Nombre total de pages vues

18.11.12

Images du Monde - Camargue (France)

<strong>HÉRONS D'ÉTANGS MODERNES </strong>- Une danse nuptiale? Un ballet moderne? Une prise de bec? Non, c'est une banale dispute à l'heure de passer à table qui oppose ces deux hérons cendrés des étangs de Camargue sous l'oeil d'un arbitre intéressé. Objet de la querelle, un poisson leur nourriture de base que les deux belligérants pêcheurs à l'affût, ont capturé en même temps, le sortant de l'eau d'un même mouvement en le tenant l'un par la tête, l'autre par la queue. Une scène de la vie quotidienne et ordinaire chez les hérons cendrés -l'une des 62 variétés recensées dans le monde entier dont 9 en Europe qui avaient d'ailleurs totalement disparu de Camargue au XIXe siècle et n'ont été réintroduits, avec succès, qu'en 1964.
HÉRONS D'ÉTANGS MODERNES - Une danse nuptiale? Un ballet moderne? Une prise de bec? Non, c'est une banale dispute à l'heure de passer à table qui oppose ces deux hérons cendrés des étangs de Camargue sous l'oeil d'un arbitre intéressé. Objet de la querelle, un poisson leur nourriture de base que les deux belligérants pêcheurs à l'affût, ont capturé en même temps, le sortant de l'eau d'un même mouvement en le tenant l'un par la tête, l'autre par la queue. Une scène de la vie quotidienne et ordinaire chez les hérons cendrés -l'une des 62 variétés recensées dans le monde entier dont 9 en Europe qui avaient d'ailleurs totalement disparu de Camargue au XIXe siècle et n'ont été réintroduits, avec succès, qu'en 1964. Crédits photo : CATERS NEWS AGENCY/SIPA/CATERS NEWS AGENCY/SIPA

Images du Monde - Pakistan

<strong>CHARGES ET DÉCHARGES -</strong> Derrière cette image proche d'une oeuvre d'art, un véritable fléau. La pollution reste aujourd'hui l'une des plus grandes plaies environnementales - mais aussi sanitaires - du Pakistan. Car c'est un étrange et terrible ballet qui se joue dans ces décharges publiques, comme dans celle-ci de la banlieue de Rawalpindi. D'un côté, toute une population vient se débarrasser de ses détritus, alors qu'une autre se précipite aussitôt pour trier et récupérer les moindres éléments réutilisables de ces ordures avant de les charger sur une charrette tirée par un âne…et de les recycler! Les charognards, à l'arrière-plan, pourront alors remplir leur office...
CHARGES ET DÉCHARGES - Derrière cette image proche d'une oeuvre d'art, un véritable fléau. La pollution reste aujourd'hui l'une des plus grandes plaies environnementales - mais aussi sanitaires - du Pakistan. Car c'est un étrange et terrible ballet qui se joue dans ces décharges publiques, comme dans celle-ci de la banlieue de Rawalpindi. D'un côté, toute une population vient se débarrasser de ses détritus, alors qu'une autre se précipite aussitôt pour trier et récupérer les moindres éléments réutilisables de ces ordures avant de les charger sur une charrette tirée par un âne…et de les recycler! Les charognards, à l'arrière-plan, pourront alors remplir leur office... Crédits photo : KAMA AHMAD/CHINE NOUVELLE/SIPA/KAMA AHMAD/CHINE NOUVELLE/SIPA

Images du Monde - Californie

<strong>FORT, FORÊT, FOREVER -</strong> Ces deux botanistes occupés à prélever un échantillon ressemblent tout à fait à des alpinistes accrochés à une paroi. Il est vrai que le séquoia géant auquel ils s'attaquent ici, dans le Parc national de Redwood, en Californie, n'est rien de moins que l'Everest des forêts de la planète. Il peut ainsi atteindre plus de 120mètres (celui-cien fait 106), soit la hauteur d'un immeuble de 30 étages, pour plus de 10 mètres de diamètre. Mais le plus impressionnant chez ce géant des forêts reste sa longévité.La dendrochronologie, qui permet une datation précise en analysant la morphologie des anneaux de croissance des arbres, a permisde donner à l'un d'entre eux l'âge canonique de 3500 ans!
FORT, FORÊT, FOREVER - Ces deux botanistes occupés à prélever un échantillon ressemblent tout à fait à des alpinistes accrochés à une paroi. Il est vrai que le séquoia géant auquel ils s'attaquent ici, dans le Parc national de Redwood, en Californie, n'est rien de moins que l'Everest des forêts de la planète. Il peut ainsi atteindre plus de 120mètres (celui-ci fait 106), soit la hauteur d'un immeuble de 30 étages, pour plus de 10 mètres de diamètre. Mais le plus impressionnant chez ce géant des forêts reste sa longévité.La dendrochronologie, qui permet une datation précise en analysant la morphologie des anneaux de croissance des arbres, a permisde donner à l'un d'entre eux l'âge canonique de 3500 ans! Crédits photo : Michael Nichols

Photos étonnantes - Concurrence?

