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31.1.12

Petit sarko: sans commentaire!

SOCIAL-SANS-PAPIERS-OCCUPATION

Même "con" bas?

Sarko Banania. Y'a pas bon...!

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SANS LUI, TOUT DEVIENT POSSIBLE!

Petit sarko: sans lui, tout devient possible!

A demonstrator wears a mask representing President Sarkozy during a demonstration in Paris

SANS  LUI
                  TOUT  DEVIENT
                                             POSSIBLE!

La TVA à 21,2 %




Merde. "elle" va faire mieux que moi au premier tour...! (Cherlie Hebdo)

23.1.12

On aura tout vu! Petit sarko, en désespoir de cause, défend la Guyane!



Jusqu'à bien peu de temps, petit-sarko, se foutait complètement des français d'outre-mer, mais il a changé...encore une fois!
Nicolas Sarkozy s'est efforcé, lors d'un week-end en Guyane au cours duquel il a présenté ses voeux aux Français d'outre-mer, d'apparaître comme un président protecteur, évitant un duel à distance avec François Hollande, au moment même du grand oral du candidat PS au Bourget.
"Il me paraît fondamental que le président de la République vienne lui-même marquer, à intervalles réguliers, l'attachement que l'ensemble de la communauté nationale porte aux Outre-mer", a lancé dimanche le chef de l'Etat, devant quelque 2.000 personnes réunies au Zénith de Cayenne pour écouter ses voeux aux ultra-marins.
"Je me suis attaché à bâtir une nouvelle relation de confiance" avec l'outre-mer, "la France a la mission de protéger vos territoires contre les soubresauts du monde, la France a la mission de vous protéger chaque fois que vous en avez besoin", a-t-il assuré...

22.1.12

Sondages Baromètre JDD : Petit sarko - La dégringolade continue!

"Ce que tu es parle si fort qu’on n’entend plus ce que tu dis." Nicolas Sarkozy a beau multiplier les propositions, tenter de déplacer les lignes, revenir sur ses positions d’origine, rien n’y fait. La stature qu’il s’est forgée au cours des premières années de son quinquennat s’est progressivement figée dans l’opinion et ne lui permet pas d’en resculpter une autre, plus présidentielle et plus consensuelle. Le nouveau baromètre Ifop-JDD confirme cette stabilisation au plus bas d’un président de moins en moins audible : – 2 de satisfaction. François Fillon recule lui aussi, mais d’un point seulement.
Avec 32% de satisfaits et 68% de mécontents (dont 35% de très mécontents), le président de la République retombe à son niveau moyen de l’année 2011 : 32%. Il est naturellement minoritaire dans toutes les catégories, sauf chez les sympathisants UMP (81%, – 4). Le recul est surtout sensible chez les employés (– 4), les cadres moyens (– 4) et les sympathisants du MoDem.
C’est toujours dans le registre social que se multiplient les critiques, en particulier avec le projet – que, visiblement, les électeurs ont du mal à comprendre – de TVA sociale : "Il y a dernièrement un truc social, la TVA sociale, et nous qui allons la payer : il nous enfonce encore plus." Et le lamento des personnes interrogées par l’Ifop continue à mettre l’accent sur la dureté des temps ("La baisse du pouvoir d’achat, les hausses des taxes"), l’injustice de la politique sociale ("Il a lâché le petit peuple"), l’absence d’écoute, le caractère désordonné des mesures annoncées ("Des nouveautés, il y en a tous les jours et ça me déplaît").

21.1.12

Petit sarko et les lèche-cul


La Poste a créé un timbre avec la photo de Nicolas Sarkozy.
Le timbre ne colle pas aux enveloppes... On a immédiatement demandé une enquête. Après 1 mois de vérification et 4,1 millions d'euros, la commission d'enquête a présenté le rapport.
Le timbre est en parfaite condition. Il n'y a rien d'anormal avec la colle.
Le problème vient du fait que les gens préfèrent cracher sur le mauvais côté du timbre que de lui lécher le cul...

18.1.12

Petit sarko: la tête d'andouille au sommet de l'Etat!



