Dès l'invention de la photographie (1839), Genève a été le sujet favori de nombreux disciples de Daguerre. La Tribune de Genève et le Centre d'iconographie genevoise...
Photographe anonyme, Le Kursaal, vue prise de la jetée des Eaux-Vives, entre 1885 et 1888, épreuve photographique sur papier albuminé, 11,9 x 18,2 cm, inv. VG P 532
BGE, Centre d'iconographie genevoise
Les rebondissements de l'affaire Armstrong, accusé par l'Agence antidopage américaine (USADA), ont éclaboussé jeudi le Tour de France dont quatre coureurs, ex-équipiers du Texan, seraient sous la menace d'une prochaine suspension selon le journal néerlandais De Telegraaf. George Hincapie, Levi Leipheimer, Christian Vande Velde et David Zabriskie, quatre Américains qui ont couru avec le septuple vainqueur du Tour, auraient procédé à des aveux de dopage et témoigné à charge contre leur ancien chef de file, selon le journal néerlandais qui évoque, sur la foi « de sources bien informées », un « accord bizarre » entre l'Usada et les quatre coureurs. L'équipe Garmin, pour laquelle courent Vande Velde et Zabriskie, a réagi sans attendre l'ébullition du départ de la 5e étape à Rouen. « Aucune suspension de six mois n'a été signifiée à aucun membre de Slipstream Sports (ndlr: Garmin). Ni aujourd'hui (jeudi) ni à une date ultérieure », a déclaré sur son compte Twitter le manager Jonathan Vaughters, lui-même cité dans l'article du journal.
Hincapie bientôt retraité
BMC, la formation de Hincapie, s'est située sur le même ligne par la voix de son président Jim Ochowicz. « Je suis déçu que l'on remette cela sur le tapis une nouvelle fois », a déclaré ensuite Hincapie, le seul coureur à avoir accompagné Lance Armstrong dans ses sept Tours de France victorieux (1999 à 2005). « J'ai toujours essayé de faire les choses justes pour ce sport. Maintenant, je suis juste là pour faire mon travail et je vais essayer de me concentrer là-dessus », a ajouté le New Yorkais qui, à 39 ans, détient désormais le record des (17) participations dans le Tour de France. Il a prévu de raccrocher le vélo avant la fin de l'été. Armstrong (40 ans), qui a pris sa retraite cycliste au début de l'année 2011 pour se consacrer au triathlon, est accusé par l'USADA de s'être dopé durant l'essentiel de sa carrière. Il a rejeté ces accusations. L'agence antidopage a reçu le feu vert la semaine dernière d'un comité d'experts indépendants pour mettre officiellement en accusation Armstrong et cinq autres collaborateurs, dont son ancien directeur sportif belge Johan Bruyneel (actuellement chez RadioShack).
Voici les principales conclusions des experts judiciaires sur l'accident du Rio-Paris en 2009, révélées mercredi à l'AFP par une source proche du dossier qui l'a consulté. Leur rapport de 356 pages vise à établir les causes de l'accident et à savoir s'il aurait pu être évité.
Une trajectoire non maîtrisée.
"Le décrochage" de l'appareil "a été initié par une trajectoire non maîtrisée alors que survenait la perte de données de pression totale du fait du givrage des sondes Pitot, accompagnée des alarmes et de la dégradation des systèmes associés"
Un déficit d'informations de l'équipage
"Le déficit d'information aux équipages concernant le givrage des sondes ou de l'altitude est contributif de l'effet de surprise".
Des procédures d'urgence inadaptées
Les conclusions mentionnent que la "procédure +IAS douteuses+ (requise lors du givrage des sondes, ndlr) bien qu'adaptée à la situation était inadéquate au vu des symptômes perceptibles".
Les conditions d'application de la procédure en cas d'alarme de décrochage définies dans la documentation "n'étaient pas adaptées à l'urgence de la situation", est-il aussi souligné.
Des conditions de vol défavorables
Sont pointées des conditions de vol défavorables: "de nuit, en turbulences et sans références visuelles", ainsi que des "phénomènes de cristaux de glace". Est également relevée la fatigue de l'équipage lors de ce vol de nuit.
Les défaillances humaines
Les experts notent que le commandant de bord "n'a pas assumé ses responsabilités managériales", "a inhibé la volonté de bien faire du copilote". Il n'y a pas eu de "réaction appropriée à l'alarme" décrochage.
Une formation inadaptée
La formation des pilotes est mise en cause par les experts pour qui il n'y a "pas d'exigences particulières complémentaires à la compétence du copilote, définies par l'exploitant, pour assumer la fonction de suppléant du commandant de bord".
