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30.11.11

Venezuela - ?Elecciones sin Chavez?

Secretario ejecutivo de la MUD, Ramón Guillermo Aveledo
La oposición venezolana está preparada para enfrentar en las elecciones de 2012 a un candidato del gobierno distinto del mandatario Hugo Chávez, quien asegura recuperarse de un cáncer, dijo este martes el portavoz de la coalición de fuerzas opositores en Brasilia.

El coordinador de la llamada Mesa de Unidad Democrática (MUD), Ramón Aveledo, hizo la afirmación a propósito de los rumores sobre un eventual deterioro de la salud del líder venezolano.

"Estamos preparados para la eventualidad de que el presidente de la República sea candidato a la reelección, que es obviamente su preferencia personal, pero también preparados para que haya otro candidato del gobierno", señaló Aveledo a la prensa extranjera.

El dirigente reconoció que existen muchos rumores sobre la salud de Chávez debido a la falta de información oficial detallada, pero que en Venezuela nadie sabe con certeza cuál es el verdadero estado del presidente.

"Estoy más enterado, como cualquier venezolano, de los padecimientos que sufrió el ex presidente Fidel Castro (alejado del poder en 2006 por enfermedad, ndlr) que los que tiene nuestro presidente", dijo.

Aveledo agregó que la oposición venezolana, "cualquiera sea la circunstancia", apoyará sólo una sucesión presidencial apegada a las normas constitucionales. El dirigente venezolano inició una visita de tres días Brasilia para reunirse con políticos y congresistas brasileños.

Chávez, de 57 años, fue operado de un tumor maligno en junio en Cuba y a finales de septiembre concluyó su tratamiento de quimioterapia luego de cuatro sesiones.

El jefe de Estado, en el poder desde 1999, aspira a ser reelecto para un tercer mandato en las elecciones presidenciales del 7 de octubre de 2012, para las cuales asegura que estará plenamente recuperado.

29.11.11

Le maître au firmament

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En remportant son sixième Masters, un record absolu, Roger Federer a couronné dimanche une fin de saison exceptionnelle marquée par des victoires à Bâle, Paris et Londres. «C'est un rêve», a commenté le Bâlois, qui termine l'année à la 3e place du classement mondial.

Roger Federer s'est imposé 6-3 6-7 (6/8) 6-3 en finale du Masters face à Jo-Wilfried Tsonga, pour lequel les dimanches se suivent et se ressemblent. C'est le troisième dimanche de suite qu'il perd contre Roger Federer après la finale de Bercy et le premier match du round-robin dans cette O2 Arena que Roger Federer a fait sienne.

Devant un public tout acquis à sa cause et qui lui aura réservé samedi et dimanche deux belles «standing ovations», Roger Federer a cueilli son septantième titre, son sixième dans ce tournoi des Maîtres dont il est aujourd'hui le seul détenteur de victoires. Le seul autre tournoi dans lequel il s'est imposé à six reprises est... Wimbledon.

Ce succès a été acquis au terme d'un match riche en rebondissements mais qui ne fut pas d'une qualité exceptionnelle. Roger Federer a, en effet, servi pour le gain de la partie à 6-3 5-4. Il a ensuite bénéficié d'une balle de match dans le tie-break. Son grand mérite fut de repartir au combat en oubliant très vite l'issue de ce deuxième set qu'il n'aurait jamais dû perdre.
SWISSINFO

28.11.11

Football - Le PSG prend la leçon à MARSEILLE

A l'image d'un Pastore de nouveau transparent, les individualités parisiennes ont encore déçu contre Marseille, dimanche.(EQ)
A l'image d'un Pastore de nouveau transparent, les individualités parisiennes ont encore déçu contre Marseille, dimanche.(EQ)
C'est une crise que lui envieraient certainement beaucoup de ses concurrents. En ne remportant aucun de ses trois derniers matches de L1, le Paris-SG s'est encore débrouillé pour alimenter les discussions autour de cette crise qu'il s'offre traditionnellement au mois de novembre. Bien sûr, le club de la capitale n'accuse que trois longueurs de retard sur le leader montpelliérain. Mais sa déb,cle à Marseille (0-3), dimanche, a fait ressurgir quelques doutes sur sa capacité à se muer en cette équipe censée tout écraser sur son passage. La faute à Leonardo qui a fragilisé l'équipe tout seul en entretenant un climat de défiance à l'égard d'Antoine Kombouaré ? Sans doute un peu, mais pas seulement. A l'exception d'un succès probant contre Lyon (2-0) le 12 octobre dernier, Paris n'a jamais dévoilé un niveau de jeu conforme aux espérances de ses nouveaux propriétaires. Seuls les coups d'éclat de ses individualités lui avaient permis de donner le change.

