Plongé dans l’insécurité au quotidien depuis la chute du régime de Saddam Hussein renversé par la coalition occidentale menée par les États-Unis en 2003, l’Irak n’est pas au bout de ses peines. Depuis quelques jours, c’est l’État qui vacille sous les coups de boutoir des djihadistes qui ne sont plus qu’à une centaine de kilomètres de la capitale Bagdad.
En deux temps trois mouvements, les combattants de l’État islamique en Irak et au Levant (EIIL) ont occupé de nombreuses localités du nord du pays, dont la seconde ville d’Irak, Mossoul, face à une armée en déliquescence. Qu’en est-il des promesses américaines de former une forte armée irakienne pour assurer la sécurité du pays après le départ des Marines et autres GI’s ?
C’est le chaos général en Irak, où le Premier ministre Nouri al-Maliki, beaucoup plus occupé jusque-là à composer avec les partis politiques de l’opposition pour former un nouveau gouvernement pour se maintenir au pouvoir, s’est attribué les prérogatives d’un chef militaire dans l’espoir de stopper l’avancée de la horde djihadiste sur Bagdad. Ce ne sera guère une partie de plaisir au vu des pertes en vies humaines et d’espace au profit des assaillants de l’EIIL, qui foncent comme dans du beurre en direction de la capitale irakienne. C’est dire l’anarchie régnant en Irak, un pays très riche en ressources énergétiques, mais incapable de se réorganiser au grand dam de son peuple, dont le seul souci est de sauver sa vie au jour le jour dans un climat d’insécurité totale, où attaques et attentats suicide sont ses lots quotidiens.
Plus de dix années plus tard, l’Irak continue à subir les conséquences de l’invasion de George W. Bush. Malheureusement, ce qui arrive à l’Irak ne lui est pas propre, car un autre pays, à savoir la Libye, est menacé de partition par la faute d’une autre intervention militaire occidentale pour faire tomber le régime du colonel Mouammar Kadhafi.
En deux temps trois mouvements, les combattants de l’État islamique en Irak et au Levant (EIIL) ont occupé de nombreuses localités du nord du pays, dont la seconde ville d’Irak, Mossoul, face à une armée en déliquescence. Qu’en est-il des promesses américaines de former une forte armée irakienne pour assurer la sécurité du pays après le départ des Marines et autres GI’s ?
C’est le chaos général en Irak, où le Premier ministre Nouri al-Maliki, beaucoup plus occupé jusque-là à composer avec les partis politiques de l’opposition pour former un nouveau gouvernement pour se maintenir au pouvoir, s’est attribué les prérogatives d’un chef militaire dans l’espoir de stopper l’avancée de la horde djihadiste sur Bagdad. Ce ne sera guère une partie de plaisir au vu des pertes en vies humaines et d’espace au profit des assaillants de l’EIIL, qui foncent comme dans du beurre en direction de la capitale irakienne. C’est dire l’anarchie régnant en Irak, un pays très riche en ressources énergétiques, mais incapable de se réorganiser au grand dam de son peuple, dont le seul souci est de sauver sa vie au jour le jour dans un climat d’insécurité totale, où attaques et attentats suicide sont ses lots quotidiens.
Plus de dix années plus tard, l’Irak continue à subir les conséquences de l’invasion de George W. Bush. Malheureusement, ce qui arrive à l’Irak ne lui est pas propre, car un autre pays, à savoir la Libye, est menacé de partition par la faute d’une autre intervention militaire occidentale pour faire tomber le régime du colonel Mouammar Kadhafi.
Liberté - Algérie