Un manque de suivi des incidents depuis 2004
Des modifications techniques sont aussi épinglées car elles n'ont pas été suivies d'analyse de sécurité, tandis que sont notées des "spécifications de certification (CS25) qui n'ont pas évolué à la suite des incidents de perte d'indications de vitesse depuis 2004.
On aura tout vu? Ben...Non...On ne verra plus rien, même si cette décision de la FIFA ne nous étonne point. Le droit des femmes? Rien à faire! L'égalité hommes femmes, oubliez, ce n'est que du sport! Encore heureux qu'on laisse ces "impures" le pratiquer; elles devraient ramper, baiser les pieds de ces vieux chnoques avides d'argent et être reconnaissantes à ce nid merdique, "machin" de faussaires de planches à billets qui ne jurent que par le fric! Plus il y a de participantes, plus la caisse se remplit au détriment de de l'égalité des êtres humains devant la vie. Messieurs de la FIFA, je ne vous salue pas!
Le constructeur automobile Renault voudrait produire entre 5 000 et 10 000 Alpine par an s'il se décide à relancer la marque sportive, indique son directeur de la compétition sportive Jean-Pascal Dauce dans une interview à Latribune.fr. "L'idéal serait d'en produire 5 000 à 10 000 par an, avec une fabrication dans l'usine historique de Dieppe (Seine-Maritime)", spécialisée dans la fabrication de modèles de niches et de voitures de sport, explique M. Dauce.
"La cible est un prix autour de 35-40 000 euros", ajoute-t-il, soit bien moins qu'une Porsche. La nouvelle Alpine pourrait développer "200-250 chevaux"rester assez légère en pesant "1,2-1,3 tonne", avec des dimensions très contenues de "moins de 4,30 mètres de long", précise encore le patron de Renault Sport. "Les choses avancent. Il n'y a pas d'obstacle insurmontable aujourd'hui" à recréer la célèbre marque sportive Alpine, a déclaré pour sa part Carlos Tavares, directeur général délégué de Renault, au site d'information.
La décision de relancer ou non la célèbre marque sera prise d'ici la fin de l'année. Les berlinettes Alpine-Renault ont dominé les rallyes jusqu'aux années 1970, puis la marque fondée par Jean Rédélé, associé à Renault, a été mise en sommeil.
Le dénouement tant attendu approche, et avec lui son lot de satisfactions. Cet Euro 2012 fut un bon cru, tant sur le plan du jeu que de la tactique, malheureusement occulté par la capacité de nos commentateurs à se focaliser sur les affres françaises. L'Espagne et l'Italie se retrouveront donc dimanche pour une finale 100 % latine, et 50 % attendue. Si les deux formations faisaient évidemment partie des favoris d'avant-tournoi (dans une moindre mesure pour l'Italie), cet apex dominical vient aussi et surtout récompenser les deux équipes tactiquement les plus innovantes de la compétition.
Jeu sans attaquant côté espagnol, défense à trois côté italien : leur première rencontre, en poules, avait d'ailleurs donné lieu à l'un des plus beaux matches de la compétition (aux côtés d'Italie-Croatie, Angleterre-Italie ou encore l'Allemagne-Italie d'hier soir, comme c'est étrange !). La donne sera certainement différente ce dimanche, et dépendra des possibles lapins que sortiront les entraîneurs de leurs chapeaux. Plus que jamais, la victoire reposera sur la capacité des équipes à répondre aux tactiques déployées par l'adversaire, de la composition d'avant-match aux remplacements effectués par les entraîneurs en cours de partie. En schématisant, tout dépendra plus précisément de trois facteurs majeurs :
Si les deux premiers points ont déjà été traités dans les précédentes chroniques, et ne seront donc ici que partiellement balayés, le troisième a démontré toute son importance lors de ces demi-finales, et sera certainement décisif dans cet épilogue.
L'UEFA a décidé d'attribuer un prix spécial aux fans irlandais qui ont été "fantastiques" durant l'Euro-2012. "On va remettre un prix spécial pour les fans irlandais, leur équipe, l'Eire, a eu des résultats mitigés, mais les supporters ont été fantastiques, et le président Platini ira en Irlande pour remettre ce prix", a expliqué Gianni Infantino, le secrétaire général de l'instance dirigeante du football européen.
Les Irlandais ont été eliminés au premier tour, encaissant pas moins de neuf buts, donc quatre contre l'Espagne. A la fin de ce match, des dizaines de milliers d'Irlandais a tout de même entonné une chanson traditionnelle, faisant vibrer le stade de Gdansk.