Ces photos prises au parfait moment

Les plus belles bibliothèques du Monde - Abbaye d'Almont (Autriche)

Bibliothèque de l'Abbaye d'Almont (Autriche)
Bibliothèque de l'Abbaye d'Almont (Autriche)
Cette abbaye absolument somptueuse située en plein coeur des Alpes autrichiennes accueille la plus grande bibliothèque monastique au monde. Pourtant, avec son style rococo, elle n'a absolument rien de monacale! Rénovée en 2006, elle a été rouverte au public en 2008, pour le plus grand plaisir de l'abbé Bruno Hubl (photo).
Crédit photo : REUTERS

16.11.12

Sarkomania : Nicolas reviens ! Les Français ont déjà tout oublié...

L'ancien président n'a jamais suscité autant de ferveur que depuis son échec. "Le retraité le plus actif de France" reçoit dans ses salons et savoure les mésaventures de son successeur, en attendant de sortir de sa tannière.


Les trousses "Nicolas, revient!" confectionnées par l'épouse de l'ancien ministre, Luc Ferry.
Les trousses "Nicolas, revient!" confectionnées
par l'épouse de l'ancien ministre, Luc Ferry.

COURRIER INTERNATIONAL

Italie: La statue de Zidane : une erreur monumentale!

Les Italiens n'apprécient guère la statue qui se dresse devant le Centre Pompidou, à Paris, représentant le fameux "coup de boule" de Zidane à l'Italien Materazzi en finale de la Coupe du monde 2006. Une œuvre irrespectueuse et vide de sens, selon l'éditorialiste Gabriele Romagnoli.
Comme nous tous, les Français font parfois tout pour être à la hauteur de leur plus mauvaise réputation. Je ne cherche pas à justifier, mais à expliquer la présence, sur le parvis du centre Pompidou, d’une statue géante représentant Zinédine Zidane donnant un coup de tête à Marco Materazzi. Coup de tête, c’est justement le nom de l’œuvre.

Il s’agit en vérité d’un coup de boule collectif. Face à toutes ces petites choses absurdes, ce qui frappe le plus est la chaîne de complices impliqués. Autrement dit : combien de têtes ont trouvé raisonnable de faire ce qui ne l’est pas. Et la réponse, plus désolante que surprenante, est : beaucoup.

Photo-souvenir

Tout commence par ce sculpteur algérien [Adel Abdessemed] qui cherche à reproduire le geste peu glorieux du footballeur. Il aurait pu garder la statue dans son jardin. Mais arrive celui qui, investi d’une quelconque responsabilité administrative, lui passe commande pour une exposition publique. J’imagine un comité d’experts qui en évalue l’intérêt et qui, à la majorité (une voix par tête de pipe), l’approuve. Et voilà qu’ils exposent l’œuvre non pas en banlieue, mais bien là, juste devant ce temple du modernisme dessiné, tiens donc, par l'architecte italien Renzo Piano. Et puis il y a les touristes, qui défilent devant ce chef-d’œuvre (notez la souffrance sur le visage de Materazzi) et posent devant. Décale un peu ta tête : clic !
La statue du &quot;coup de boule&quot; de Zinedine Zidane sur le joueur italien Marco Materazzi devant le Centre Pompidou.
La statue du "coup de boule" de Zinedine Zidane sur le joueur
 italien Marco Materazzi devant le Centre Pompidou.

Lire la suite sur http://www.courrierinternational.com/article/2012/09/28/la-statue-de-zidane-une-erreur-monumentale

L'image du jour 16-11-2012



La trêve temporaire brisée par des tirs Palestiniens et Israeliens

15.11.12

Images du Monde - Lisbonne

A deux doigts de s’énerver  - jeudi 15 novembre - ParisMatch.com

A deux doigts de s’énerver...Un manifestant portugais fait des doigts d’honneur aux policiers qui se trouvent devant le Parlement à Lisbonne. Les habitants du pays, tout comme les Espagnols, ont décidé de faire grève contre la hausse des taxes et les coupes budgétaires. Photo REUTERS/Rafael Marchante

L'image du jour 15-11-2012

Des oiseaux et des roquettes dans le ciel de Gaza

Des oiseaux et des roquettes dans le ciel de Gaza
Des oiseaux s’envolent alors qu’on voit dans le ciel une trace de fumée après le tir d’une roquette depuis la bande de Gaza vers Israël. REUTERS/Ahmed Zakot

14.11.12

Portugal: La grève générale ne suffit pas

Manifestation au Portugal contre l'austérité le 4 octobre 2012.

