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13.9.11

l'UMP organise les journées du patrimoine!

Radiations Vive le nucléaire!

A cette heure, l’Autorité de sûreté nucléaire et EDF n’ont détecté aucune fuite radioactive sur le site Centraco (centre nucléaire de traitement et de conditionnement des déchets faiblement radioactifs) de Codolet dans le Gard. Tout va bien. L’explosion d’un four qui sert à fondre les déchets radioactifs métalliques n’a fait qu’un mort et quatre blessés. Ce qui permet de dire qu’il ne s’agit pas d’un accident, mais d’un incident. A moins d’un événement aussi important que Tchernobyl ou Fukushima, plus personne ne doit s’inquiéter. Autant dire qu’il ne s’est rien passé à Codolet. Le porte-parole d’EDF est rassurant : «c’est un accident industriel, ce n’est pas un accident nucléaire». Ouf! Ca va mieux. Les larbins du nucléaire japonais ont tenté de ce genre d’argumentation lorsque le tsunami a ravagé la centrale de Fukushima : ce n’était pas un accident nucléaire, mais une catastrophe naturelle. Ce n’est pas à une défaillance de l’industrie nucléaire qu’on doit la fin du monde, mais à une poussée de fièvre de Dame Nature… Ca n’a pas pris...
http://www.charliehebdo.fr/les-nouvelles-du-jour

12.9.11

Now, it's time to say goodbye




CIAO, CIAO, CIAO...

Nucléaire - CRIIRAD - Note du 12/09/11 - 16h30


Incident sur le site de Marcoule (Gard) : le service balises du laboratoire CRIIRAD en vigilance accrue

- Ce lundi 12 septembre à 16h00 heure locale, aucune contamination n'a été détectée par les balises gérées par la CRIIRAD, dont le laboratoire assure une astreinte 24h sur 24.

Rappel : les limites de détection en mesure directe sont de 1 Bq/m3 pour les aérosols (poussières) émettant des particules alpha et bêta ainsi que pour l'iode gazeux. Pour détecter des contaminations plus faibles, il est nécessaire de procéder au prélèvement des filtres et cartouches, ensuite analysés en laboratoire.

Un muerto en una explosión en un complejo nuclear en Francia


Central de Marcoule

Los bomberos y la policía acordonaron apresuradamente la zona y los cerca de 3.500 empleados que trabajan en el recinto nuclear fueron confinados mientras se investigaba el riesgo del accidente. Algunas noticias, contradictorias, alertaban en principio de peligro de fuga. Las radios y las televisiones francesas citaban la preocupación de los bomberos emplazados en el lugar del siniestro por el sesgo funesto de la explosión.
Una hora y media después, comprobados los primeros medidores, la Agencia de Seguridad Nuclear francesa confirmaba la ausencia de fuga radiactiva. El accidente, por lo tanto, carece de peligro para la población de los alrededores o el medioambiente.
EL PAIS - ESPAÑA