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25.5.12

Arrestations massives au Quebec


marois

Après un record d’arrestations en une seule nuit à Montréal et Québec, le Parti québécois a accusé le gouvernement Charest de plonger la province dans la pire crise sociale qu’elle n’ait jamais connue.
«Le Québec du Parti libéral est rendu là. Des arrestations massives, plus souvent qu’autrement arbitraires, pour faire taire la contestation (…) ça dépasse l’entendement», a lancé la chef Pauline Marois, ce matin à l’Assemblée nationale.
La nuit dernière, les forces de l’ordre ont procédé à l’arrestation de 518 personnes qui manifestaient contre la hausse des droits de scolarité et la loi 78 à Montréal, et 176 dans les rues de la Capitale nationale.
«Le régime libéral se radicalise, et cette radicalisation se fait sur le dos de vos concitoyens et elle ne mènera nulle part. Combien d’arrestations encore avant que le premier ministre ne se décide enfin à bouger sur le cœur du litige?», a questionné Mme Marois.
Alors que la ministre de l’Éducation, Michelle Courchesne, a annoncé l’imminence d’une rencontre avec les représentants étudiants pour relancer les pourparlers, Jean Charest n’a pas manifesté l’intention d’y participer personnellement.
«C’est toute l’équipe chez nous qui travaille pour que les étudiants puissent avoir accès à leur salle de cours et que nous puissions avoir la paix sociale, c’est l’ensemble de l’équipe sans exception», a-t-il soutenu.
La chef de l’opposition officielle a alors suggéré à M. Charest d’entreprendre une réflexion sur son avenir.
«Line Beauchamp a quitté le navire en disant qu’elle ne faisait plus partie de la solution, est-ce que le premier ministre, lui, fait encore partie de la solution?»
Respect des lois
Malgré les arrestations massives des dernières heures, Jean Charest a défendu sa loi spéciale.
«Là où nous sommes, c’est dans le respect des lois. Dans le respect du droit de manifester, mais de le faire paisiblement, dans le respect des autres.»
Le ministre de la Sécurité publique, Robert Dutil, a déploré l’escalade des manifestations, évitant de se prononcer sur le comportement des policiers.
«Je ne fais pas d’appréciation sur le travail de la police. Ils vivent des événements et il y a des règlements de toutes sortes qui peuvent s’appliquer», a-t-il indiqué, affirmant que la loi spéciale n’a pas pour motif «d’étouffer les manifestations».
LE JOURNAL DE QUEBEC

Dessin - "Flânant, seul, la nuit"


"Flânant seul, la nuit" 

Andorra - 06-08-2010

JMIRA

Japon: Les fuites radioactives de Fukushima sont plus élevées que prévu



JAPON - Les estimations du gouvernement japonais au moment de la catastrophe sont revues à la hausse...
Les fuites radioactives de la centrale nucléaire de Fukushima juste après la catastrophe de mars 2011 ont été deux fois et demie supérieures aux estimations communiquées à l'époque par les autorités japonaises, dit l'opérateur de la centrale dans un rapport publié jeudi. Selon les analyses réalisées par Tokyo Electric Power (Tepco), les radiations émises pendant les trois premières semaines ont représenté un sixième des radiations de la catastrophe de Tchernobyl, en 1986. «Si on avait eu cette information à ce moment-là, on aurait pu en tenir compte pour organiser les évacuations», a déclaré à la presse le porte-parole de Tepco, Junichi Matsumoto.

Deux fois et demie la quantité annoncée en avril 2011

La centrale de Fukushima dévastée, un mois après le tsunami du 11 mars 2011.
Les capteurs les plus proches de la centrale ayant été détruits par le tremblement de terre et le tsunami qui en a résulté, ces nouveaux calculs ont été effectués à partir des mesures de capteurs plus éloignés et de données collectées par les agences gouvernementales, précise le rapport. Selon Tepco, la fusion probable de trois réacteurs de la centrale de Fukushima Daiichi a rejeté dans l'air quelque 900.000 terabecquerels de substances radioactives. C'est deux fois et demie la somme annoncée en avril 2011 par l'Agence de sûreté nucléaire et industrielle japonaise, et 17% de plus que l'estimation la plus élevée de l'agence de sûreté gouvernementale.

Ces mesures reposaient sur la mesure du taux d'iode-131, un élément radioactif qui se décante rapidement mais est
particulièrement redouté car il se concentre dans la thyroïde. Selon le rapport, 99% des fuites radioactives ont eu lieu dans les trois premières semaines après l'accident.

L'image du jour 24-05-2012

Les avions de la US Navy Blue Angels volent au-dessus du World Trade Center à Manhattan, le 23 mai 2012.

Les avions de la US Navy Blue Angels volent au-dessus du World Trade Center à Manhattan, le 23 mai 2012.

