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8.6.11
TEXTE - MAISON "BEL-AIR"
CHAPITRE PREMIER
BEL-AIR
Jours de changement,
De découverte, de
Nouveauté, de labeur
De jeunesse et d’espoir.
La vie devant nous, ma
Sœur et moi découvrions
Notre Univers nouveau.
Vieille maison aimée
Ou de rares amis nous
Rendaient visite, parfois.
Madame Marcel, dans
Sa vieille ferme, venait
Heureusement, de temps
En temps avec son frère
Henri. Gentil garçon un
Peu simple d’esprit qui
Riait aux anges à quelque
Plaisanterie si simple fût-elle.
Mais Madame Marcel, elle
Nous choyait ma sœur et moi.
Elle nous aimait.
Et puis, il y avait "le" Marcel
(le mari de « Madame ») qui
Toujours nous racontait ses
Histoires de Saint-Quentin,
De la « Deuxième Guerre
Mondiale », et des bombardements
Indiscriminés des américains avec
Leurs « forteresses volantes », tuant
Plus de français que d’allemands. Et les
Boches ?! Ah ça, ils revenaient sans
Cesse dans sa conversation. (On en
Reparlera). Il me passionnait avec ses
Récits. Sans télévision, c’était plus
Facile, sans doute. Mais je le trouvais
Très intéressant le « Marcel » ;
On l’aimait bien… Moi, à douze ans,
Je m’émoustillais à l’entendre
Raconter ses conquêtes de
Jeunesse. Et il était sincère le
Bougre, car il avait dû être un sacré
« Bel Homme », si j’en jugeais par la
Prestance de sa cinquantaine d’années.
C’était à « Bel-Air », c’était bien, c’était
En 1963.
Andorre, 8 juin 2011.
(à suivre)
Photographie - Paris - Mai 1968
7.6.11
PONTO ABSTRACTO, MAS NEM TANTO
A ponto de dormir,
Tenho algo a apontar,
Sem conseguir.
Acordo, ponto inicial.
Preciso que o ponto
Abstracto seja tangível.
Em suma, fazer o ponto.
Apontar para lembrar
Mas como apontar, agora
Acordado. Ponto; pronto.
Divagassem ordenados,
Os pontos criariam linha.
(Talvez se sem existência
Própria, talvez não seguindo
Linha independente).
Depois outros pontos
Viriam, desordenados
E criariam outra linha.
Jamais linhas colidiriam
Por simples e mero acaso.
E afinal, seriam quê?
Mas achei, repentinamente
(E por mero acaso que so a
Mente poderia explicar,
A preocupante intriga);
não encontro bem o ponto
Que me conduziu a linhas
Paralelas. E agora estou feliz
Descobri que paralelas se
Podem encontrar.
Paralela sem acidente
Não produz felicidade…
A força do espírito deve
Leva-las a colidirem para no
Choque criarem explosão
De fraternidade.
Agora sim de novo dormindo
Ressurge a ideia parabólica:
Há paralelas que por vezes
Se encontram sem que
De excepção se trate.
Encontram-se quando a matéria
Da matéria da sua constituição
Irresistivelmente se atraem
Andorra, segunda-feira, 06-06-2011 – 04 horas
6.6.11
POESIE - PIERRE RONSARD
Mignonne, allons voir si la rose
A Cassandre
Mignonne, allons voir si la rose
Qui ce matin avoit desclose
Sa robe de pourpre au Soleil,
A point perdu ceste vesprée
Les plis de sa robe pourprée,
Et son teint au vostre pareil.
Las ! voyez comme en peu d'espace,
Mignonne, elle a dessus la place
Las ! las ses beautez laissé cheoir !
Ô vrayment marastre Nature,
Puis qu'une telle fleur ne dure
Que du matin jusques au soir !
Donc, si vous me croyez, mignonne,
Tandis que vostre âge fleuronne
En sa plus verte nouveauté,
Cueillez, cueillez vostre jeunesse :
Comme à ceste fleur la vieillesse
Fera ternir vostre beauté.
Mignonne, allons voir si la rose
Qui ce matin avoit desclose
Sa robe de pourpre au Soleil,
A point perdu ceste vesprée
Les plis de sa robe pourprée,
Et son teint au vostre pareil.
Las ! voyez comme en peu d'espace,
Mignonne, elle a dessus la place
Las ! las ses beautez laissé cheoir !
