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21.7.12

Canada: Néolibéraux, dehors!!!


manif

Même en pleine chaleur de juillet, la maintenant traditionnelle manifestation nationale du 22 de chaque mois ne fera pas relâche dimanche, alors que des milliers de personnes prévoient déambuler dans les rues de la métropole pour protester contre la hausse des droits de scolarité et la loi spéciale du gouvernement Charest.
Organisée par la Coalition large de l’Association pour une solidarité syndicale étudiante (CLASSE), la manifestation se déroulera sous le thème « Le 22 juillet, les néolibéraux... DEHORS! ». « Ensemble, profitons du 22 juillet pour dire non aux mesures néolibérales telles que la hausse des frais de scolarité », peut-on lire sur la page Facebook de l’événement.
Le rassemblement devrait débuter à 14 h, à la place Émilie-Gamelin. Des représentants de la Fédération étudiante universitaire du Québec (FEUQ) et de la Fédération étudiante collégiale du Québec (FECQ) ont confirmé qu’ils se joindront au groupe.
Fidèle à ses habitudes, la CLASSE n’a pas l’intention de remettre le trajet de la marche au Service de police de la Ville de Montréal (SPVM).
En ce qui concerne le nombre de manifestants, l’organisation a préféré ne pas s’avancer sur l’ampleur que prendra la marche. « C’est toujours un peu difficile de savoir, surtout que c’est l’été », a expliqué Jeanne Reynolds en entrevue. Elle croit que le retour en classe qui approche risque d’inciter bon nombre d’étudiants à prendre d’assaut la rue à nouveau.
La CLASSE mise également sur le fait que la marche soit un dimanche pour attirer plus de participants. « On peut s’attendre à une bonne participation », a fait remarquer Jeanne Reynolds, faisant référence au 22 juin dernier, une marche qui avait attiré plusieurs milliers d’étudiants (150 000, selon les estimations de la CLASSE), et ce, malgré la période estivale.
Samedi après-midi, plus de 6 500 personnes avaient répondu positivement à l’invitation Facebook.
Alors que les rumeurs d’élections tendent vers le déclenchement d’une campagne électorale le 1er août prochain, la CLASSE profitera de la manifestation de dimanche pour afficher clairement son opposition aux idées néolibérales. « On s’attaque plus particulièrement au néolibéralisme, une doctrine économique enracinée profondément dans la société, qui crée des inégalités sociales », a confirmé la coporte-parole de la CLASSE.
Si une campagne électorale a lieu le mois prochain, la CLASSE affirme qu’elle se battra contre des idées plutôt que contre des partis politiques. « Nous, c’est contre ça qu’on se bat », a soutenu Jeanne Reynolds.
Deux autres manifestations étudiantes sont prévues dimanche à l’échelle de la province. Celle de Québec quittera l’Assemblée nationale à 13 h, tandis que la marche de Trois-Rivières s’amorcera à midi au parc Laviolette.
LE JOURNAL DE MONTREAL

DSK, le nouveau soda aphrodisiaque



Un hasard ou un beau coup de marketing?
Il fallait l’oser! DSK, c’est la nouvelle boisson... aux vertus aphrodisiaques. "Drink Safran Kiwi" espère bien profiter de l’ambiguïté de ce sigle pour marquer les esprits.
Non, la nouvelle boisson de l’été ne s’appelle pas "Dominique Strauss Kahn" (encore heureux), mais bien "Drink Safran Kiwi". "DSK", c’est le résultat d’une alliance entre deux amis: Patrice Guillard (cultivateur de safran dans le Cher) et Stéphane Briault (ancien entrepreneur informatique dans la Creuse). Ce soda est, comme son nom l’indique, composé de kiwi et de safran. Les fruits sont bios et proviennent de l’Adour. La boisson de luxe 100% naturelle ressemble au champagne avec ses bulles très fines. Le goût est sucré et laisse au palais un parfum de safran, ingrédient connu pour ses vertus aphrodisiaques.
Dix mille bouteilles seront commercialisées dans les jours à venir sur l’aire des Monts de Guéret (RN145) et d’autres points de vente français, dont certaines boîtes de nuits parisiennes.
Un hasard ou un beau coup de marketing? En tout cas, "les gens aimeront ou n’aimeront pas, mais une chose est sûre : ils s’en souviendront !", explique Stéphane Briault.
LA LIBRE BELGIQUE

La NASA veut reproduire l'odeur de l'espace



L'espace a une odeur. "A Chaque fois que j’ouvrais la porte du sas pour accueillir mes collègues de retour de sortie dans l’espace, une odeur très particulière titillait mon odorat", avait raconté Don Pettit après avoir séjourné du 23 novembre 2002 au 3 mai 2003 à bord de l’ISS. "J'ai remarqué que cette odeur était sur ​​leur costume, casque, gants, et des outils", avait-il poursuivi.
Certains la comparent à celle d'un "steak trop cuit", à du "métal chaud", ou encore des "émanations de soudure", selon les propos rapportés par The Atlantic. Bref, un fumet qui pas des plus agréables. Pour ne pas que ses astronautes soient surpris, la NASA veut les y habituer. Avec l'aide du chimiste Steve Pearce, l'agence américaine tente donc depuis plusieurs années de les recréer.
Le chimiste n'a pas été choisi par hasard. C'est un peu le spécialiste des "odeurs de l'impossible". Il y a quelques années, il avait reproduit l’odeur de la station spatiale Mir. Il la décrivait comme ceci: "Imaginez la transpiration de pieds et une odeur corporelle rance mélangez avec du dissolvant et de l’essence". Grâce à ses recherches, menées avec la NASA, il pourrait, à l'avenir, être possible de recréer l’odeur de la Lune, de Mars ou d'un endroit de l'Univers bien plus lointain, affirme Science in a can relayé par Slate. Cela fait rêver. Cependant, le fonctionnement de l'odorat dans l'espace reste des plus mystérieux, ce qui limite la simulation des odeurs.
LA LIBRE BELGIQUE

Vieilles photos - L'Eglise de Saint-Médard vers 1900




L'Eglise de Saint-Médard vers 1900

Vieilles photos - Paris - Le Pont Neuf et l'Ile de la Cité



Le Pont Neuf et l'Ile de la Cité. Vue prise du Louvre