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21.4.14

L'image du jour 21-04-2014

Caracas secouée par les manifestations de Pâques


Caracas secouée par les manifestations de Pâques
Des jeunes cagoulés ont enflammé la capitale vénézuélienne ce dimanche, se battant avec les forces de l’ordre, brûlant des effigies du Président Nicolas Maduro, et demandant la “résurrection” de la démocratie au Venezuela.
Les protestations anti-Maduro ont commencé début février, mais leur mobilisation est moins importante ces dernières semaines.

20.4.14

Les maîtres de la photo - Robert Doisneau - "Quai du port" - 1945

L'image du jour 20-04-2014



Philippines : le chemin de Croix du pénitent

Philippines : le chemin de Croix du pénitent

Le pénitent Danilo Ramos grimace de douleur alors qu’on le cloue sur la croix dans une reconstitution de la passion du Christ aux Philippines, pays ou le catholicisme est la religion prédominante. Reuters/Erik De Castro

19.4.14

Quebec: Lente baisse du niveau des rivières

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Le niveau des rivières du Québec devrait rester stable ou baisser très légèrement samedi, alors que de nombreux résidents entament les travaux de nettoyage après les inondations.
Selon leurs données, la majorité des cours d’eau donne des indices de légère décrue. La firme Hydro Météo estime toutefois que les niveaux descendront «lentement». Les alertes d’inondation pour les rivières Richelieu et Rouge, ainsi que le lac des Deux-Montagnes, sont maintenues.
Les précipitations tombées dans la nuit de vendredi à samedi auraient eu peu d’impact sur le niveau des rivières
Des inondations pourraient aussi survenir sur les rivières Picanoc, Petite Nation et Matawin, en raison de débâcles qui pourraient créer des amoncellements de glace.
En Beauce, une des premières régions affectées par les inondations printanières, plusieurs riverains de la rivière Chaudière ont commencé le ménage de leur résidence.
Comme leur demeure est située en zone inondable, la plupart des propriétaires ne seront pas indemnisés par leurs assurances.
Le Journal de Quebec

Contre les tsunamis, des centrales qui flottent

Prototype d'une centrale off-shore. Jake Jurewicz/MIT-NSE

PANNE. Le 11 mars 2011, le séisme au Japon et le tsunami qui a suivi ont causé l'arrêt de l'alimentation électrique de la centrale nucléaire de Fukushima. Sans électricité, les systèmes de refroidissement n'ont pu assurer leur fonction et les cœurs de trois des réacteurs de la centrale sont entrés en fusion partielle, provoquant la catastrophe que l'on sait. Des ingénieurs du MIT (Massachusetts Institute of Technology) ont présenté un nouveau concept de centrales atomiques qui pourrait permettre d'éviter de telles conséquences à l'avenir.

Comme les plateformes pétrolières

Ce nouveau design a été présenté lors d'un séminaire organisé par l'American Society of Mechanical Engineers. Il est fondé sur les installation pétrolifères offshore qui permettent l'exploitation des gisements de gaz naturel et de pétrole en pleine mer. Dans leur présentation, les ingénieurs expliquent que même en cas de panne électrique totale le refroidissement des réacteurs serait assuré par l'eau de mer environnante évitant ainsi toute fusion des barres de combustible. Dans les plans présentés, l'enceinte de confinement qui contient le cœur d'un réacteur est en grande partie immergée et profite ainsi du potentiel d'absorption thermique de l'océan.
TSUNAMI. Autre avantage : en pleine mer, les tsunamis sont beaucoup moins violents. La vague acquiert en effet sa puissance destructrice au contact des rivages terrestres. Les centrales offshore, qui seraient installées à entre 8 et 10 kilomètres des côtes, seraient à l'abri de ce type d'évènement. Côté fonctionnement, il n'y a pas de différences majeures avec les centrales actuelles, si ce n'est qu'en pleine mer les conditions de sécurité doivent être encore plus drastiques, ce qui est le cas sur les plateformes pétrolières.

Il s'agit d'une "proposition très intéressante et prometteuse", commente Toru Obara, professeur au Laboratoire de recherche pour les réacteurs nucléaires à l'Institut de Technologie de Tokyo qui n'a pas participé à cette recherche. "Je pense que cela est techniquement faisable. Bien sûr, d'autres études sont nécessaires mais les auteurs ont des réponses à chaque question et ces réponses sont réalistes".
SCIENCES & AVENIR - FRANCE