Ô vrayment marastre Nature,
Puis qu'une telle fleur ne dure
Que du matin jusques au soir !
Donc, si vous me croyez, mignonne,
Tandis que vostre âge fleuronne
En sa plus verte nouveauté,
Cueillez, cueillez vostre jeunesse :
Comme à ceste fleur la vieillesse
Fera ternir vostre beauté.
Pierre Ronsard. 1524-1585
HOMMAGE A GEORGES HARRISON. MERVEILLEUX
SHOW DE ARREPIAR!!! Proibido p/ menores de 40 anos. Segue um momento mágico, criado por pessoas especiais e uma música prá lá
de especial. Isso é uma viagem no tempo!
MY SWEET LORD
*Trata-se da interpretacão da cancão My Sweet Lord de George Harrison*
realizada por um grupo de excelentes músicos, todos amigos de George. Este
concerto foi em sua homenagem, dois anos depois de sua morte.
Na guitarra acústica Eric Clapton,
na guitarra elétrica o filho de George Harrison,
ao piano Paul McCartney,
na primera bateria Ringo Star,
na segunda bateria Phill Collins, e
na segunda guitarra elétrica Tom Petty,
ao órgão e interpretando a primeira voz o incrível Billy Preston.
Entre as vocalistas do coro esta Linda Eastman, esposa de Paul McCartney.
Também estavam presentes nesse concerto:
Bob Dylan,
Ravi Shankar,
Jethro Tull e um número enorme de amigos e colegas dos Beatles, assim como
todo grupo 'The Cream' de Eric Clapton. Todos um pouco gordos e enrugados,
mas encarnando o melhor do melhor, representativo dos anos 70.
Billy Preston chegou a ser conhecido como o quinto Beatle; foi ele que
sempre tocou o piano e o órgão em todas as gravações dos Beatles.
Maravilhoso!!!
de especial. Isso é uma viagem no tempo!
MY SWEET LORD
*Trata-se da interpretacão da cancão My Sweet Lord de George Harrison*
realizada por um grupo de excelentes músicos, todos amigos de George. Este
concerto foi em sua homenagem, dois anos depois de sua morte.
Na guitarra acústica Eric Clapton,
na guitarra elétrica o filho de George Harrison,
ao piano Paul McCartney,
na primera bateria Ringo Star,
na segunda bateria Phill Collins, e
na segunda guitarra elétrica Tom Petty,
ao órgão e interpretando a primeira voz o incrível Billy Preston.
Entre as vocalistas do coro esta Linda Eastman, esposa de Paul McCartney.
Também estavam presentes nesse concerto:
Bob Dylan,
Ravi Shankar,
Jethro Tull e um número enorme de amigos e colegas dos Beatles, assim como
todo grupo 'The Cream' de Eric Clapton. Todos um pouco gordos e enrugados,
mas encarnando o melhor do melhor, representativo dos anos 70.
Billy Preston chegou a ser conhecido como o quinto Beatle; foi ele que
sempre tocou o piano e o órgão em todas as gravações dos Beatles.
Maravilhoso!!!
Boa curtição...
TEXTO - PONTO INDECISO E FRAGIL (AO PAULO)
PONTO INDECISO E FRAGIL
A ponto de dormir,
Tenho algo a apontar,
Acordo e, ponto final.
Preciso fazer o ponto,
Apontar para lembrar
Mas como apontar uma
Vez acordado. Ponto.
Divagassem ordenados,
Pontos criariam linha.
Depois outros pontos
Viriam e descontentes,
Criariam outra linha.
Jamais linhas colidiriam
Por um mero acaso.
E afinal, seriam ponto?
Mas achei o que não encontro
Ponto a ponto, fiz o ponto
Que me conduziu a linhas
Paralelas. E agora estou feliz
Descobri que paralelas se
Podem encontrar.
Paralela sem acidente
Não produz felicidade…
As paralelas teem de colidir
Para no choque criarem
Explosão de fraternidade.
Agora sim de novo dormindo
Ressurge a ideia parabólica:
Há paralelas que por vezes
Se encontram sem que de
Excepção se trate.
Encontram-se quando a matéria
De matéria da sua constituição
Irresistivelmente se atraem
(17-05-1993/10-05-2010).
