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11.10.17

L'image du jour - 11-10-2017 - Le château de Hohenzollern

Le château de Hohenzollern, dans la municipalité de Bisingen, près de Stuttgart (Allemagne). (définition réelle 3 504 × 2 336*)
Le château de Hohenzollern, dans la municipalité de Bisingen, près de Stuttgart (Allemagne).

Football - France 2, Biélorussie, 1 -


Bleus: vers un match Giroud-Mbappé ?

L'équipe de France sera bien au rendez-vous du Mondial 2018 en juin prochain. Et à l'image de l'ensemble de sa campagne de qualification, l'épilogue du soir fut laborieux. Face à des Biélorusses sans complexes qui ont joué le jeu jusqu'au bout, la France a quand même fini par prendre son destin en main pour décrocher une victoire (2-1) qui suffit à son bonheur.

C'est donc une 6e phase finale de Coupe du monde que la France ira disputer durant l'été prochain. Une régularité louable à ce niveau quand on voit les difficultés rencontrées par des nations comme les Pays-Bas (absente des Mondiaux 2014 et 2018) ou même l'Angleterre(Euro 2008) pour se qualifier pour les grandes compétitions. Finaliste du dernier Euro, la France a toutefois attendu l'ultime rencontre de cette phase de qualifications pour valider son ticket quand dans le même temps, les favoris espagnols et allemands survolaient leurs groupes respectifs. De quoi nuancer cette qualification qui apparaît comme un moindre mal au vu du potentiel, notamment offensif, que possèdent les Bleus.

Le Point - France

Football - Portugal 2, Suisse, 0


L'amertume de Haris Seferovic devant la joie lusitanienne.

L’équipe de Suisse n’a pas pu éviter le pire des scénarios, celui qui consistait à se laisser coiffer sur le fil par le Portugal. Elle devra donc passer par le barrage de novembre afin d’assurer sa place lors de la prochaine Coupe du monde. Sur ce qu’elle a montré hier soir, ou plutôt sur ce qu’elle n’a pas réussi à développer, le verdict ne souffre aucune discussion. Même sans se montrer irrésistible, le champion d’Europe s’est révélé supérieur, aussi bien dans son expression collective que dans la valeur de ses individualités, à commencer par le magnifique Bernardo Silva. Et jusqu’à preuve du contraire, c’est souvent le talent pur de quelques-uns qui, dans les grands moments, contribue à faire les différences marquantes.

Jusqu’à la fin, jusqu’à n’en plus pouvoir, jusqu’à ce que tout s’arrête dans un silence intérieur assourdissant: l’Estadio de la Luz aura été le cimetière immédiat des espérances helvétiques. Mais cette cathédrale ne doit pas devenir le tombeau éternel des âmes suisses, fussent-elles torturées aujourd’hui. En tête du groupe B durant tous les éliminatoires, la Suisse termine donc à égalité de points avec le Portugal (10 matches, 27 points), mais au 2e rang pour une différence de but défavorable. C’est cruel, dur, mais il y a un avenir à envisager: un barrage aller-retour dans un mois.

La Tribune de Genève - Suisse