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29.10.12

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Des touristes sur la place Saint-Marc inondée à Venise.
 
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Un tsunami est-il possible à Genève? Oui...

Le lac de Genève le 26 avril 2012



Le lac de Genève le 26 avril 2012 Fabrice Coffrini afp.com

Privée de façade maritime mais possédant de nombreux lacs, la Suisse n'est pas à l'abri d'un tsunami, comme le prouve la vague catastrophique qui a balayé le lac Léman en l'an 563, documentée dans un article publié dimanche par la revue scientifique Nature Geoscience.

Une équipe de l'Université de Genève montre que des régions enclavées dans les terres, sans risque de séisme majeur, ne sont pas à l'abri des effets destructeurs des tsunamis.

Enquête scientifique au plus profond du lac

Ainsi en l'an 563, une vague géante a ravagé les rives du lac Léman, le plus grand lac naturel d'Europe de l'Ouest, situé entre la Suisse et la France. Un événement connu sous le nom de catastrophe du Tauredunum.
Deux récits historiques décrivent ce tsunami meurtrier, généré par un éboulement dans la montagne en Valais, à plus de 70 kilomètres de Genève, là où le Rhône entre dans le lac Léman. Il a inondé la rive, emportant villages, troupeaux et habitants, détruisant le pont de Genève et pénétrant dans la ville où plusieurs personnes furent tuées. Une équipe de l'Université de Genève spécialisée en limnogéologie (étude des sédiments lacustres), conduite par Katrina Kremer, a mené l'enquête au plus profond du lac.
Des sondages ont mis en évidence un dépôt de sédiments géant sous le lit du lac, qui pour les chercheurs s'est déposé d'un seul coup. Il s'étend sur plus de 10 kilomètres de long et 5 kilomètres de large, avec une épaisseur moyenne de 5 mètres et un volume minimal estimé à 250 millions de mètres cube, soit le contenu de quelque 100.000 piscines olympiques. Le dépôt est plus épais au sud-est, indiquant qu'ils ont pour origine la région du débouché du Rhône dans le lac. Les chercheurs ont par ailleurs analysé des échantillons biologiques, validant une datation du dépôt entre l'an 381 et l'an 612.

Une vague de 13 mètres à Lausanne

La séquence exacte des événements qui relient l'éboulement du mont Tauredunum et le tsunami du lac Léman reste incertaine, mais les chercheurs émettent l'hypothèse que l'impact de l'éboulement sur des sédiments meubles a destabilisé les terrains de la zone d'entrée du Rhône dans le lac, qui s'est effondrée, provoquant le tsunami à la surface du Léman.
Des simulations informatiques ont montré qu'à la suite d'un tel effondrement, une vague de 13 mètres est observée seulement 15 minutes après à Lausanne et une vague de 8 mètres à Genève 70 minutes après. Une reconstitution de la ville de Genève d'après sa configuration au VIe siècle révèle qu'une vague de 8 mètres serait bien passée au-dessus des murs de la cité, frappant le pont et les moulins, comme l'ont décrit les historiens contemporains de la catastrophe, Grégoire de Tours et Marius d'Avenches.

Vers un nouveau tsunami?

Selon les chercheurs, cet événement pourrait très bien se reproduire. Aujourd'hui, les rives du lac Léman sont peuplées par plus d'un million de personnes, dont 200.000 à Genève. Les chercheurs soulignent que la ville est particulièrement vulnérable, à la fois par sa faible altitude par rapport au niveau du lac et sa localisation à l'extrêmité du lac en forme d'entonnoir, une configuration qui amplifie fortement l'amplitude des ondes.
«Dans notre étude, nous n'avons pas quantifié le risque associé à un tsunami sur le lac Léman. Mais nous voulons montrer que les vagues d'un tsunami peuvent potentiellement toucher les villes autour de ce lac, aussi bien que d'autres grands lacs dans le monde», a expliqué Katrina Kremer à l'AFP. Bien que connu par les géologues, le risque est «sous-estimé», a-t-elle ajouté, «la plupart des gens ignorant tout simplement que des tsunamis peuvent se produire dans des lacs».
Avec AFP

Intempéries: «En Isère, on n'avait pas vu autant de neige à cette période depuis trente ans»

De la neige sur la parc Mistral à Grenoble (Isère), le 28 octobre 2012.
De la neige sur la parc Mistral à Grenoble (Isère), le 28 octobre 2012. JEAN-PIERRE CLATOT / AFP

Plusieurs personnes disparues, des dégâts matériels et des milliers de foyers privés d’électricité: le vent et la neige se sont combinés dans l’Est de la France ce week-end de façon exceptionnelle. Joint par 20 Minutes, Pascal Scaviner, responsable du service prévisions à Météo Consult, explique ces intempéries et annonce le temps à venir…

Des vents à 150 km/h ont été signalés ce week-end par endroits. Est-ce exceptionnel?

