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17.3.12

Dossier rugby: voici comment le XV de France a été volé en finale de coupe du monde!

L'arbitre sud-africain Craig Joubert lors de la finale de la Coupe du monde entre la France et la Nouvelle-Zélande, le 23 octobre 2011.
RUGBY - Contre les Gallois, les Bleus sont arbitrés par celui qui leur a peut-être couté une Coupe du monde...
Coucou le revoilà! Lui c’est Craig Joubert, arbitre sud-africain de 33 ans, «le meilleur du monde», selon Marc Lièvremont. Formulé deux jours avant la dernière finale de la Coupe du monde, le jugement a pris un peu de plomb dans l’aile depuis. La faute à ce Nouvelle-Zélande – France ( 8-7) où Joubert a fermé les yeux sur quelques incartades avec le règlement de la part des All-Blacks. Accusé même par la presse anglo-saxonne d’avoir spolié les Français de leur premier titre mondial, Craig Joubert va recroiser la route des Bleus samedi pour leur dernier match du Tournoi des VI Nations contre les Gallois.
L’aigreur et le sentiment de révolte de l’après finale («On était à seize contre quinze», accusait à chaud Dimitri Szrazewski), a laissé place à une douce ironie. «C’est le meilleur arbitre du monde… Mais ce n’est pas moi qui vote», blague le deuxième-ligne Julien Pierre. Même le toujours très franc du collier Pascal Papé tente de jouer l’apaisement. «C’est le passé et il faut se tourner vers l’avenir», assure-t-il. Sauf que le naturel revient très vite au galop et le Parisien charge la tête la première. «Il ne se souvient pas de moi, mais moi je me souviens de lui! J’espère qu’il passera à autre chose aussi, qu’il sera impartial. Je ne me fais pas de souci, c’est le meilleur.»
Une vidéo accablante
L’éclat de rire qui suit en dit long sur ce que pensent au fond d’eux les malheureux finalistes. «Joël Jutge (le Monsieur arbitrage du XV de France) nous a encore dit cette semaine qu’il était le meilleur arbitre du monde, raconte le troisième ligne Imanol Harinordoquy. Nous, ce n’est peut-être pas ce que l’on pense...»
A l’image de Julien Pierre, les Français n’ont pas pris la peine de revoir cette maudite finale du 23 octobre dernier pour comprendre où Graig Joubert a pu se montrer conciliant avec les Néo-Zélandais. «Je ne sais pas s’il nous a oublié des pénalités. Je n’ai toujours pas revu la finale. J’ai le DVD mais je le regarderai plus tard, pour mes vieux jours.» Pour gagner du temps, le Clermontois peut aussi visionner ce montage de 25 minutes appelé «Autopsie d’une finale» où on peut voir les 17 fautes des Blacks que Joubert aurait omis de siffler. La bonne nouvelle pour les Bleus, c’est que Richie McCaw ne joue pas pour le pays de Galles.

A.P.     

Image - "Je vous envoie un bouquet"


"Je vous envoie un bouquet"
JMIRA

16.3.12

Petit Sarko se lâche encore: il insulte un journaliste ! (vidéo)

Sarkozy insulte un journaliste ! (vidéo)

Encore plus fort que le « Casse-toi pauv'con », l'omniprésident revient dans un second volet de son panel d’insultes.

Le petit Nicolas en déplacement dans la Marne a encore fait le buzz. Lorsqu’un jeune journaliste l’interroge sur les sur les heurts survenus lors de la manifestation de salariés d’Arcelor Mittal à Paris et l’utilisation de gaz lacrymogènes, Nicolas Sarkozy éclate et fustige son interlocuteur : "Qu'est-ce que vous voulez que j'en aie à foutre de ce que vous me dites ? Qu'est-ce que vous voulez que je vous dise ?", balance l'hyper premier ministre français, avant de conclure : "Eh, couillon, va!"
Le candidat s'est immédiatement excusé de son attitude en posant sa main sur le journaliste en demandant "Pardon" et en concluant "Il est sympa, il est jeune."

Sarkozy traite un journaliste de "couillon" par LeNouvelObservateur

L'image du jour 16-03-2012

Xu Tiancheng : l'homme qui faisait le poirier sur un clou
Xu Tiancheng : l'homme qui faisait le poirier sur un clou
A 56 ans, Xu Tiancheng pratique une gymnastique traditionnelle chinoise appellée le “Qi Gong” qui lui permet de réaliser des prouesses comme faire le poirier sur un clou. REUTERS/Stringer

14.3.12

L'image du jour 13-03-2012


Embrassades diplomatiques


Embrassades diplomatiques...