Le chef de l'Etat, qui, pour dénoncer les accusations sans preuve, a traité de pédophile un journaliste importun, est coutumier des coups de colère indélicats. Florilège.
"Vous êtes un pédophile"
Le 19 novembre, en marge du sommet de l'Otan à Lisbonne, interrogé sur l'affaire Karachi, Nicolas Sarkozy s'énerve. "Vous dites n'importe quoi, vous ne vérifiez rien", lance-t-il aux journalistes, avant de tenter un douteux second degré, censé dénoncer ceux qui parlent sans preuve: "Vous êtes un pédophile, j'en ai l'intime conviction, j'ai vu les services secrets mais je ne vous dirai pas lesquels, j'ai vu quelqu'un mais je ne vous dirai pas qui c'est, et c'était oral. Mais j'en ai l'intime conviction, vous êtes un pédophile!" lance-t-il au le journaliste qui l'a interrogé.
"Fais pas le malin toi"
A l'occasion d'un déplacement à Chambéry en avril dernier, le président français s'emporte. Après lui avoir serré la main, un jeune homme essuie la sienne sur son pull. Le chef de l'Etat réagit immédiatement: "Fais pas le malin, fais pas le malin toi!" lui lance-t-il.

Triple A: le "scandaleux" télégramme diplomatique




Des "éléments de langage" sur la perte du triple A ont été recommandés aux diplomates français en poste à l'étranger. Un argumentaire très partisan qui pourrait irriter Berlin...
Signe de la nervosité croissante de l'exécutif à l'approche de l'élection présidentielle, le quai d'Orsay a diffusé lundi soir, dans les ambassades du monde entier, un télégramme diplomatique hors norme, que L'Express révèle en exclusivité. Cliquez ici pour le découvrir en intégralité.
Le texte prétend fournir des "éléments de langage" sur la perte du triple A par la France, mais l'argumentaire est tellement partisan qu'il ressemble par endroits à un tract de l'UMP. "En vingt-cinq ans de carrière, je n'ai jamais vu ça", soupire un conseiller d'ambassade, sous couvert de l'anonymat.
Lire plus sur: http://www.lexpress.fr/actualite/monde/triple-a-le-scandaleux-telegramme-diplomatique_1072652.html

L'espion de Petit Sarko



C'est l'homme le plus secret de France, Bernard Squarcini, le directeur central du renseignement intérieur. Pour la première fois, des journalistes ont enquêté sur un patron du contre-espionnage encore en activité. Cette semaine, Le Point publie, en exclusivité, les extraits du livre L'espion du président. Au coeur de la police politique de Sarkozy (1). Pendant un an, deux collaborateurs du Point et un journaliste du Canard enchaîné ont plongé au coeur du plus puissant service de renseignements dont s'est jamais dotée la France. La DCRI et ses 4 000 fonctionnaires. Ce "FBI à la française" voulu par Nicolas Sarkozy, qui fusionne les renseignements généraux et la DST, la Direction de la surveillance du territoire, a été créé avec une promesse : en finir avec les cabinets noirs, les manipulations et les coups tordus.
C'est tout le contraire que l'on découvre à la lecture de leur enquête. Dès sa création en juin 2008, l'outil a été dévoyé au profit d'un clan. Une dérive rendue possible par l'extrême proximité de son patron, Bernard Squarcini, avec l'Élysée. Mais aussi par la cloche du secret-défense qui permet de tenir à distance magistrats ou journalistes trop curieux. Les troublantes fréquentations du "Squale", comme on l'appelle, "l'homme qui sait tout et qui veut tout savoir", selon sa formule, sont elles aussi passées au crible. En octobre 2011, Bernard Squarcini a été mis en examen pour "atteinte au secret des correspondances" dans l'affaire des fadettes du journal Le Monde.
Retrouvez notre article complet et les extraits exclusifs du livre dans Le Point n° 2053, jeudi, en kiosque
Bernard Squarcini, le patron de la Direction centrale du renseignement intérieur.
L'espion de Petit Sarko

12.1.12

Martine Aubry et Petit sarko se cherchent et se trouvent!

