures d’une rencontre avec le premier ministre grec, Georges Papandréou.
Concrètement, la promesse d’un référendum en Grèce sur l’acceptation ou non du plan de sauvetage financier européen, associé à une politique d’austérité sans précédent, sème le désarroi. «A un moment où l’Europe a le plus besoin de signes de confiance, on est avec ce référendum face à une situation contribuant à de l’insécurité et de l’imprévisibilité», a déclaré le ministre portugais des Affaires étrangères, Paulo Portas.
Georges Papandréou a été convoqué hier soir par les principaux dirigeants européens et le FMI à Cannes (France) pour tenter de ramener le calme à la veille du sommet du G20. Le premier ministre français, François Fillon, a résumé le message qui sera adressé à Georges Papandréou lors de ce minisommet de crise: «Les Grecs doivent dire vite et sans ambiguïté s’ils choisissent ou non de garder leur place dans la zone euro.»
La décision grecque a en effet bouleversé toute la stratégie du groupe des vingt principaux pays riches et émergents (G20) dont les chefs d’Etat et de gouvernement se réunissent aujourd’hui et demain sur la Côte d’Azur avec pour ambition d’éviter au monde de replonger dans le marasme économique.
Quant à Papandréou, il a prétendu hier avoir prévenu ses partenaires depuis quelque temps déjà sur son intention de laisser ses concitoyens décider de leur avenir. En outre, on ignore si ce référendum pourra être organisé. Le premier ministre doit en effet obtenir demain le feu vert de son Parlement pour l’organiser.
«Nous apprécions les Grecs (…) quand ils se montrent raisonnables», a lancé pour sa part en plaisantant la chancelière allemande, Angela Merkel, à quelques heures d’une rencontre avec le premier ministre grec, Georges Papandréou.
Concrètement, la promesse d’un référendum en Grèce sur l’acceptation ou non du plan de sauvetage financier européen, associé à une politique d’austérité sans précédent, sème le désarroi. «A un moment où l’Europe a le plus besoin de signes de confiance, on est avec ce référendum face à une situation contribuant à de l’insécurité et de l’imprévisibilité», a déclaré le ministre portugais des Affaires étrangères, Paulo Portas.
Georges Papandréou a été convoqué hier soir par les principaux dirigeants européens et le FMI à Cannes (France) pour tenter de ramener le calme à la veille du sommet du G20. Le premier ministre français, François Fillon, a résumé le message qui sera adressé à Georges Papandréou lors de ce minisommet de crise: «Les Grecs doivent dire vite et sans ambiguïté s’ils choisissent ou non de garder leur place dans la zone euro.»
La décision grecque a en effet bouleversé toute la stratégie du groupe des vingt principaux pays riches et émergents (G20) dont les chefs d’Etat et de gouvernement se réunissent aujourd’hui et demain sur la Côte d’Azur avec pour ambition d’éviter au monde de replonger dans le marasme économique.
Quant à Papandréou, il a prétendu hier avoir prévenu ses partenaires depuis quelque temps déjà sur son intention de laisser ses concitoyens décider de leur avenir. En outre, on ignore si ce référendum pourra être organisé. Le premier ministre doit en effet obtenir demain le feu vert de son Parlement pour l’organiser.
Cette Europe-là, on la laisse aux prédateurs!!!
San Luis: ocho muertos en un choque entre un tren y un colectivo que transportaba niñas
Un tren de carga arrolló este mediodía un colectivo que transportaba a un grupo de menores de edad. El accidente ocurrió a la altura de la localidad puntana de Zanjitas, 40 kilómetros al sur de la ciudad de San Luis. Hay al menos ocho muertos, según confirmó el jefe de prensa de la policía de San Luis, Carlos Pereyra, a Télam.
Se trata de seis menores y dos adultos, uno de ellos la vicedirectora de la escuela a la que pertenecen las niñas. Los cuerpos están "irreconocibles", precisó Pereyra.
Además, informó que hay personas con todo tipo de heridas.También hay varios heridos de gravedad, y tres de ellos se encuentran en terapia intensiva.
La policía de San Luis confirmó que no hay posibilidades de que hayan personas desaparecidas porque entre los fallecidos y los sobrevivientes, "se completa la lista de 42 personas que viajaban en el micro", confirmó Monica Alfonso, oficial principal de esa fuerza. Además, precisó que la zona se encuentra vallada y que la policía continúa trabajando en el lugar, "haciendo peritajes y rastrillajes".
Las niñas y docente pertenecen al quinto grado del colegio Santa María, que depende de la Universidad Católica de Cuyo. Habían emprendido un viaje solidario para llevar ropas y alimentos a la ciudad de Cazadores, sur de San Luis.