Un manque de caractère

C'est une certitude : Paris ne souffre pas d'un déficit de talent. Ces dernières semaines, la faillite de son quatuor offensif Ménez-Pastore-Nene-Gameiro a toutefois pointé du doigt des manques plus ennuyeux. Manque de cohésion à l'image d'une altercation Nene-Bodmer, trois jours avant le Clasico, ou encore d'une prise de bec Nene-Sakho en plein match. Manque d'agressivité, ce qui est souvent perçu comme de la suffisance. Manque de caractère également comme en témoigne cette absence de révolte après l'ouverture du score de Rémy. En dehors de Sakho et Sissoko, aucun joueur parisien n'a affiché les valeurs de combativité que requiert un tel choc. «On a perdu au mental», pouvait se désoler Blaise Matuidi dans les couloirs du Vélodrome. «Marseille a joué avec la rage et la détermination, complétait Salvatore Sirigu. C'est ça la différence entre l'OM et nous en ce moment».

Pastore passe encore à côté

Le plus inquiétant dans l'histoire, c'est que certains Parisiens semblent encore se voiler la face. Il fallait entendre, à la fin du match, Jérémy Ménez louer les occasions que se seraient apparemment procurés ses équipiers... Bon d'accord, il y a eu cette frappe de Sissoko sur le poteau de Mandanda, mais sinon ? Alors qu'il s'était targué la semaine précédant ce match de toujours répondre présent lors des grands évènements, Pastore est passé à côté, encore... L'Argentin ne s'est montré qu'une seule fois décisif depuis la venue de Lyon, et la thèse de la fatigue qu'il a lui-même avancée ne peut plus expliquer à elle seule son trop grand déchet technique. Quant à Gameiro, qui n'a plus marqué depuis cinq journées, il n'a encore eu aucun bon ballon à se mettre sous la dent. Passablement énervé lors de son remplacement, l'ancien Lorientais lâchera plus tard : «je ne parle pas, on a été nuls». «Et s'ils jouaient ensemble ?», interrogeait L'Equipe deux jours après un nul décevant à Bordeaux. La solution passera peut-être par là.

L'EQUIPE

27.11.11

Video - Le fado sacré par l’Unesco "Patrimoine de l'Humanité"

Chanson des voyous, chant engagé, chanson du régime sous la dictature… le fado perdra-t-il un jour de son mystère ? Quoiqu’il en soit, voici venu le temps de la reconnaissance mondiale pour ce chant traditionnel, né à Lisbonne il y a près de deux siècles, et devenu depuis le symbole du peuple portugais. Cela fait longtemps que Lisbonne et le Portugal attendait cette consécration…
Le fado vient d’être inscrit au Patrimoine culturel immatériel de l’Humanité par l’Unesco !


Affiche du film de Leitão de Barros
Dans les années 50, la diva disparue, Amália Rodrigues (1920-1999), a exporté ce chant de la saudade aux quatre coins du monde contribuant ainsi à l’imposer comme le symbole de la culture portugaise.
Aujourd’hui, le fado n’est donc plus seulement la chanson de Severa, Alfredo Marceneiro, Amália, Carlos do Carmo, Camané ou Carminho… c’est un trésor que le monde entier devra préserver, pour les générations futures.

Logo de la candidature du fado

26.11.11



FLIPPER ET JUKE-BOX

Arrête de déconner Jimmy.
Faut débarrasser l’esplanade.
Sûr, il n’est que quatre heures
Mais ; Régis veut fermer.

Attends, je vais mettre de la tune
Dans le juke-box : veux encore
L’écouter, Ray Charles… Et puis,
Boire encore boire un coup…

Tu me suis ? Allez, on s’en jette
Un dernier ; fait chaud, nom de dieu !
Messieurs, on ferme, tonne la voix
Du patron… Jimmy lui a cassé la tête.

Faut pas l’énerver le Jimmy, tout
Maigre et pâlichon il en a maté d’autres.
Couchés sur le trottoir, nous pansons nos
Plaies au son de « In the heat of the night »…

Andorra, 26 novembre 2011

JMIRA