Ligue des Champions: l'OM en quarts de finale in extremis

Ligue des Champions: l'OM en quarts de finale in extremis
Grâce au but de Brandao dans le temps additionnel, l'Olympique de Marseille passe le cap des huitièmes de finale malgré sa défaite contre l'Inter Milan (2-1), au bénéfice du match aller (1-0).
Il est le héros de Marseille et il s'appelle Brandao. Personne il y a un an n'aurait pu prédire que le Brésilien, mis en examen pour viol, qualifierait l'OM pour les quarts de finale de Ligue des Champions. Grâce son but dans le temps additionnel, alors qu'il venait juste d'entrer en jeu, l'OM, malgré sa défaite 2-1 sur le terrain de l'Inter Milan, a passé le cap des huitièmes de finale à l'issue d'un match au final haletant. Grâce à une très grande performance de son gardien et capitaine Steve Mandanda, exclu en toute fin de match, Marseille, seul représentant français au tour suivant, figure parmi les huit meilleurs équipes européennes pour la première fois depuis 1993, année de son sacre européen.
Entre deux équipes pas au mieux en championnat, les débats promettaient d'être enlevés. Si Claudio Ranieri avait choisi d'aligner en attaque Diego Forlan préféré à Giampolo Pazzini pour accompagner Diego Milito, Didier Deschamps alignait lui aussi une équipe dont l'orientation offensive pouvait surprendre. Au retour de Loïc Rémy s'ajoutait celui d'André Ayew, unique buteur à l'aller (1-0), soutenu par Mathieu Valbuena et le néo-international Morgan Amalfitano, un temps incertain en raison d'une entorse de la cheville.
Mandanda d'abord solide
Après un premier tir de Valbuena dès la 2e minute, c'est l'Inter qui allait vite rappeler que le champion d'Europe 2010 n'avait pas tout perdu de son tranchant. Et sans un immense Mandanda, les joueurs de Ranieri auraient pu refaire leur retard en à peine un quart d'heure. D'abord à la suite d'un débordement côté droit de l'Argentin Zanetti qui centrait en retrait pour Sneijder lequel reprenait à bout portant. Mais la balle, légèrement déviée par Diawara, était repoussée magistralement par Mandanda (8e).
A peine le temps de souffler que la vague "nerazzurri" déferlait de nouveau. Cette fois le centre était servi par Sneijder à destination de Milito. Mais l'avant centre, un peu en avance, ne pouvait reprendre que de la poitrine et non de la tête. Alors que tout le stade voyait la balle au fond des filets, le capitaine marseillais, sur sa ligne, sortait encore une parade incroyable et détournait le ballon sur sa ligne (11e). L'Inter attaquait le second acte avec de bonnes intentions mais sans véritablement mettre en danger l'OM.
Marseille invaincu à San Siro
Désormais dans l'obligation de marquer, Ranieri n'avait pas le choix. Il procédait dès la 57e minute à deux changements: Sneijder, apparemment blessé et qui avait demandé lui-même à sortir, cédait sa place tout comme Forlan qui hérirait d'une bordée de sifflets. Le Nigérian Obi entrait, accompagné de l'attaquant Pazzini, dans l'espoir de mettre d'avantage sous pression la défense française. Puis à la 73e, l'Argentin Cambiasso remplaçait Poli. Mais le temps passait et même en subissant le jeu, l'OM tenait son exploit. Diarra, à la réception d'un coup franc de Valbuena était même à deux doigts de tromper Julio Cesar qui devait se coucher pour détourner (71e).
Marseille, qui en trois matches à San Siro ne s'était jamais incliné (deux nuls face au Milan AC et une victoire contre l'Inter Milan) n'avait plus que 15 minutes à tenir quand l'Inter parvint enfin à ses fins. Après une premier tir de Pazzini repoussé par Morel, Milito reprenait et trompait Mandanda de près (1-0, 75e) pour remettre les deux équipes à parité sur l'ensemble des deux matches.
Les dix dernières minutes ressemblaient à un sauve qui peut pour l'OM. Mais Brandao, entré juste avant, profitait d'une erreur de défense pour tromper Julio Cesar (1-0, 90e+2) et envoyer l'OM en quarts de finale. Sur l'action suivante, Mandanda, était exclu pour une faute sur Pazzini, qui offrait un penalty à l'Inter, transformé par Pazzini (2-1, 90e+6). Mais il était trop tard pour l'Inter et l'OM tenait son exploit.

8.3.12

L'image du jour 07-03-2012

Les étudiants indiens fêtent Holi à Kolkata
Les étudiants indiens fêtent Holi à Kolkata
Les étudiants de l’Université de Rabindra Bharati en Inde (Kolkata) se préparent pour Holi, le festival des Couleurs. Cette fête traditionnelle sera célébrée dans tout le pays le 8 mars.
REUTERS/Rupak De Chowdhur

Dessin - Trois secondes après le déluge


"Trois secondes après le déluge"


14.2.12

Cristiano Ronaldo: mais 3!



El portugués anotó tres tantos ante el Levante, en un partido que finalizó 4-2.
Madrid.- El Real Madrid se impuso este domingo al Levante por 4-2, con tres tantos del portugués Cristiano Ronaldo, en la 23ª jornada de la liga española, en una victoria que acerca al equipo blanco al título de campeón, al elevar a diez puntos su ventaja sobre el Barcelona.
El equipo de José Mourinho tuvo que dar la vuelta al marcador, ya que el Levante se puso en ventaja con un tanto del argentino Gustavo Cabral en el minuto 4.
Pero Cristiano Ronaldo empató poco antes del descanso (44) de penal, tras una mano dentro del área de Vicente Iborra que le significó la expulsión.
Con un hombre más, el Real Madrid fue muy superior en la segunda mitad, y Cristiano Ronaldo puso el 2-1 en el minuto 49 al rematar de cabeza desde cerca un centro desde la derecha del argentino Gonzalo Higuaín, reseñó AFP.
El portugués logró el tercero en el 56 en una jugada personal en que vio adelantado al portero uruguayo Gustavo Munúa y lanzó un disparo desde fuera del área, que significó su 27º tanto esta temporada, con lo que lidera la tabla de goleadores, con cuatro más que el argentino Leo Messi (FC Barcelona).
Con el partido decidido, el Levante acortó distancias por medio del marfileño Arouna Koné (62), mientras que el francés Karim Benzema puso el 4-2 definitivo para el Real Madrid.
De este modo, el equipo blanco eleva su ventaja a diez puntos sobre el Barcelona, que naufragó el sábado en Pamplona, donde Osasuna (8º) sorprendió al equipo catalán por 3-2, con un doblete del serbio del equipo navarro, Dejan Lekic.