En ese lugar, indicó Pereyra, no hay paso a nivel ni hay barrera. Pero sí estaba bien señalizado.
Alberto Rodríguez Sáa, gobernador de San Luis, decretó dos días de duelo. "Todo esto es muy dramático y muy trágico", sostuvo.
Los heridos fueron trasladados hacia el Complejo Sanitario San Luis, al hospital de Juana Koslay, y también al sanatorio privado "Rivadavia" de la capital puntana.
En cuanto al número oficial de víctimas fatales la ministra de Salud de San Luis, Teresita Nigra, dijo a LA NACION que "primero se les dará la noticia a los padres que están en el salón de actos del hospital siendo contenidos por sicólogos y siquiatras".
La funcionaria confirmó que hay dos niñas en grave estado, una de las cuales está siendo operada en uno de los quirófanos y 37 heridos con diferentes traumatismos.
En el vehículo viajaban más de 40 niñas de la escuela Santa María de San Luis, que iban camino a un retiro espiritual. La camioneta se trasladaba por la ruta provincial n°3. El jefe de prensa del Ministerio de Seguridad puntano, Diego Odorico, informó que "la visibilidad era perfecta y la ruta está señalizada".
Por su parte, Jorge Antúnes, intendente de Zanjitas, informó que "el colectivo fue arrastrado varios metros".
Oscar Calderón, un comisario que trabajaba en el lugar del hecho este mediodía, indicó que ese tren de carga pasa por el lugar una vez al día.
En tanto, el ministro de Educación de San Luis, Marcelo Sosa, informó que "habrá duelo provincial" por el accidente. "Hemos trasladado a un equipo de psicólogos al lugar del hecho y al hospital para brindar contención a la gente", dijo.
La ministra de Seguridad de San Luis, Berta Arenas, informó que el chofer del colectivo y el maquinista de la formación quedaron "bajo custodia" de la policía local, a disposición de la justicia.
El tren transportaba carbón desde Retiro hacia Mendoza. En el lugar trabajaba personal de la policía, bomberos y servicios de emergencia.
L'image du jour 02-11-2011
Manifestation anti-G20 clownesque
1.11.11
Lu dans Charlie Hebdo: Levaï: chronique d'un suicide
Ivan Levaï a été un journaliste. Pas vraiment reporter de terrain, plutôt reporter de rince doigts. Ivan Levaï n’hésitait pas à se mouiller. Pour obtenir des informations, il était souvent amené à dîner avec les puissants. A l’issue d’un repas bien arrosé, les puissants lui caressaient la tête et lui grattaient le dos. Ivan Levaï repartait alors, persuadé que la douce sensation qui l’envahissait était celle du devoir accompli. Ivan Levaï qui est retraité continue sur France Inter de faire ce qu’il a fait de mieux au cours de sa carrière : lire en diagonale des articles écrits par d’autres. Une revue de presse, ça s’appelle. France Inter accompagne les journalistes en fin de vie, c’est tout à son honneur.
Ivan Levaï aurait pu mourir devant le micro qui lui tint compagnie toute sa carrière, mais c’est finalement la plume à la main qu’il est mort. Le livre qu’il vient de publier pour défendre son ami Strauss-Kahn lui servira de linceul. Un petit linceul pour un petit homme. «Chronique d’une exécution».
Strauss-Kahn est innocent parce que Strauss-Kahn est son ami. C’est la thèse du livre. Les amis de Levaï sont innocents. Dommage pour eux que les branleurs de banlieues entaulés pour vols de scooter ou pour viols ne soient pas les amis de Levaï. Être ami de Levaï n’est pas à la portée de tout le monde. Comment faut-il faire pour être l’ami de Levaï? Il faut d’abord avoir épousé la femme de celui-ci. Ce qui explique que Levaï a très peu de véritables amis.
Levaï se vante d’avoir réclamé et obtenu une audience à Sarkozy pour lui demander de sortir son ami de prison. Comment ça s’appelle un journaliste qui se sert de son statut de journaliste pour obtenir d’un Président de la République qu’il intervienne en faveur d’un ami accusé de viol à l’étranger? Il y a un mot, non? Je ne trouve pas… Appelons ça un Levaï.
Levaï aurait pu resté dans l’histoire du journalisme comme la plus belle brosse à reluire de la profession, il restera pour une phrase qu’il a prononcée à l’antenne de France Inter à propos du viol que ne peut pas avoir commis son ami. «Je ne crois pas au viol. Pour un viol, il faut un couteau, un pistolet…». Pauvre Strauss-Kahn… Il vaut mieux ne pas avoir d’ami que d’être défendu par un Levaï. Seules les brutes qui manient le couteau et le flingue peuvent violer. Pour Levaï l’autorité, le pouvoir ne ferait donc pas partie de la panoplie du violeur. Levaï, lui, ne s’est jamais fait violé par quelqu’un qui détenait le pouvoir, il a toujours été consentant. Soit.