20.5.12

Foot France: MONTPELLIER CHAMPION!



Foot - Montpellier champion de France!

"Souvenirs d'un supporter montpelliérain en attente de sacre"

Emmenés par Olivier Giroud, les Montpelliérains n'auront besoin dimanche soir que d'un match nul face à Auxerre pour s'assurer le titre.

Dessin - "C'est la fête"


"C'est la fête" - 14-08-2010

(Dédié à Ni et son "new sweet home")

Le gouvernement québécois réclame des amendes contre les étudiants grévistes

Le gouvernement québécois réclame des amendes contre les étudiants grévistes
Article de "L'Humanité"
Voilà trois mois que les étudiants québécois sont en grève. Leur principale revendication ? Supprimer une forte augmentation des droits de scolarité prévue par le gouvernement. Dans l’espoir de casser ce mouvement de contestation, un projet de "loi spéciale" est actuellement débattu au parlement. Il prévoit de sanctionner les grévistes par de lourdes amendes.
Depuis mi-février, les jeunes sont nombreux à s’ériger contre la politique libérale menée par le premier ministre Jean Charest dans le secteur de l’enseignement supérieur. Son gouvernement entend amplifier la facture à l’entrée des universités. L’addition s’avère salée pour les futurs étudiants. En sept ans, ils devraient payer 1780 dollars de plus que le prix fixé aujourd’hui, soit une augmentation de 82%.
Face à la grogne estudiantine, le pouvoir en place fait la sourde oreille. Sa dernière trouvaille : faire voter une loi pour punir les récalcitrants et mettre un terme à ce mouvement de grève massif. En cas d’adoption, cette mesure serait un coup de rabot sévère sur le droit de grève et la liberté de manifester des jeunes québécois. Si elle était appliquée, les organisateurs de ce mouvement encourraient entre 1000 et 125 000 dollars d’amende. Le seuil maximal fixé à l’encontre d’une personne seule jugée coupable d’avoir entravé l’accès à un collège ou une université serait de 5000 dollars. Pour les associations étudiantes organisatrices de manifestations, les enchères s’envoleraient et s’échelonneraient entre 25000 et 125000 dollars. Si les « heureux élus » étaient récidivistes, ils devraient même s’acquitter du double de ce montant exorbitant.
Des milliers de personnes sont descendues dans les rues de Montréal mercredi soir pour dénoncer la décision du premier ministre Jean Charest de déposer une loi spéciale pour mettre fin au conflit étudiant.

Manif nocturne: Soixante-neuf arrestations


Manifestation feu
Article du Journal de Montréal
Ce sont finalement 69 personnes qui ont été arrêtées à l’occasion de la 26e manifestation nocturne qui a donné lieu à de nombreux débordements et à des échanges musclés entre policiers et manifestants, samedi soir, à Montréal.
Dès le début la marche, soit vers 21 h, l’événement a été déclaré illégal puisqu’aucun trajet n’a été fourni aux policiers, conformément aux nouvelles législations adoptées vendredi, soit la loi 78 votée par l’Assemblée nationale ainsi que le règlement P-6 adopté par la Ville de Montréal.
Les policiers ont toutefois indiqué aux manifestants qu’ils ne procéderaient pas à une dispersion s’ils respectaient un certain trajet. La foule, estimée à près de 5000 personnes, a donc pu défiler de façon pacifique durant près d’une heure.
C’est peu après 22 h que la situation a basculé alors que deux arrestations sont survenues à l’angle des rues University et Sherbrooke pour refus d’obtempérer. Des irritants chimiques auraient ensuite été lancés à l’endroit des policiers qui ont donné plusieurs avis de dispersion à la foule.
Une troisième arrestation est survenue vers 23 h, en raison de méfaits commis sur une voiture de police.
Les policiers ont avisé la foule que la manifestation était terminée et que ceux qui s’y opposaient seraient arrêtés.
L’ambiance a rapidement dégénéré par la suite et plusieurs projectiles tels que des roches ont été lancés en direction des policiers, donnant ainsi lieu à de nombreuses arrestations.
« Ça ressemblait à hier (vendredi) soir, mais il y avait vraiment un noyau dur qui souhaitait la confrontation », a souligné le porte-parole du SPVM, Ian Lafrenière, au sujet de l’ambiance qui régnait dans la nuit de samedi à dimanche.
En matinée dimanche, le porte-parole du Service de police de la Ville de Montréal, Yannick Ouimet, dénombrait 69 arrestations, dont 33 effectuées lors d'une arrestation de masse.
Des équipes de la Sûreté du Québec (SQ) étaient sur les lieux afin de prêter main-forte au SPVM. Les services d’incendie ont également été dépêchés sur les lieux en raison de deux feux allumés sur la voie publique près de l’intersection des rues Saint-Denis et Ontario.
Le tout a pris fin peu après 2 h, alors que des cols bleus procédaient à l'opération nettoyage.
On ne dénombre aucun blessé sérieux, tant du côté des citoyens que des policiers.
Règlement antimasque
Vers 20 h 30, soit juste avant le départ de la marche, le SPVM avait lancé un avis verbal aux manifestants réunis, leur indiquant qu’il était désormais interdit de porter un masque lors d’une manifestation.
Au début de l’événement, peu de manifestants étaient masqués.
« C’est seulement un moyen de se protéger des gaz lacrymogènes », a indiqué Simon, un étudiant du Cégep de Saint-Laurent qui portait des lunettes de ski. Les policiers lui ont d’ailleurs demandé de les retirer peu de temps avant le début de la manifestation.
« C’est injuste, il n’y a pas de rapport direct entre violence et masque, a pour sa part souligné Richard qui défilait à visage couvert. […] C’est une tentative de diversion de l’administration Tremblay, ils ne s’attaquent pas au vrai problème », a-t-il ajouté.
Une autre manifestation a eu lieu du côté de Sherbrooke samedi soir. L’événement s’est déroulé de façon pacifique dans les rues du centre-ville et à peine quelques personnes étaient masquées.