Les jours sans pétition sont rares. Tout comme les semaines sans manifestation. Tout cela pour des causes justes, urgentes et nécessaires, pour défendre des droits, la liberté, la dignité, l'avenir. Les pétitions ne coûtent rien, il suffit de signer. Pour une manifestation, c'est plus compliqué, il faut s'organiser le jour J, savoir où c'est, par où elle passe, quels transports emprunter, etc.
Aujourd'hui, tous les jours sont des jours de lutte, mais cette lutte atomisée en manifestations, pétitions, débats, réunions, articles, photos, notes de blog et commentaires sur les réseaux sociaux n'a pas un sens défini. Nombre de ceux qui contestent l'austérité quand elle touche leur portefeuille sont d'accord pour dire que nous dépensons au-delà de nos possibilités et qu'il faut payer. Si l'on continue la discussion, ils vont même jusqu'à défendre l'idée que l'Etat coupe dans les dépenses sociales des autres.
La plus grande victoire du néolibéralisme, c'est cela : les attaques que les pauvres se font les uns aux autres. La plus grande attaque contre l'Etat social, c'est ce que l'on entend dire dans les discussions des citoyens lambda, qui critiquent ceux qui bénéficient de l'aide de l'Etat parce que cela oblige le gouvernement à augmenter les impôts. Qui critiquent les grévistes des transports parce qu'ils pénalisent ceux qui veulent aller travailler et ne le peuvent pas. Qui critiquent la classe moyenne qui se rend dans les hôpitaux publics et dépense donc des ressources de l'Etat alors qu'elle a les moyens d'aller dans les cliniques privées.
Une indignation qui se trompe de cible
L'une des choses les plus tristes de cette crise, c'est d'être bombardé de courriels qui dénoncent les prétendus privilèges et les gros salaires. Dans certains cas, plutôt rares, l'indignation est légitime. Il existe des dépenses excessives, somptuaires, là où devrait préavoir la frugalité dans l'utilisation des deniers publics. Mais, dans de nombreux cas, l'indignation non seulement est un non-sens, mais encore elle est orientée pour dévier l'attention des privilièges dont profite le capital.
Pendant que quelques centaines de naïfs s'indignent des salaires de certaines stars de la télé, ils ne disent rien des intérêts facturés au Portugal au titre de l'"aide extérieure", du scandale BPN [banque privée portugaise au bord de la faillite, nationalisée en 2008, puis renflouée à hauteur de 5,1 milliards d'euros par l'Etat, avant d'être cédée cet été pour 40 millions à une banque angolaise] et des partenariats public-privé [censés alléger la dette publique, ces partenariats provoquent au contraire une détérioration des comptes publics], ainsi que des avantages scandaleusement accordés aux banques, des exemptions fiscales des grandes entreprises, de l'évasion fiscale légale de ces mêmes entreprises qui délocalisent leur siège social, de l'envoi d'argent dans les paradis fiscaux ou encore de l'absence d'impôt sur les revenus du capital.
La responsabilité des médias
La plus grande victoire du néolibéralisme, c'est cela, c'est ce discours, une victoire obtenue à coups de propagande répétée sans relâche, avec la complicité (souvent involontaire) des médias. C'est pour cette raison que l'on continue à entendre Vítor Gaspar [le ministre des Finances] dans les journaux télévisés, répétant ses idées fantaisistes. Un jour, lui ou une autre marionnette du gouvernement viendra nous dire que la Terre est plate, et les médias, donnant des gages d'équilibre et de neutralité, diront : "Ce n'est pas, néanmoins, l'avis du géographe Untel, qui soutient, de son côté, que..."
La responsabilité des médias dans la diffusion de ce discours est centrale. C'est pour cela que nous voyons, à travers des mouvements civiques comme le Manifeste contre la Privatisation de la RTP [la Radio et télévision du Portugal est l'entreprise chargée de l'audiovisuel public] ou l'Initiative pour un audit citoyen de la dette publique, la nécessité de produire et de mettre à disposition une information que les médias devraient produire, filtrer, valider et diffuser, mais qu'ils ne produisent pas, ne filtrent pas, ne valident pas et ne diffusent pas. Les mouvements sociaux sont en train de tenter de faire un travail qui devrait être celui des médias, mais ces derniers ne l'ont pas encore compris, soucieux qu'ils sont de mettre le micro le plus près possible des lèvres de Vítor Gaspar.
COURRIER INTERNATIONAL

L'image du jour 14-11-2012

Dans la lune

Dans la lune
Un avion de ligne à Bogota. REUTERS/Felipe Caicedo