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L'image du jour - 26-01-2014

Kiev : à genoux devant les forces spéciales
Kiev : à genoux devant les forces spéciales
Humilité et soumission face à la force et la brutalité des forces spéciales ukrainiennes : la pose de cette femme se veut très symbolique.

25.1.14

Pitié pour les Palestiniens

Samedi 18 janvier, de l'aide alimentaire est entrée à Yarmouk. Cela faisait six mois que les réfugiés Palestiniens qui vivent dans ce camp situé au sud de Damas, soumis à un blocus des forces pro-gouvernementales syriennes, étaient privés de nourriture. Plus de 40 personnes y seraient mortes de faim au cours des quatre derniers mois. Yarmouk abritait quelque 170 000 habitants avant le début du conflit syrien, en mars 2011. Selon l'ONU, il reste au moins 18 000. Dans l'intervalle, des dizaines de milliers ont fui après que les groupes d'opposition armés sont entrés dans le camp et que les forces gouvernementales ont lancé une attaque. Des centaines d'autres sont morts.Yarmouk, c'est "un camp sans espoir pour un peuple sans terre", écrit Robert Fisk dans The Independent. "Pitié pour les Palestiniens, ces éternels réfugiés, chassés de Palestine en 1947-48, de Jordanie en 1970-71, du Liban en 1982, du Koweit en 1991 et aujourd'hui de Syrie".

Samedi 18 janvier, de l'aide alimentaire est entrée à Yarmouk. Cela faisait six mois que les réfugiés Palestiniens qui vivent dans ce camp situé au sud de Damas, soumis à un blocus des forces pro-gouvernementales syriennes, étaient privés de nourriture. Plus de 40 personnes y seraient mortes de faim au cours des quatre derniers mois.

Yarmouk abritait quelque 170 000 habitants avant le début du conflit syrien, en mars 2011. Selon l'ONU, il reste au moins 18 000. Dans l'intervalle, des dizaines de milliers ont fui après que les groupes d'opposition armés sont entrés dans le camp et que les forces gouvernementales ont lancé une attaque. Des centaines d'autres sont morts.

Yarmouk, c'est "un camp sans espoir pour un peuple sans terre", écrit Robert Fisk dans The Independent. "Pitié pour les Palestiniens, ces éternels réfugiés, chassés de Palestine en 1947-48, de Jordanie en 1970-71, du Liban en 1982, du Koweit en 1991 et aujourd'hui de Syrie".
Dessin de Haddad paru dans Al-Hayat
COURRIER INTERNATIONAL

Des morts atroces, aux Etats-Unis aussi

L'Ohio a exécuté le 16 janvier un condamné à mort par injection létale d'un cocktail médicamenteux qui n'avait jamais été testé auparavant, soulevant des interrogations, voire des réactions indignées, sur le caractère approprié du produit utilisé. La presse locale a fait état de la souffrance manifeste du condamné : "A 10H33, Dennis McGuire a commencé à se débattre et à haleter fortement, en produisant des sons d'éternuement et de suffocation qui ont duré au moins dix minutes, le poing serré en soulevant la poitrine. Un râle long et profond sortait de sa bouche".Il s'est passé 24 minutes entre l'injection du produit et la mort de McGuire, 53 ans, condamné pour le viol et le meurtre d'une jeune femme enceinte, en 1989.

L'utilisation de ce nouveau produit fait suite aux refus des fabricants européens de fournir des produits destinés aux injections létales.
L'Ohio a exécuté le 16 janvier un condamné à mort par injection létale d'un cocktail médicamenteux qui n'avait jamais été testé auparavant, soulevant des interrogations, voire des réactions indignées, sur le caractère approprié du produit utilisé.

La presse locale a fait état de la souffrance manifeste du condamné : "A 10H33, Dennis McGuire a commencé à se débattre et à haleter fortement, en produisant des sons d'éternuement et de suffocation qui ont duré au moins dix minutes, le poing serré en soulevant la poitrine. Un râle long et profond sortait de sa bouche".

