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30.6.12

Renault: la nouvelle Alpine



Le constructeur automobile Renault voudrait produire entre 5 000 et 10 000 Alpine par an s'il se décide à relancer la marque sportive, indique son directeur de la compétition sportive Jean-Pascal Dauce dans une interview à Latribune.fr. "L'idéal serait d'en produire 5 000 à 10 000 par an, avec une fabrication dans l'usine historique de Dieppe (Seine-Maritime)", spécialisée dans la fabrication de modèles de niches et de voitures de sport, explique M. Dauce.
"La cible est un prix autour de 35-40 000 euros", ajoute-t-il, soit bien moins qu'une Porsche. La nouvelle Alpine pourrait développer "200-250 chevaux" rester assez légère en pesant "1,2-1,3 tonne", avec des dimensions très contenues de "moins de 4,30 mètres de long", précise encore le patron de Renault Sport. "Les choses avancent. Il n'y a pas d'obstacle insurmontable aujourd'hui" à recréer la célèbre marque sportive Alpine, a déclaré pour sa part Carlos Tavares, directeur général délégué de Renault, au site d'information.
La décision de relancer ou non la célèbre marque sera prise d'ici la fin de l'année. Les berlinettes Alpine-Renault ont dominé les rallyes jusqu'aux années 1970, puis la marque fondée par Jean Rédélé, associé à Renault, a été mise en sommeil.
LE MONDE

Euro 2012 : le grand bluff tactique en finale ?


Andres Iniesta face aux joueurs italiens.

Le dénouement tant attendu approche, et avec lui son lot de satisfactions. Cet Euro 2012 fut un bon cru, tant sur le plan du jeu que de la tactique, malheureusement occulté par la capacité de nos commentateurs à se focaliser sur les affres françaises. L'Espagne et l'Italie se retrouveront donc dimanche pour une finale 100 % latine, et 50 % attendue. Si les deux formations faisaient évidemment partie des favoris d'avant-tournoi (dans une moindre mesure pour l'Italie), cet apex dominical vient aussi et surtout récompenser les deux équipes tactiquement les plus innovantes de la compétition.
Jeu sans attaquant côté espagnol, défense à trois côté italien : leur première rencontre, en poules, avait d'ailleurs donné lieu à l'un des plus beaux matches de la compétition (aux côtés d'Italie-Croatie, Angleterre-Italie ou encore l'Allemagne-Italie d'hier soir, comme c'est étrange !). La donne sera certainement différente ce dimanche, et dépendra des possibles lapins que sortiront les entraîneurs de leurs chapeaux. Plus que jamais, la victoire reposera sur la capacité des équipes à répondre aux tactiques déployées par l'adversaire, de la composition d'avant-match aux remplacements effectués par les entraîneurs en cours de partie. En schématisant, tout dépendra plus précisément de trois facteurs majeurs :
  • comment bloquer l'attaque espagnole ?
  • qui pour occuper cette attaque espagnole ?
  • comment gêner les "créateurs" ?
Si les deux premiers points ont déjà été traités dans les précédentes chroniques, et ne seront donc ici que partiellement balayés, le troisième a démontré toute son importance lors de ces demi-finales, et sera certainement décisif dans cet épilogue.
Lire en intégralité sur http://www.lemonde.fr/euro2012/article/2012/06/29/chronique-tactique-le-grand-bluff_1727075_1616919.html

Euro 2012 : un prix spécial pour les "fantastiques" fans irlandais (Video)

L'UEFA a décidé d'attribuer un prix spécial aux fans irlandais qui ont été "fantastiques" durant l'Euro-2012. "On va remettre un prix spécial pour les fans irlandais, leur équipe, l'Eire, a eu des résultats mitigés, mais les supporters ont été fantastiques, et le président Platini ira en Irlande pour remettre ce prix", a expliqué Gianni Infantino, le secrétaire général de l'instance dirigeante du football européen.
Les Irlandais ont été eliminés au premier tour, encaissant pas moins de neuf buts, donc quatre contre l'Espagne. A la fin de ce match, des dizaines de milliers d'Irlandais a tout de même entonné une chanson traditionnelle, faisant vibrer le stade de Gdansk.
Bravo à mes frères irlandais!

Foto - Vive le foot au féminin

Le retour de l'Alpine-Renault!