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Le président Nicolas Sarkozy était jeudi en visite à Lille, fief de Martine Aubry, pour présenter ses voeux aux fonctionnaires. La Première secrétaire du Parti socialiste n'a pas fait de cadeau au chef de l'Etat, lui demandant de "monter le niveau" du débat, alors que les petites phrases animent les échanges politiques de jour en jour, à un peu plus de trois mois de l'élection présidentielle.
En janvier 2008, Nicolas Sarkozy était déjà venu à Lille pour présenter le projet de Révision générale des politiques publiques (RGPP). Martine Aubry lui avait alors offert un vélo.
Pas de cadeau cette fois
Quatre ans plus tard, l'ambiance n'est plus aux amabilités entre le chef de l'Etat et la patronne du PS, qui n'avait cette fois pas prévu de cadeau lors de l'"accueil républicain". "Je n'ai pas le coeur à ça, je pense qu'il n'a pas fait de cadeau à la France", a-t-elle expliqué à la presse. "Moi, en général, je ne fais que ce que je ressens".
Lors de ses voeux, le chef de l'Etat n'a pas manqué de faire allusion à la présence de la patronne du PS. "C'est très important que nos concitoyens sachent que nous sommes capables, ne serait-ce que quelques instants, de dominer nos différences pour manifester simplement que la République impose à l'opposition comme à la majorité de savoir se parler et se respecter", a-t-il souligné.
Des propos saisis au vol par Martine Aubry, à la fin du discours. "Vos derniers mots, faites-les partager à M. Accoyer", a-t-elle glissé au chef de l'Etat. Le président de l'Assemblée nationale Bernard Accoyer a créé la polémique en employant le terme de "guerre", mercredi lors de ses voeux, pour évoquer implicitement les conséquences d'une victoire de la gauche à la présidentielle.
Monter le niveau
"Si on pouvait arriver à monter le niveau de ce débat, la République et la France y gagneraient", a poursuivi Martine Aubry à l'adresse de Nicolas Sarkozy. "Faites partager (votre avis, NDLR) à François Hollande quand il parle de moi", a rétorqué le président. Allusion transparente à l'expression "sale mec", employée par le candidat socialiste à la présidentielle alors qu'il parodiait Nicolas Sarkozy devant des journalistes.
"Mais je partage votre avis, d'ailleurs sur Accoyer", a avoué le chef de l'Etat à la maire de Lille. "Faites-le partager, j'essaierai de le faire chez moi", a rétorqué Martine Aubry. "Mais je suis sûr que vous essaierez, j'en suis sûr", a répondu sèchement Nicolas Sarkozy.
Quelques minutes plus tard, la patronne du PS s'est payé le luxe de bloquer un bref instant le départ du président de la République, en s'attardant dans le passage pour répondre à la presse.

10.1.12

Petit sarko: tricheur et faux-cul?



Selon le journal Sud-Ouest, les comptes de campagne pour l'élection présidentielle de 2007 de Nicolas Sarkozy font désormais l'objet d'une réquisition judiciaire, dans le cadre de l'enquête portant sur l'affaire Bettencourt.

Les comptes de campagne de Nicolas Sarkozy vont bientôt être épluchés par des juges d'instruction, selon le journal Sud Ouest. Dans le cadre de l'enquête portant sur l'affaire Bettencourt, instruite à Bordeaux, la justice a décidé de prononcer une réquisition judiciaire sur l'ensemble des comptes de 2007.
Nicolas Sarkozy est soupçonné d'avoir bénéficié d'un financement illégal. L'ex-comptable de la milliardaire Liliane Bettencourt, Claire Thibout, a affirmé qu'il lui avait été demandé début 2007 de retirer 150 000 euros destinés au trésorier de l'UMP, Eric Woerth, pour financer la campagne de 2007 de Nicolas Sarkozy. Eric Woerth, qui a toujours démenti avoir reçu des financements occultes de Mme Bettencourt, n'est pas pour l'heure judiciairement mis en cause.
Cette enquête a déjà conduit aux mises en examen de Patrice de Maistre et François-Marie Banier.