Il s'est passé 24 minutes entre l'injection du produit et la mort de McGuire, 53 ans, condamné pour le viol et le meurtre d'une jeune femme enceinte, en 1989.

L'utilisation de ce nouveau produit fait suite aux refus des fabricants européens de fournir des produits destinés aux injections létales.
Dessin de Breen
COURRIER INTERNATIONAL

Chine - Xu Zhiyong, militant de la transparence, en procès

Sur la pancarte "crime de citoyenneté"Dessin publié dans Shunpo, quotidien de Hong Kong
Le 22 janvier, s'ouvrait à Pékin le procès de Xu Zhiyong, accusé d'avoir "organisé des rassemblements sur la place publique en créant des troubles à l'ordre public". A Hong Kong et à l'étranger, la presse s'alarme de ce nouveau signe d'un raidissement des autorités chinoises face à toute contestation, fût-elle pacifique et dans le strict cadre de la légalité.
Le jugement du Tribunal intermédiaire numéro un devrait être rendu le 26 janvier, selon son avocat Zhang Qingfang cité par le quotidien hongkongais Apple Daily. Xu Zhiyong, 41 ans, avait été arrêté en juillet 2013. Il risque une peine de cinq ans d'emprisonnement.
Pour l'avocat de Xu, le procès s'est déroulé de manière inéquitable, et en signe de protestation son client et lui se sont tus pendant toute l'audience, rapporte le Ming Pao.
Dans la presse chinoise du continent, aucune information n'a été publiée au sujet de ce procès. En revanche, le quotidien pékinois Jinghua Shibao a annoncé le jour même que le comparse de longue date de Xu dans le Mouvement des citoyens, l'homme d'affaires Wang Gongquan, avait "avoué les activités illégales menées avec Xu et exprimé son remords" et avait bénéficié d'une remise en liberté pour causes médicales.
A la fin de l'audience, Xu a tenté de lire une déclaration mais a été interrompu. Le texte en a été rendu public par la suite. Xu y nie la validité de l'accusation, et rappelle les activités de ce mouvement pour soutenir les revendications des migrants, pour demander la transparence sur les avoirs des fonctionnaires et autres causes citoyennes. Il caractérise l'action de mouvement comme basé sur "la liberté, la justice et l'amour". Il dit accepter de payer le prix de l'emprisonnement pour cette cause, souligne le Los Angeles Times.
Par ce procès, les autorités chinoises font de Xu Zhiyong un symbole du Mouvement des citoyens, respecté de tous, et se créent à elles-mêmes "un ennemi puissant" a affirmé Hu Jia, militant des droits de l'homme lui-même longtemps emprisonné, au quotidien Ming Pao.
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Des manifestants exigent la libération de Xu Zhiyong (photo diffusée sur Twitter) :

Messi au PSG - Le transfert complètement fou

 
Lionel Messi au PSG ? C'est en tout cas le souhait du Paris Saint-Germain.
En effet, les Franciliens auraient entamé les démarches pour s'attacher les services de la star barcelonaise. C'est une information relayée par nos confrères de l'Equipe.
Coût de l'opération ? 250 millions d'euros, ce qui correspond au montant de la claude libératoire de la Pulga. Quant à son salaire en Catalogne, il flirte avec les 16 millions d'euros nets par an.
Le quotidien français précise que le président du PSG, Nasser Al-Khelaïfi, aurait pris langue avec l'entourage du joueur argentin. Son père et conseiller, Jorge Messi, se dit flatté par l'intérêt parisien: "C'est un honneur de savoir que le PSG peut penser à lui. Mais, je le répète, ce n'est pas un sujet sur lequel nous souhaitons développer une réflexion aujourd'hui. La seule réalité, c'est son contrat avec le Barça" précise-t-il à nos confrères hewagonaux.
Si pour l'instant l'affaire est à mille lieues d'être bouclée, l'intérêt parisien a le mérite d'exister. Wait and see comme on dit...
DH - BELGIQUE