Les vitesses les plus élevées que l’on a mentionnées concernent les reliefs, notamment sur les hauteurs de l’Ardèche où des vents à plus de 180 km/h ont pu localement être mesurés. Dans les plaines, les vents ont soufflé à une vitesse pouvant aller jusqu’à 120 ou 130 km/h. Ce n’est pas exceptionnel, dans les plaines du Rhône on a l’habitude de vents à 100 ou 110 km/h. Mais au-dessus de 100, une différence de 10 km/h peut paraître anodine sur le papier mais peut avoir des conséquences importantes, notamment sur les dégâts causés par le vent.

Il a beaucoup neigé dans l’Est de la France, est-ce particulièrement précoce?

C’est une neige précoce, notamment dans certaines zones en Isère où on n’avait pas vu autant de précipitations neigeuses à cette période depuis quinze ans. Et sur les reliefs environnants, notamment sur le massif de la Chartreuse, où on a atteint par endroits les 60 centimètres de neige, on n’avait pas vu ça depuis trente ans. C’est très localisé, mais c’est exceptionnel.

A quoi est dû le temps du week-end dernier?

On avait une descente d’air polaire venant tout droit du nord, une masse d’air froid mais plutôt sèche. Et en même temps, de fortes pluies se sont abattues sur le Sud-Est, causées par une masse d’air plus humide venant de l’Europe centrale. Dans une zone charnière, une étroite bande allant de la Suisse au Massif central, les deux phénomènes se sont rencontrés, faisant très localement chuter les températures à -20°C. Vers Grenoble, on a perdu 12°C en 24 heures de samedi à dimanche et les chutes de neige ont été soutenues et continues.

A quoi peut-on s’attendre pour cette semaine?

Le temps est redevenu calme, il n’y a plus de vigilance particulière sur le territoire en tout cas jusqu’au milieu de semaine. On connaîtra une période dégradée ensuite, avec à partir de mercredi un temps pluvieux, voire orageux, des Alpes du Sud jusqu’à la Corse. Ensuite le reste de la France connaîtra un régime de temps perturbé, avec des vents forts et des précipitations. De lundi à mercredi, le temps sera calme avec des températures en-dessous des normales de saison. En fin de semaine l’air va se radoucir mais le temps va se dégrader.

Texte: Fondamentalement



Aujourd’hui, encore une fois, j’ai dû prendre des substances pour supporter la vie… Mal choisie la période de vacances…
 
Rio c’est beau sans fièvre et sueurs froides accompagnées d’incompréhensibles angoisses et envies vertigineuses de défier la gravité.
 
Sensation jamais éprouvée ; crainte et envie ; crainte du vide et envie d’espace! Est-ce un signe?
 
Tout est complexe et le dilemme vous poursuit dans toutes vos pensées. La question est cornélienne: vivre en souffrance pour ceux qu’on aime, où arrêter tout et, par egoïsme,  trouver la paix ?
 
Être suppose d’exister dans la plénitude du bon fonctionnement de ses aptitudes intellectuelles. Sinon, disparaître. Être ou ne pas être… N’est-ce pas Shakespeare ?
 
Rio de Janeiro, 29 de outubro de 2012
 
JoanMira                         

Au fait, qui est à la fête ?

Le monde musulman a célébré l'Aïd-el-Kébir, ou fêté le sacrifice, le 26 octobre. Au cours de cette dernière, la plus importante du monde musulman, les familles égorgent un mouton en souvenir du sacrifice fait par Abraham.
Pour l'occasion, la Syrie a respecté une trêve. Selon Lakhdar Brahimi, médiateur de l'ONU et de la Ligue arabe, Bachar El-Assad aurait accepté un cessez-le-feu.
Dessin de Haddad paru dans Al-HayatLe monde musulman célébrera l'Aïd-el-Kébir, ou fête du sacrifice, le 26 octobre. Au cours de cette dernière, la plus importante du monde musulman, les familles égorgent un mouton en souvenir du sacrifice fait par Abraham.Pour l'occasion, la Syrie pourrait respecter une trêve. Selon Lakhdar Brahimi, médiateur de l'ONU et de la Ligue arabe, Bachar El-Assad aurait accepté un cessez-le-feu. L'état-major de l'armée régulière devait se prononcer ce 25 octobre. Quant aux insurgés, ils semblent très divisés sur la question.

Le cartoon - Obama

En 2008, la somme d'espoirs placée en Obama était faramineuse. Le président ne pouvait que décevoir. C'est ce qu'il a fait.


Sur les panneaux et pancartes : (sans) Espoir. Votez Obama, l'autre est encore pire. Oui nous pouvons (mais nous ne l'avons pas fait). Le changement (en un homme politique ordinaire)
Obama : "2008 me manque…"

Ouragan Sandy: Les États-Unis en état d'alerte... 375.000 personnes évacuées à New-York...