12.12.11

Sarkozy est-il toujours le premier flic de France ?

(Dessin : Louison)Le chef de l’Etat a construit son image sur ses liens avec la police. A quelques mois de la campagne, cette image de « premier flic de France » est devenue dérangeante et l’Elysée tente de s’en débarrasser. Une belle leçon de marketing.
Pour une fois, il n’était pas là. Lundi après-midi, avaient lieu les obsèques du lieutenant Eric Lalès de la Bac d’Aix-Provence, décédé jeudi après avoir été touché par une rafale de Kalachnikov. Si Claude Guéant était présent à la cérémonie, Nicolas Sarkozy était absent. Il s’était pourtant rendu vendredi au chevet du policier à Marseille, peu avant sa mort.
Sa visite à Marseille lui a, en tous cas, valu une belle polémique. Nicolas Sarkozy a été accusé d’avoir annoncé la mort de policier jeudi dans la journée alors que certains de ses collègues prétendaient qu’il serait décédé dans la nuit précédente. Une rumeur rapidement démentie. De même, l’annonce de l’octroi de 150 nouveaux fusils à pompe aux Bac (une revendication du syndicat policier de droite Alliance) a également été critiquée dans les rangs de la police. Unité SGP-FO, le syndicat proche de la gauche, dénonçant le « problème de fond » non réglé du manque d’effectifs.
Il est vrai que le terrain de la sécurité est glissant pour le chef de l’Etat. Et encore, ces derniers temps, l’Elysée a voulu éviter toute accusation de surenchère. Nicolas Sarkozy ne s’exprime presque plus sur l’immigration, il n’a pas dit un mot sur l’affaire Agnès. A Marseille, si la visite au policier était inévitable, le chef de l'Etat s’est contenté d’une déclaration dans la cour de l’Hôtel de Police de Marseille et non d’une conférence de presse grandiloquente avec passage des troupes en revue. Ce déplacement n'était même pas prévu au départ, le chef de l’Etat était présent dans la ville pour un tout autre évènement, en l'occurence le Congrès du PPE.
LIRE LA SUITE SUR MARIANNE 2

Sarkozy habló de "dos Europas"



El presidente francés Nicolas Sarkozy afirmó que "hay claramente dos Europas" tras la negativa británica de adherirse a un proyecto de reforma de los tratados para reforzar la disciplina fiscal en la Unión Europea, en una entrevista publicada este lunes por el diario Le Monde.
Sarkozy admitió haber fracasado en su intento, junto a la jefa del gobierno alemán Angela Merkel "para que los ingleses sean parte de ese acuerdo", y agregó que "ahora hay claramente dos Europas, una que quiere más solidaridad entre sus miembros y más regulación y otra que sólo tiene apego a la única lógica del mercado".
El presidente destacó sin embargo que Europa "necesita a Gran Bretaña" y que una salida de Londres del mercado único europeo "no está a la orden del día".
Como ya explicó el pasado viernes en Bruselas, Nicolas Sarkozy recaló que las "demandas (del primer ministro británico David Cameron) sobre los servicios financieros no eran aceptables".
"La crisis vino por la falta de regulación de las finanzas, nunca podríamos haber aceptado dar marcha atrás. Europa tiene que ir hacia una mayor regulación", dijo Sarkozy a Le Monde.
A pesar del "no" británico, Nicolas Sarkozy no concibe la salida de Gran Bretaña del mercado único de la UE.
"Necesitamos a Gran Bretaña. Sería empobrecedor asistir a su salida que, por suerte, no está a la orden del día", dijo.
El presidente francés recalcó los lazos con Londres y recordó que ambos países intervinieron juntos en Libia.
"Con Londres compartimos nuestro apoyo a la energía nuclear y una cooperación fuerte en defensa, que es esencial", añadió.
Los europeos se pusieron de acuerdo el pasado viernes para reforzar la disciplina presupuestaria para salvar la zona euro.
Todos los países de la Unión Europea aceptaron revisar los tratados europeos, excepto Gran Bretaña.
EL DIA - ARGENTINA

7.12.11

Obama se fout de la gueule de Petit sarko: le nabot "rit jaune"...

