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22.3.14

Syrie - Crimée, même combat ?

Le dirigeant russe Vladimir Poutine et le dictateur syrien Bachar El-Assad sont "des hommes qui ne comprennent que le langage de la force", affirme le Wall Street Journal dans un éditorial. Et "ils sont en train de prendre le dessus, face aux dirigeants occidentaux qui vivent dans le monde chimérique du droit international", ajoute le quotidien américain. Comme le dessinateur libanais Bleibel, le journal de New York fait le rapprochement entre le référendum en Crimée et les développements des derniers jours en Syrie. En Crimée, un référendum organisé par les autorités séparatistes prônant le rattachement de la presqu'île à la Russie a été approuvée à 95%. En Syrie, alors que la date du 15 mars marquait les trois ans du conflit, les troupes du régime de Bachar El-Assad ont remporté une victoire majeure sur les rebelles à Yabroud.

"Soutenu par l'Iran et la Russie, Assad avance en Syrie et va bientôt écraser l'opposition. Quant à Poutine, il a fait voler en éclats les principes en vigueur depuis la guerre froide en s’octroyant de nouveaux territoires quand le moment lui a semblé propice", écrit le journal américain.


Le dirigeant russe Vladimir Poutine et le dictateur syrien Bachar El-Assad sont "des hommes qui ne comprennent que le langage de la force", affirme le Wall Street Journal dans un éditorial. Et "ils sont en train de prendre le dessus, face aux dirigeants occidentaux qui vivent dans le monde chimérique du droit international", ajoute le quotidien américain.

Comme le
dessinateur libanais Bleibel, le journal de New York fait le rapprochement entre le référendum en Crimée et les développements des derniers jours en Syrie. En Crimée, un référendum organisé par les autorités séparatistes prônant le rattachement de la presqu'île à la Russie a été approuvée à 95%. En Syrie, alors que la date du 15 mars marquait les trois ans du conflit, les troupes du régime de Bachar El-Assad ont remporté une victoire majeure sur les rebelles à Yabroud.

"Soutenu par l'Iran et la Russie, Assad avance en Syrie et va bientôt écraser l'opposition. Quant à Poutine, il a fait voler en éclats les principes en vigueur depuis la guerre froide en s’octroyant de nouveaux territoires quand le moment lui a semblé propice", écrit le journal américain.
Dessin de Bleibel
COURRIER INTERNATIONAL

Couillard : un Québec indépendant pourrait survivre

QMI_DELAND_14791ROBERVAL – Après avoir laissé sous-entendre, la veille, que le Québec dépend d’Ottawa et de la péréquation, Philippe Couillard a reconnu samedi qu’un Québec souverain pourrait survivre financièrement.
Le chef libéral s’est ainsi collé à la déclaration de Jean Charest, qui avait reconnu la même chose au milieu des années 2000. L’indépendance du Québec a toutefois un prix et la transition entraînerait une dizaine d’années de «perturbations majeures dans les services publics», a prévenu le chef libéral.
«Oui, bien sûr, le Québec a les capacités mais à quel prix ? Actuellement, le gouvernement fédéral dépense 16 milliards $ de plus qu’il ne reçoit du Québec. On reçoit plus de 9 milliards $ de péréquation. À quel prix et pourquoi ?», a-t-il martelé lors d’un point de presse à Roberval, dans la circonscription qu’il convoite au Lac-Saint-Jean.
«Si on était humiliés, opprimés, dans une situation dramatique, on pourrait prendre collectivement la décision de se passer de tout ça. (Mais) on est un peuple libre, un peuple heureux, en prospérité, qui est en récupération de la prospérité et de la modernité au Québec», a-t-il fait valoir.
Philippe Couillard a défendu avec vigueur l’appartenance du Québec la fédération canadienne. Il s’agit d’un «des meilleurs leviers de développement que le Québec possède», a-t-il fait valoir. Il redoute la «perte de la citoyenneté canadienne qui nous est enviée partout sur la planète».
«J’aime cette citoyenneté qui donne un caractère de partage et de grands horizons plutôt que le rétrécissement sur soi-même et la fermeture des portes. C’est pour ça que je suis fier d’être Québécois avant tout mais également fier d’être Canadien.»
Attaque contre Péladeau
Vendredi, le chef du Parti libéral avait laissé sous-entendre que le Québec n’avait pas les moyens de se séparer, lors d’une attaque en règle contre le candidat péquiste Pierre Karl Péladeau.
«Je en comprends pas que quelqu’un qui s’estime compétent en économie recommande la séparation du Québec du Canada puis la disparition de 9 milliards $ de péréquation du Canada, ça me semble un calcul assez simple», avait-il lâché.
Le Québec serait «perdant» selon Legault
Le chef de la CAQ, qui essaie d’éluder toute question sur un éventuel référendum, croit que le Québec serait «perdant» au plan financier, alors qu’il avait lui-même présenté les avantages économiques d’un Québec indépendant quand il était au Parti québécois.
«Actuellement, quand on regarde les transferts qu’on reçoit en péréquation, qui sont beaucoup plus élevés qu’à l’époque où j’avais fait un document (budget de l’an 1), c’est certain que le Québec serait perdant quand on regarde l’argent qui est envoyé à Ottawa puis l’argent qu’on reçoit d’Ottawa», a-t-il soutenu ce matin en conférence de presse.
«Le Québec pourrait peut-être être dans la moyenne, ou peut-être un petit peu en bas de la moyenne des pays. Mais ce n’est pas ça l’enjeu. Les Québécois, ils n’en veulent pas de référendum. Ils ne veulent pas trancher ce dossier-là. Donc c’est ça le vrai débat, ce n’est pas de savoir si c’est viable ou pas viable. C’est que les Québécois ne veulent pas en entendre parler.»
JOURNAL DE QUEBEC

