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27.6.15

Texte - Le chantage auquel la Grèce ne veut pas céder!



Aujourd'hui cela devait être le jour où l'Eurogroupe allait "accorder à la Grèce sa dernière chance ». Mais dans ce poker qui se joue depuis des mois, le premier ministre grec, lassé des exigences de  plus en plus intransigeantes des vautours, a joué son va-tout: à ceux qui ne jurent que par le capital au détriment de la volonté et bien-être  des peuples il a, lui, proposé ce dont  l'Union Européenne fait fi depuis sa naissance, l'action démocratique et souveraine de son peuple.

Ainsi, Mme. Merkel, M. Hollande et autres laquais, vous allez être soumis, dorénavant, et pour la première fois, à ce choix cornélien: abandonner la Grèce avec toutes les conséquences que cela engendrerait au niveau capitalistique ou aider vraiment les grecs tout en leur demandant des réformes fiscales qui nous semblent nécessaires.

Nous n'osons imaginer le chaos qui pourrait s'installer dans l'économie mondiale avec la sortie de la Grèce de la zone €uro et probablement, dans la foulée, de l'Union Européenne!

La perte d''argent pour ceux qui détiennent la dette grecque serait infiniment plus grave que la situation actuelle.

Alors, FMI, BCE et UE, attention...

Car les enjeux seraient également au niveau politique; la visite d'Alexis Tsipras à Putin il y a peu, ressemble fort à une menace...Tsipras n'est pas le candide que vous espériez voir arriver. Il est élu démocratiquement par les grecs et il respecte la volonté du peuple.

Et c'est ainsi que les grecs vont devoir se prononcer par référendum la semaine prochaine. Quelle sera la question qui leur sera soumise? Cela pourrait être: "voulez-vous plus de sacrifices en restant dans la zone €uro ou voulez-vous des sacrifices et rester indépendants?"

Quelle que soit la réponse la démocratie gagnera.

27-06-2015
JoanMira  

26.6.15

"Conformément à la charia", Daech a vendu 42 Irakiennes comme esclaves



Elles avaient été enlevées en 2014. Issues de la minorité kurde des yézidies, ces femmes sont considérées comme des hérétiques par les fanatiques de l’État islamique (EI) et traitées comme des « esclaves » par l’organisation djihadiste. Début juin, elles ont été conduites à Mayadeen, une ville située dans la province syrienne de Deir Ezzor, contrôlée par les djihadistes. L’Observatoire syrien des droits de l’homme (OSDH) rapporte qu’elles sont 42 à avoir été vendues à des combattants « djihadistes pour des prix allant de 500 à 2000 dollars ». Le directeur de l’OSDH, Rami Adbel Rahmane, ajoute  : « Certaines avaient été enlevées avec leurs enfants, mais nous ignorons ce que sont devenus les petits. »
Ce n’est pas la première fois qu'EI, accusé de crimes contre l’humanité par l’ONU, procède à la vente de femmes yézidies, qui sont ensuite mariées à des combattants djihadistes. La persécution des femmes yézidies avaient commencé dès la proclamation du califat, en juin 2014. En août, après l’offensive du mont Sinjar, le fief de cette minorité kurde dans le nord de l'Irak, chacun s'interrogeait sur le sort qui avait été réservé à la population. Celles qui avaient réussi à faire fuir leurs bourreaux avaient ensuite pu témoigner des enlèvements de certaines femmes, enlèvements qui avaient ensuite été revendiqués par les islamistes eux-mêmes en octobre 2014, dans le magazine de propagande de l'organisation, Dabiq. « Après avoir été capturés, les femmes et les enfants yézidis ont été "attribués", conformément à la charia, à des combattants ayant participé aux opérations du Sinjar, après qu'un cinquième des esclaves a été transféré à l'autorité de l'État islamique en tant que khums ("butins de guerre") », pouvait-on lire.
Les femmes yézidies ne sont pas les seules à être touchées par ces violences. Car l’État islamique considère l'ensemble de cette minorité, qui n'est ni musulmane ni arabe et pratique un culte qui lui est propre, comme appartenant à une secte impie. Lors de l'offensive menée en août 2014 dans la région du mont Sinjar, l'EI avait exécuté de nombreux hommes, avant d’enlever des centaines - voire des milliers - de femmes, selon Amnesty International.
Le Figaro - France

Image - Taxis en colère

Une voiture retournée par les taxis parisiens Porte de Maillot
Plus de 400 taxis ont manifesté jeudi 25 juin à Toulouse, bloquant la gare, l'aéroport et la place du Capitole. Quelques incidents sont à déplorer. Le mouvement doit se poursuivre vendredi 26 juin pour obtenir le retrait effectif de l'application UberPop A Paris la colère a pris le dessus, des dérapages violents ont eu lieu.