Copyright Reuters





























« Les choses avancent. Il n'y a pas d'obstacle insurmontable aujourd'hui » à recréer la célèbre marque sportive Alpine, affirme cette fin de semaine Carlos Tavares, Directeur général délégué de Renault, dans le cadre du « Festival de la vitesse » de Goodwood, dans le sud de l'Angleterre, qui rassemble les passionnés de sport automobile. Pour cette nouvelle voiture emblématique, reprenant un label qui eut son heure de gloire en remportant le championnat du monde des rallyes au début des années 70, « la cible est un prix autour de 35-40.000 euros », explique à latribune.fr Jean-Pascal Dauce, Directeur de la compétition de Renault Sport. Le véhicule pourrait développer « 200-250 chevaux » rester assez léger en pesant « 1,2-1,3 tonne », avec des dimensions très contenues de « moins de 4,30 mètres de long ».
Production à Dieppe
« L'idéal serait d'en produire 5 à 10.000 par an, avec une fabrication dans l'usine historique de Dieppe (Seine maritime) », précise Jean-Pascal Dauce. D'autres sources internes plus pessimistes - ou réalistes - estiment toutefois que « 5.000 exemplaires par an ce serait déjà bien ». Même si la « décision formelle sera prise avant la fin de l'année », on sent l'enthousiasme des ingénieurs et de Carlos Tavares lui-même, passionné de sport automobile, pour la recréation de ce label mythique. Il est donc a priori difficile d'imaginer que le projet Alpine ne reçoive pas finalement le feu vert. "Il n'y a pas d'autre sujet qui nous vaille autant d'encouragements et de courrier au sein de la société », reconnaît en effet Carlos Tavares.
Style rétro
« Vingt à trente personnes travaillent déjà à plein temps sur ce projet »,assure Jean-Pascal Dauce. A quoi ressemblera la voiture ? « Une vraie Alpine doit ressembler à la berlinette A 110 (la mythique voiture des années 60 et début 70) », indique Laurens van den Acker, patron du design de Renault, qui précise : « la Mini et la Fiat 500 sont deux bons exemples ». A bon entendeur... Si la décision est prise en fin d'année, la voiture, à vocation mondiale, peut arriver sur le marché dans trois ans, c'est-à-dire au milieu de la décennie.
« Les choses avancent. Il n'y a pas d'obstacle insurmontable aujourd'hui » à recréer la célèbre marque sportive Alpine, affirme cette fin de semaine Carlos Tavares, Directeur général délégué de Renault, dans le cadre du « Festival de la vitesse » de Goodwood, dans le sud de l'Angleterre, qui rassemble les passionnés de sport automobile. Pour cette nouvelle voiture emblématique, reprenant un label qui eut son heure de gloire en remportant le championnat du monde des rallyes au début des années 70, « la cible est un prix autour de 35-40.000 euros », explique à latribune.fr Jean-Pascal Dauce, Directeur de la compétition de Renault Sport. Le véhicule pourrait développer « 200-250 chevaux » rester assez léger en pesant « 1,2-1,3 tonne », avec des dimensions très contenues de « moins de 4,30 mètres de long ».
Production à Dieppe
« L'idéal serait d'en produire 5 à 10.000 par an, avec une fabrication dans l'usine historique de Dieppe (Seine maritime) », précise Jean-Pascal Dauce. D'autres sources internes plus pessimistes - ou réalistes - estiment toutefois que « 5.000 exemplaires par an ce serait déjà bien ». Même si la « décision formelle sera prise avant la fin de l'année », on sent l'enthousiasme des ingénieurs et de Carlos Tavares lui-même, passionné de sport automobile, pour la recréation de ce label mythique. Il est donc a priori difficile d'imaginer que le projet Alpine ne reçoive pas finalement le feu vert. "Il n'y a pas d'autre sujet qui nous vaille autant d'encouragements et de courrier au sein de la société », reconnaît en effet Carlos Tavares.
Style rétro
« Vingt à trente personnes travaillent déjà à plein temps sur ce projet »,assure Jean-Pascal Dauce. A quoi ressemblera la voiture ? « Une vraie Alpine doit ressembler à la berlinette A 110 (la mythique voiture des années 60 et début 70) », indique Laurens van den Acker, patron du design de Renault, qui précise : « la Mini et la Fiat 500 sont deux bons exemples ». A bon entendeur... Si la décision est prise en fin d'année, la voiture, à vocation mondiale, peut arriver sur le marché dans trois ans, c'est-à-dire au milieu de la décennie.