Andorra, segunda-feira, 06-06-2011 – 04 horas
5.6.11
PEINTURE - MATISSE
Parmi les premières grandes compositions de Matisse, cette toile témoigne d'une préoccupation qui parcourt toute son œuvre, la réconciliation de la tradition et de la modernité. Dans un décor de paysage qui hérite de la peinture impressionniste moderne, les trois baigneuses du Luxe I illustrent sa fidélité au genre académique du nu. L'aspect massif du corps de la femme debout et son expression figée témoignent aussi de l'intérêt du peintre pour les arts primitifs et en particulier l'art africain.
Le thème de l'œuvre, l'Age d'or, thème aussi traditionnel qui évoque l'aube de l'humanité sous le règne d'une harmonie idéale avec la nature s'inspire, comme Luxe, calme et volupté de 1904, de L'Invitation au voyage de Baudelaire. Le peintre, qui a illustré plusieurs fois au cours de sa carrière l'œuvre du poète, partage avec lui son attitude ambivalente face à la modernité.
Pour l'élaboration de cette peinture, Matisse utilise un procédé de dessin mis au point à la Renaissance : le poncif. Il s'agit d'une forme de report qui consiste en un carton fixant les formes de l'œuvre future, dont on perfore les contours pour les enduire de fusain et, ainsi, les calquer sur la toile. Les gouaches découpées de la dernière période ne sont peut-être qu'une adaptation de ce procédé du carton.
Quant à la couleur, Matisse s'éloigne ici des styles impressionniste et fauve qu'il a pratiqués auparavant, pour redécouvrir les aplats colorés de son maître Puvis de Chavannes. Partisan d'une peinture décorative, Puvis de Chavannes avait répudié les ombres, les modelés, les brillances de ses compositions, afin de revenir à la simplicité des fresques médiévales. Cette même exigence se retrouve dans Luxe I, inachevé, et plus encore dans la deuxième version aux teintes plus soutenues et plus égales que Matisse réalise l'année suivante.
Le thème de l'œuvre, l'Age d'or, thème aussi traditionnel qui évoque l'aube de l'humanité sous le règne d'une harmonie idéale avec la nature s'inspire, comme Luxe, calme et volupté de 1904, de L'Invitation au voyage de Baudelaire. Le peintre, qui a illustré plusieurs fois au cours de sa carrière l'œuvre du poète, partage avec lui son attitude ambivalente face à la modernité.
Pour l'élaboration de cette peinture, Matisse utilise un procédé de dessin mis au point à la Renaissance : le poncif. Il s'agit d'une forme de report qui consiste en un carton fixant les formes de l'œuvre future, dont on perfore les contours pour les enduire de fusain et, ainsi, les calquer sur la toile. Les gouaches découpées de la dernière période ne sont peut-être qu'une adaptation de ce procédé du carton.
Quant à la couleur, Matisse s'éloigne ici des styles impressionniste et fauve qu'il a pratiqués auparavant, pour redécouvrir les aplats colorés de son maître Puvis de Chavannes. Partisan d'une peinture décorative, Puvis de Chavannes avait répudié les ombres, les modelés, les brillances de ses compositions, afin de revenir à la simplicité des fresques médiévales. Cette même exigence se retrouve dans Luxe I, inachevé, et plus encore dans la deuxième version aux teintes plus soutenues et plus égales que Matisse réalise l'année suivante.
TEXTE - SOUVENIR
PYRAMIDE DE L'ESPOIR
Arrêtons de feindre
D’imaginer le monde joli
De croire à l’espérance
De penser à ceux qu’on aime
Quand chaque jour est souffrance
Que chaque instant qui passe nous rapproche de
Tio Vitor, Avo Ilda, Avô Zé Mira, Bob Marley, Avô João Barradas, Manel Zé, Luther King, Avo Mariana, Padrinho Chico Boazinha, Tio Armentier, “Toto” Silva, Maria Nascimento,
Tio Vitor, Manuel Silva, Joaquim Augusto, Madrinha Bia, Francisco Repilado, Louis Darnet,
Tia Margarida, Tia Zi, MÃE DINA, PAI MIRA, Tio Zé Pedro,
Primo Mario Barradas, Monteiro de Silves, todos família e (ou amigos), et j'en oublie sur le moment mais je reviendrai…
(la liste n'est ni chronologique ni exhaustive)
(la liste n'est ni chronologique ni exhaustive)
UN JOUR (OU UNE NUIT) CE SERA LA fÊTE...
4.6.11
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