 Les gratte-ciel de New York vus depuis Staten Island, le 28 octobre 2012 avant l'arrivée de l'ouragan Sandy


Les premiers effets de l'ouragan Sandy se sont fait sentir dimanche le long de la côte est américaine, provoquant des annulations de milliers de vols et l'évacuation de centaines de milliers de personnes à New York et dans certaines zones côtières.

Le président américain
Barack Obama a appelé ses compatriotes à prendre «très au sérieux» le danger potentiel que représente l'arrivée prochaine de l'ouragan Sandy sur la côte est des Etats-Unis, et de suivre les conseils de précaution délivrés par les autorités.

La tempête «n'a pas encore atteint la côte. On ne sait donc pas où elle va frapper, où il y aura l'impact le plus important et c'est pourquoi il est si important d'être prêt à réagir massivement et rapidement», a-t-il déclaré à des journalistes lors d'une visite au siège de l'Agence fédérale chargées des situations de crise (FEMA).

«Frankenstorm»

A neuf jours de la présidentielle, la tempête chamboule également le programme des deux candidats, contraints d'annuler des réunions publiques dans les Etats susceptibles d'être touchés.

Le président Barack Obama a annulé ses déplacements lundi et mardi afin de rester à la
Maison Blanche et surveiller l'évolution de la situation. Les opérations de vote par anticipation risquent également d'être très perturbées, menaçant le taux de participation, s'est inquiété dimanche le stratège démocrate David Axelrod.

«Superstorm», «Monsterstorm» ou encore «Frankenstorm», en référence à la fête d'Halloween: les médias américains rivalisaient de superlatifs pour souligner la taille et la dangerosité potentielle de la tempête, qui doit se renforcer en rencontrant un front froid du Canada, selon les prévisions des services météorologiques.

Évacuation de 375.000 habitants

Ceux-ci s'attendent à ce que l'ouragan touche les terres, sans doute mardi matin, entre le Massachusetts et la Virginie. Sans attendre, les autorités multiplient les mesures de précaution. A New York, ville la plus peuplée du pays, le maire Michael Bloomberg a ordonné l'évacuation de 375.000 habitants de zones risquant d'être inondées.

Le réseau de transports publics, y compris le métro, sera fermé à partir de 19h (1h à Paris). «Suspendre le réseau de transport le plus important d'Amérique du Nord représente un effort monumental» mais qui doit être effectué suffisamment en amont de l'arrivée de l'ouragan, a expliqué le patron de la MTA, Joseph Lhota. Outre le métro, le plus fréquenté du pays, la ville aux huit millions d'habitants a également décrété la fermeture des parcs, des aires de jeux et des plages dimanche après-midi.

Plus de 3.000 vols annulé

Parcs, aires de jeu et plages seront également interdits au public. Plus de 3.000 vols intérieurs et internationaux ont par ailleurs été annulés pour dimanche et lundi, principalement dans les aéroports new-yorkais, de Washington, et de Philadelphie, selon le site spécialisé flightaware.com.

Dimanche, à 20h, heure de Paris, l'ouragan se trouvait à 930 kilomètres au sud de New York et progressait vers le nord-est à la vitesse de 22 km/h, selon le Centre américain de surveillance des ouragans (NHC), basé à Miami. «Il devrait obliquer vers le nord puis le nord-ouest ce soir ou tôt lundi», selon le NHC.

Les vents soufflaient à 120 km/h mais devraient se renforcer à mesure que l'ouragan progresse vers des eaux plus froides. Ces vents soufflent jusqu'à plus de 800 kilomètres de l'oeil du cyclone selon le NHC. Une pression atmosphérique de 951 hectopascals -quasi-jamais observée sous ces latitudes quand la pression normale est de 1.015 hectopascals- a par ailleurs été relevée.

Un spécialiste de la météo du Washington Post avouait sur le site Internet du journal n'avoir «jamais vu» de pareils prévisions: «On entre là dans un terrain inconnu». Sur les côtes de Caroline du Nord, dimanche, les télévisions montraient des images des îles rases qui s'étirent le long de la côte balayées par les vents, avec de la pluie et une mer démontée.

Déjà au moins 66 morts

Dans le New Jersey et le Delaware, l'évacuation des zones côtières a été ordonnée face au risque d'inondations, accru par les forts coefficients de marées. Le gouverneur du New Jersey, Chris Christie a aussi décrété la fermeture des casinos d'Atlantic City, le «Las Vegas de la côte est».

Dans la plupart des Etats de la côte, les gouverneurs ont décrété l'état d'urgence afin de pouvoir rapidement mobiliser des moyens. A Washington, des sacs de sable ont été disposés autour de certaines bouches de métro tandis que les radios, mettant en garde contre les coupures d'électricité à prévoir, diffusaient des messages expliquant les précautions à prendre.
L'ouragan Sandy a déjà laissé au moins 66 morts après son passage dans les Caraïbes.