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5.11.11

Des dizaines de milliers de manifestants contre Berlusconi à Rome


Une manifestation très colorée

Plusieurs dizaines de milliers de manifestants sont descendus dans les rues du centre de Rome à l'appel de l'opposition, pour réclamer le départ du président du conseil Silvio Berlusconi.

Le chef du Parti démocrate (PD; gauche) Pierluigi Bersani a lancé à la foule que son parti était prêt à travailler avec les autres partis d'opposition pour former un nouveau gouvernement.

La crise de la dette souveraine a encore affaibli Silvio Berlusconi, alors que les querelles au sein de sa coalition ont empêché l'Italie de prendre des mesures claires pour rassurer les marchés. Le pays, qui a vu ses coûts d'emprunt grimper depuis l'été, affiche la deuxième plus lourde dette de la zone euro après la Grèce, avec 1900 milliards d'euros (2318 milliards de francs), soit 120% de son produit intérieur brut (PIB).

Considérée comme l'un des pays les plus exposés à une propagation de la crise de la dette, l'Italie est aujourd'hui très surveillée. Lors du G-20 à Cannes, le président de la Commission européenne José Manuel Barroso a annoncé que Rome avait demandé au Fonds monétaire international (FMI) de l'aider à surveiller ses réformes économiques et fiscales.
Le Matin - Suisse

L'image du jour 05-11-2011

Ioulia Timochenko à la fenêtre de sa cellule

Ioulia Timochenko à la fenêtre de sa cellule
L’ancien Premier ministre ukrainien, Ioulia Timochenko, est apparue à travers les barreaux de sa cellule de prison le vendredi 4 novembre 2011. Elle a exhorté l’Union Européenne à poursuivre les négociations prévues pour un accord d’association avec l’Ukraine, indépendamment de son sort. REUTERS/Inna Sokolovska

Now, it's time to say goodbye

PIN-UPS-EMILY WARREN-1-

CIAO, CIAO, CIAO...

4.11.11

La marine israélienne arraisonne la flottille pour Gaza



Image de la mini-flottille fournie par la marine israélienne. © reuters
La marine israélienne a arraisonné vendredi après-midi deux bateaux pro-palestiniens, un irlandais et un canadien, qui tentaient de briser le blocus israélien de la bande de Gaza, selon un communiqué de l'armée.

Une source sécuritaire israélienne a précisé que l'abordage n'avait pas fait de blessé.

"Il y a peu, des commandos de marine israéliens ont abordé les bateaux qui étaient en route pour la bande de Gaza et tentaient de forcer le blocus de sécurité maritime mis en place conformément au droit international", a affirmé le communiqué militaire.

"L'opération s'est déroulée comme prévu et les commandos de marine ont pris toutes les précautions nécessaires pour assurer la sécurité des militants à bord des navires autant que la leur".

Les deux navires, le Saoirse ("Liberté" en gaélique) et le Tahrir ("Libération" en arabe), qui transportent 27 personnes au total et 30.000 dollars de médicaments, vont être acheminés vers le port israélien d'Ashdod, au sud de Tel-Aviv, selon la procédure déjà testée avec les précédentes flottilles internationales à destination de Gaza.

Les militants pro-palestiniens seront ensuite expulsés d'Israël vers leurs pays respectifs. (belga)
Le port de Gaza. © afp
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
7S7  - Belgique

Obama describió a Cristina como una "gran amiga" y destacó los "lazos comunes" entre EE.UU. y la Argentina

Entre sonrisas, fuertes elogios y en un clima de distensión, Cristina Kirchner y Barack Obama ratificaron la importancia del vínculo bilateral entre la Argentina y los Estados Unidos y destacaron los "lazos comunes" entre ambos países. El presidente estadounidense se refirió a la jefa del Estado como una "gran amiga" y ambos se saludaron como "dos amigos personales".
Fue en una declaración pública que compartieron en Cannes después de estar reunidos durante casi una hora.
"No podemos soslayar el liderazgo político y económico de Estados Unidos en el mundo", planteó Cristina Kirchner después de agradecerle a Obama por el encuentro.
"Esta reunion es muy importante para nosotros. Quiero agradecerle sus palabras", devolvió la Presidenta. Segundos antes, el estadounidense había descripto el cónclave como "un honor". También había vuelto a felicitarla por su reelección.
Cristina Kirchner se reunió con Obama en el marco de la cumbre del G-20. Foto: Reuters
Enseguida, la Presidenta aludió a la reunión del G-20. "Ha sido muy satisfactoria. Hemos podido abordar los problemas con sinceridad, sencillez y efectividad. Para nosotros es muy importante estar acá", afirmó.
Destacó también las inversiones de EE.UU. en la Argentina. "No puedo dejar de señalar que Estados Unidos es el segundo inversor extranjero más importante en nuestro país, con más de 500 empresas radicadas", dijo. No perdió la oportunidad de destacar que "el crecimiento de la Argentina ha impactado en la balanza comercial de Estados Unidos".
El encuentro entre los presidentes se realizó en el hotel Carlton, frente al Mediterráneo, donde se hospeda Obama.
Más allá de los halagos cruzados en público, no trascendieron detalles de los temas discutidos puertas adentro. Se descuenta que los presidentes repasaron la agenda bilateral, dominada por temas económicos.
La relación con Washington está desde hace meses marcada por variables económicas. Al tope de la lista figuran los incumplimientos financieros de la Argentina respecto de las sentencias del Centro Internacional de Arreglo de Diferencias Relativas a Inversiones (Ciadi).
La Argentina se resiste a pagar unos 250 millones de dólares a dos empresas norteamericanas que obtuvieron fallos favorables. Lo que derivó en una represalia de la Casa Blanca de votar en contra del otorgamiento de créditos internacionales para el país.
También está pendiente la deuda de 8900 millones de dólares que la Argentina mantiene con el Club de París desde el default de 2001 y cuyo pago el Gobierno podría volver a anunciar en los próximos días.
La Nacion - Argentina