A l'occasion d'une conférence de presse pour le G20, le président des États-Unis n'a pas manqué de féliciter le chef de l'Etat pour la naissance de sa petite fille Giulia à sa manière...
Rassemblés depuis jeudi à Cannes, les 20 chefs d'État les plus puissants du monde cherchent actuellement une solution pour relancer la croissance mondiale et mettre fin à la crise de la dette qui est en train d'emporter la Grèce. Mais si l'ambiance est au travail, Barack Obama n'hésite pas à faire rire les journalistes et ses collègues. Ainsi, lors d'une conférence de presse, le président des États-Unis a tenu à féliciter Nicolas Sarkozy pour la naissance de sa petite fille à sa manière.
Devant l'assistance et aux côtés du chef de l'État, il a déclaré: "Je souhaite féliciter Nicolas et Carla pour la naissance de Giulia. Je suis sûr que Giulia a hérité du physique de sa mère plutôt que de celui de son père, ce qui est une très bonne chose".

Les français ne veulent plus de Petit sarko!



Sondage d'opinion du "Parisien": Sarkozy marque le pas Omniprésent sur la scène européenne comme sur la scène nationale, le président sortant ne récolte pas, pour le moment, les fruits de son activisme. Au contraire, il affiche même une légère baisse d’un demi point au premier tour (24,5%). Notre enquête, qui a été réalisée dans les deux jours qui ont suivi son discours de Toulon, jeudi dernier, montre qu’il n’a pas bénéficié de ce rassemblement aux allures de meeting. En tenant à distance Marine Le Pen, le président sortant s’épargne toutefois le risque d’un «21 avril à l’envers» qui inquiétait certains de ses amis, il y a encore un mois. Mais le plus inquiétant pour lui est évidemment son score au second tour : six français sur dix ne veulent plus lui accorder leurs suffrages. Une mauvaise performance qui traduit davantage un rejet de sa personne qu’une adhésion à son rival, François Hollande. Autre mauvaise nouvelle pour le chef de l’Etat, à cinq mois du scrutin, ses réserves de voix restent très faibles : 38% seulement des électeurs de Marine Le Pen se reportent au second tour sur son nom, tandis que ceux de François Bayrou, choisissent en majorité, François Hollande.

21.11.11

La phrase du jour de (contre) petit sarko

Obama a félicité Sarkozy, heureux papa de la petite Giulia. Si le fond est là, la forme est plus que hasardeuse et pas très cool pour le Président français, humilié en public.

Le G20, organisé à Cannes du 3 au 4 novembre, tourne à la farce.
Après la bévue de CNN qui situe Cannes en Espagne, place à la vilaine pique de Barack Obama qui s'est ouvertement et publiquement moqué du physique de Nicolas Sarkozy.
Devant les caméras, Obama s'est livré à un discours et en a profité pour féliciter Nicolas Sarkozy pour la naissance de la petite Giulia, née le 19 octobre à la clinique de La Muette.
Sans pitié, il a déclaré : "Je veux féliciter Nicolas Sarkozy et Carla Bruni-Sarkozy pour la naissance de Giulia. Je suis sûr que Giulia a hérité de l'apparence de sa mère plutôt que celle de son père, ce qui, je pense, est une excellente chose".
Cette phrase collector est encore plus savoureuse quand on voit la mine déconfite de Nicolas Sarkozy qui encaisse la vanne avec un sourire forcé.
Pour rattraper le coup, le président français déclare : "Vous voyez la grande influence de Barack Obama. Ça fait quatre ans maintenant qu'il m'explique qu'être père de filles c'est fantastique, lui qui en a deux. Je l'ai donc écouté et j'ai suivi son exemple".
Enfin nous on voit surtout que Sarkozy s'est fait casser en direct par l'homme le plus puissant du monde...

Obama se fout de la gueule de petit sarko (qui rit jaune)