On pourrait passer du temps à éponger les ignobles conneries qui ont suinté de l’inconscient de Levaï à propos du viol, à propos des femmes. Juste une, alors, une énorme : dans l’Express Levaï affirme que DSK a été guillotiné «et guillotiné sèchement!». «Robert Badinter me racontait, il y a peu, que la dernière femme condamnée à mort en France, sous le régime de Pétain, avait été jugée pour avoir aidé une femme à avorter!» Magnifique comparaison d’un viol avec un avortement… DSK aurait donc voulu rendre service à Nafissatou Diallo. Non pas lui faire passer un bébé, mais lui procurer un orgasme, sans doute.
C’est à dégueuler. On ne veut plus vivre avec des générations qui ont connu l’époque où on trouvait normal que le viol d’une femme soit qualifié de troussage de domestique. On n’a pas le temps de les rééduquer les vieux boucs, on a autre chose à foutre. Qu’ils disparaissent! Qu’on leur coupe au moins… le micro.
DSK est peut-être innocent, il est peut-être coupable, on ne le saura jamais. En revanche, on sait que Levaï est mort persuadé que s’est en se roulant lui-même dans la merde que DSK sentirait la rose.
Charb
Ivan Levaï aurait pu mourir devant le micro qui lui tint compagnie toute sa carrière, mais c’est finalement la plume à la main qu’il est mort. Le livre qu’il vient de publier pour défendre son ami Strauss-Kahn lui servira de linceul. Un petit linceul pour un petit homme. «Chronique d’une exécution».
Strauss-Kahn est innocent parce que Strauss-Kahn est son ami. C’est la thèse du livre. Les amis de Levaï sont innocents. Dommage pour eux que les branleurs de banlieues entaulés pour vols de scooter ou pour viols ne soient pas les amis de Levaï. Être ami de Levaï n’est pas à la portée de tout le monde. Comment faut-il faire pour être l’ami de Levaï? Il faut d’abord avoir épousé la femme de celui-ci. Ce qui explique que Levaï a très peu de véritables amis.
Levaï se vante d’avoir réclamé et obtenu une audience à Sarkozy pour lui demander de sortir son ami de prison. Comment ça s’appelle un journaliste qui se sert de son statut de journaliste pour obtenir d’un Président de la République qu’il intervienne en faveur d’un ami accusé de viol à l’étranger? Il y a un mot, non? Je ne trouve pas… Appelons ça un Levaï.
Levaï aurait pu resté dans l’histoire du journalisme comme la plus belle brosse à reluire de la profession, il restera pour une phrase qu’il a prononcée à l’antenne de France Inter à propos du viol que ne peut pas avoir commis son ami. «Je ne crois pas au viol. Pour un viol, il faut un couteau, un pistolet…». Pauvre Strauss-Kahn… Il vaut mieux ne pas avoir d’ami que d’être défendu par un Levaï. Seules les brutes qui manient le couteau et le flingue peuvent violer. Pour Levaï l’autorité, le pouvoir ne ferait donc pas partie de la panoplie du violeur. Levaï, lui, ne s’est jamais fait violé par quelqu’un qui détenait le pouvoir, il a toujours été consentant. Soit.
On pourrait passer du temps à éponger les ignobles conneries qui ont suinté de l’inconscient de Levaï à propos du viol, à propos des femmes. Juste une, alors, une énorme : dans l’Express Levaï affirme que DSK a été guillotiné «et guillotiné sèchement!». «Robert Badinter me racontait, il y a peu, que la dernière femme condamnée à mort en France, sous le régime de Pétain, avait été jugée pour avoir aidé une femme à avorter!» Magnifique comparaison d’un viol avec un avortement… DSK aurait donc voulu rendre service à Nafissatou Diallo. Non pas lui faire passer un bébé, mais lui procurer un orgasme, sans doute.
C’est à dégueuler. On ne veut plus vivre avec des générations qui ont connu l’époque où on trouvait normal que le viol d’une femme soit qualifié de troussage de domestique. On n’a pas le temps de les rééduquer les vieux boucs, on a autre chose à foutre. Qu’ils disparaissent! Qu’on leur coupe au moins… le micro.
DSK est peut-être innocent, il est peut-être coupable, on ne le saura jamais. En revanche, on sait que Levaï est mort persuadé que s’est en se roulant lui-même dans la merde que DSK sentirait la rose.
Charb
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