Nombre total de pages vues

16.11.11

Now, it's time to say goodbye

O sua descaradona,
Tire a roupa da janela
Que essa camisa sem dona
Lembra-me a dona sem ela...

CIAO, CIAO, CIAO...

Dessin - Heat me my friend


"Heat me my friend" (16-11-2011)

Dessin - Beau métal triste


"Beau métal triste" - (05-06-2010)

Dessin - Bataille rangée


"Bataille rangée" (Aufrery - 25-05-2010)

jmira

Passé - Gare de Dax : "Départ du Sud-Express" (1854)


La ligne venant de Bordeaux en 1854 est prolongée quelques mois plus tard jusqu'à Bayonne. Dax devient une étape importante. Des trains prestigieux font leur apparition, comme le Sud-Express, prolongé plus tard vers l'Espagne.

"Départ du Sud-Express"

15.11.11

Dessin - Citadine nuit d'hiver 2010


"Citadine nuit d'hiver de 2010"

Cinema: Kassovitz réveille l'affaire de la grotte d'Ouvéa

Kassovitz réveille l'affaire de la grotte d'Ouvéa
Kassovitz vient de réaliser un film coup de poing sur l’affaire de la grotte d’Ouvéa. De la première à la dernière minute, on est capté par cette histoire vraie qui date de 1988. Un thriller suffocant qui n’honore pas la politique ­mitterrando-chiraquienne.
Le contexte : la tension règne sur cette île calédonienne qui appartient à la France. D’un côté les indépendantistes qui se battent depuis des générations pour retrouver leur liberté tribale et leurs terres ; de l’autre, les caldoches, pro-français, qui entendent maintenir leurs privilèges. Pendant l’élection ­présidentielle de 1988 entre François Mitterrand et Jacques Chirac, une ­occupation pacifique des indépendantistes dans la gendarmerie de Fayaoué, sur l’île d’Ouvéa, dégénère et provoque la mort de quatre gendarmes. Vingt-sept autres sont pris en otage et cachés dans une grotte par les hommes d’Alphonse Dianou, chef des rebelles. Le GIGN, mené par le capitaine Legorjus (incarné ici par Kassovitz), tente d’entamer des négociations et de trouver une sortie pacifique. Pourtant, un assaut est ­ordonné par Paris, qui envoie l’armée.
PARIS MATCH

L’euro rend-il Sarkozy fou ?


Nicolas Sarkozy semble faire de la survie de l'euro, plus qu'Angela Merkel, une question de vie ou de mort, ce que personne ne lui demande...
Pourquoi le président s'entête-t-il ?
 
L’euro rend-t-il Sarkozy fou ? Il n’avait pas besoin de cela, diront les mauvaises langues. Il n’est pas le seul, diront d’autres.

Depuis juin, toute l’attention du président semble accaparée par le sauvetage de l’euro. Dans le feuilleton à suspense où on se demande de semaine en semaine si la Grèce – et donc l’euro – seront « sauvés », le président apparaît comme un acteur de premier plan. Et on le voit peu s’occuper d’autres chantiers.

Cet affairement repose sur deux suppositions également fausses : d’abord que l’euro peut être effectivement sauvé, ce qui est bien sûr impossible : tout au plus pourra-t-on le prolonger de quelques mois comme un moribond en service de réanimation...
MARIANNE

14.11.11

Bel-Air - 14-11-2011



Ma vieille et très belle Maison; tant de souvenirs
Façonnés telle la noble matière s'échappant, comme
Par miracle, d'un songe esthétique, de la main du
Rude artisan... Ma mère très chérie, mon cher père...

Construite il y a deux siècles, de torchis, avec des murs
avides d'espace, ayant abrité maintes familles, elle
Allait nous revenir au début des années 1960...passant
du maire de Saint-Paul, le sieur Lavielle, à la famille Mira.

Et, en ce temps-là, passait chez nous, régulièrement et
De manière entêtante, le Marcel, toujours en quête d'un
"coup à boère..." et trouvant, par la même occasion, un
Auditoire rendu à ses exploits de la seconde guerre...

Et il narrait son héroisme "sous les boches" avec toujours
Une petite anecdote pitoresque qui permettait de situer
Le théâtre des opérations où, à coup sûr et invariablement,
Les français étaient beaux, très vaillants, héros et résistants...

N'ayant à l'époque que très peux de distractions, à part les
besognes obligatoires qui m'étaient imparties par le père, je
Trouvais ces moments délicieux; je souhaitais même que le
Marcel vînt plus souvent:  un rayon de soleil à la fin du jour...  

Sondages : pourquoi Sarkozy ne décolle pas


 


Le dernier en date (Ipsos/France-Télévisions/Le Monde) est à peu près aussi décevant pour le président sortant que les précédents. François Hollande mène le bal, Nicolas Sarkozy progresse un peu, et Marine Le Pen reprend des couleurs. Même s’il est jugé « crédible » sur sa gestion de la crise, Nicolas Sarkozy ne décolle pourtant pas. A six mois du premier tour, les carottes sont-elles cuites ?

Pas sûr, certes. Mais ça sent le brûlé. Certes, le président sortant relève un peu la tête avec 24% d’intentions de vote au premier tour (+3%). Mais son challenger socialiste enregistre la même progression, avec 12 points de plus ! Et même si un Français sur deux reconnaît qu’il n’a pas encore fait son choix, l’affaire paraît bien mal engagée. Au point d’ailleurs de favoriser le retour en grâce de Marine Le Pen qui affiche, elle aussi, une progression de 3%. Pas de jaloux.
Pourtant, à y regarder de plus près, 37% des personnes interrogées estiment que Nicolas Sarkozy est le plus à même de « réduire les déficits et la dette ». François Hollande n’est pas loin derrière (36%) mais il perd 7 points dans la bataille : la gauche n’a pas bonne réputation dans ce registre. Du reste, 40% des Français estiment que la politique menée par la droite depuis 2002 est « plus responsable » que celles menées par Lionel Jospin et François Mitterrand (30%).
Mais alors, qu’est-ce qui cloche ?
(Bye, bye, triste clown...)