Par SEVGI

Copyright SIPA

25.6.15

L'image du jour - 25-06-2015 - Prise de tête à la chinoise

Prise de tête à la chinoise

Prise de tête à la chinoise
Une photo sur le vif d’un entraînement au combat sur une base militaire chinoise à Chaohu. Reuters/China

24.6.15

L'image du jour - 24-06-2015 - Arménie : manifestation contre la hausse du prix de l'électricité

Arménie : manifestation contre la hausse du prix de l'électricité


Des jets d’eau pour repousser les manifestants à Erevan en Arménie. Les arméniens protestent dans la capitale contre la hausse du prix de l‘électricité. 600 personnes ont bravé l’ordre de la police de quitter les lieux. REUTERS / Narek Aleksanyan

France: Franche rigolade à l'Assemblée Nationale (Video)

Quand Eric Ciotti défend Manuel Valls, ce n'est que pour mieux s'en prendre à Christiane Taubira. Mais c'était sans compter la verve de la ministre de la Justice qui, lors des Questions au gouvernement de ce mardi, a fait rire les députés, de droite comme de gauche, aux dépens du député des Alpes-Maritimes…
"Vous avez franchi, Madame la ministre, une étape supplémentaire dans la provocation à l'égard de votre Premier ministre", a fustigé Eric Ciotti en référence aux menaces de démission prétendument lancées par Christiane Taubira pour que la réforme de la justice des mineurs soit conduite avant la fin du quinquennat. Puis d'interroger: "vous n’avez pas hésité à lui lancer un ultimatum! Que cherchez-vous? Jusqu’où voulez-vous aller? Ne cherchez-vous pas à contraindre le président de la République à vous faire quitter le gouvernement en vous nommant à la présidence du Conseil constitutionnel, ce qui serait un marchandage politicien?".
Face à cette attaque sur la légitimité de celle qui est depuis sa prise de fonctions, et plus particulièrement depuis les débats sur le mariage pour tous, la cible préférée de la droite, la principale intéressée a fait le choix de l'ironie pour répondre. "Si c’était du temps de ma fringante jeunesse, j’aurais supposé un sentiment contrarié", a-t-elle raillé, provoquant les rires de ses collègues du gouvernement ainsi que des députés de la majorité. "Cet hémicycle tout entier a déjà constaté à quel point je vous obsède, dans toute votre expression publique avec une constance qui appelle l’admiration".
Eric Ciotti épris de Christiane Taubira? Les élus Les Républicains Nathalie Kosciusko-Morizet, Jean-François Copé ou encore Hervé Mariton, notamment, ont visiblement eux aussi savouré l'ironie de ce bon mot.
La garde des Sceaux a ensuite répondu, toujours avec une certaine ironie que devrait apprécier Manuel Valls: "c'est aussi la première fois que le Premier ministre aurait besoin d’un défenseur. Compte tenu de sa personnalité, de son courage, de son autorité, nous avons du mal à comprendre qu'il pourrait non seulement avoir besoin d'un défenseur, mais en plus dans (vos) rangs".
(Voir ci-dessous la vidéo de l'échange entre Christiane Taubira et Eric Ciotti)

Auteur : La rédaction de FranceSoir.fr

23.6.15

L'image du jour - 23-06-2015 - La canicule écrase le Pakistan

La canicule écrase le Pakistan


Un homme se rafraîchit à un robinet dans la rue après avoir rempli ses bouteilles dans la chaleur intense de Karachi, au Pakistan. Une canicule dévastatrice a tué plus de 400 personnes à Karachi, la grande ville du sud du Pakistan ces trois derniers jours. Les forces paramilitaires ont mis en place des centres médicaux d’urgence dans les rues. REUTERS/Akhtar Soomro