Argentina: River dejó escapar una victoria que mereció largamente



Artigo de "Clarin"
En el Monumental, terminaron 2-2 con un gol de Zanni en el último minuto. La visita ganaba por un tanto de Bottino, pero el local lo dio vuelta a través de Cavenaghi y Villalva. El equipo de Almeyda quedó a dos puntos del líder Central y si mañana gana Instituto lo alcanzará en la tabla.
River dejó escapar una victoria que mereció largamente porque fue un equipo por demás ingenuo justo cuando el campeonato no permite ese tipo de concesiones. Había dado vuelta el marcador con paciencia y con argumentos futbolísticos, pero en tiempo de descuento cometió dos errores conceptuales que le amargaron la noche y lo expusieron a la posibilidad de que Instituto lo alcance en el segundo puesto si hoy le gana a Almirante Brown. Primero, Alejandro Domínguez perdió una pelota por indolente y posibilitó que Guillermo Brown armara un contraataque letal cuando el equipo de Puerto Madryn parecía resignado a la derrota. Y, luego, todo River se expuso infantilmente en defensa, quedando mal parado y permitiendo que Walter Aciar encabezara la réplica con sabiduría y que Hernán Zanni definiera con toda la calidad posible para ese 2-2 que dejó al Monumental lleno de impotencia y de estupor.

River dejó la punta en manos de Central porque fue un equipo bipolar. Por un lado, generó doce situaciones claras de gol sin contar el tiro libre que Cavenaghi clavó en un ángulo para el 1-1 parcial ni el cabezazo de Daniel Villalva que le daba el triunfo cuando al partido le quedaban apenas doce minutos. Y, por el otro, porque no logra tomar conciencia de que el aspecto defensivo no es una cuestión secundaria sino todo lo contrario: ofreció todas las libertades posibles en la jugada del sorpresivo 1-0 que armaron entre Diego Giménez y Bottino, quien definió de manera brillante, y después quedó mal parado no sólo en la jugada del empate sino también en un par de acciones que le podrían haber costado una derrota. Por caso, ese mano a mano que Diego Giménez tiró afuera ante la salida de Vega.

Guillermo Brown vino a jugarle con el único planteo razonable si se repara en la diferencia de jerarquía individual entre un equipo y otro: a esperar lo más lejos posible de su arco y tratar de lastimar de contra o de pelota parada. De a ratos logró pararse sin quedar apretado contra su área y en otros momentos terminó armando una trinchera masiva cerquita de Sebastián Pereyra, uno de los principales sostenes de la igualdad con cuatro atajadas clave. Y tuvo inteligencia para aprovechar la endeblez de River por el costado izquierdo de su defensa, allí por donde llegaron los dos goles visitantes.

River no se desesperó casi nunca en la búsqueda, más allá de que por momentos le faltó claridad para encontrar los huecos por donde herir al rival. El Chori Domínguez le aportó desequilibrio cuando entró por Vella en el arranque del segundo tiempo y River quedó parado con un dibujo táctico 3-4-3. Filoso para gambetear cerca del área adversaria, allí donde más duele, Domínguez contribuyó para que River remontara el resultado. Eso sí: no pareció conveniente que Almeyda lo sacara de la punta derecha y lo mandara cerquita de Ponzio cuando Rogelio Funes Mori entró por Cirigliano.

Más allá de sus fragilidades y pecados, quedó ratificado que River atraviesa un momento de la historia en el que nada parece salirle bien. Si le faltó que Walter García transformara en gol ese tiro desde su propio campo que se fue apenas alto para que su gente terminara de sentirse víctima de un conjuro maléfico e interminable