Texte - Dialogues improbables mais néanmoins possibles

- Allo, c’est toi Manu ?...

- Allo… oui… qu’est-ce que c’est ?

- Je suis bien chez Manu ?

- Oui…pourquoi ? Qu’est-ce qu’il y a… ?

- Il n’est que 5 heures du mat. Je ne te réveille pas, au moins… ?

- Putain ! Oui tu m’as réveillé ! Mais qui es-tu ?

- Ton copain Joan !

- Mais j’ai pas de copain Joan…!

- Tu habites toujours dans le seizième, dis ?

- Non, bordel ! Je vis à Sarcelles, et je suis flic. Au

  Fait, où tu habites, toi ?

- Pourquoi tu me demandes ca, Manu ?

- Pourquoi ? Mais pour te remercier, mon pote ; tu m’as réveillé,

Tu m’as emmerdé au moins cinq minutes… Alors, si t’es pas très Loin... on pourrait prendre le petit-déjeuner ensemble.

- C’est vrai ? C’est très gentil Manu…

- Moi ce sera du rouge et du saucisson, comme d’habitude ;

Et toi ce sera de la matraque, petit con ! 

Rio de Janeiro, 31 octobre 2012. 

JoanMira

16.3.14

Rugby - Tournoi des VI Nations - Bravo l'Irlande!



Bravo, bravo & Bravo, Ireland!

La meilleure équipe a gagné la compétition; et que penser du pitoyable commentaire du "capitaine" des coqs?:

Pascal Papet a déclaré: "Gagner c'est l'essentiel..."

Non, monsieur, jouer, est le plus important... Et la victoire arrivera, ou non, ...naturellement!

12.3.14

Texte - Quelques réflexions sur l'existence


Allez, je vois bien que tu bois, tu vois?
Mais pourquoi, se laisser aller au désespoir?  Non pas par plaisir, je sais. Alors… par peur de décevoir, angoisse ou détresse?
Qu’il eût été heureux de ne jamais connaître le monde et les souffrances qu’il engendre !
Mais, Ami, tu n’es pas tout seul : beaucoup souffrent, en silence, de ce mal-être non-dit, car  le monde est peuplé de personnes qui jouent à être ce qu’ils ne seront jamais, s’adonnant au jeu périlleux – peut-être -  du bonheur artificiel. A-t-on un avenir ?
Oui : la certitude de mourir. Ce n’est pas le plus grave.
Enfant, le questionnement était présent et permanent : savoir ce qu’est la fin de la vie… Et, enfin,  à la frontière de la vieillesse, je conçois, enfin, que la mort n’est pas seulement nécessaire, comme salutaire. C’est cela l’avenir ; pouvoir partir en paix et, si possible, laisser l’image d’un être marquant son passage sur terre, laissant son souvenir…
Ceux qu’il a aimés et qui  l’ont aimé... Notre passage sur ce monde n’est que cela même : un passage. Nous ne mourons que vivants. Alors, intrigues, inimitiés, ambitions, tous sentiments se dilueront dans l’espace à l’exception des ondes les plus positives de l’univers à l’origine de notre « matérialisation ».
 « Ah si jeunesse savait et vieillesse pouvait… ! »
Bordeaux, 12-03-2014
JoanMira