On entre dans la Soule par sa capitale : Mauléon-Licharre. Mauléon n’est pas qu’un chef-lieu administratif, c’est une réelle capitale économique, celle de l’espadrille. Une tradition basque bien ancrée dans le pays et le cœur de ses habitants. Le Saison, sa rivière divise le village en deux. Vous aurez donc l’occasion de visiter d’un côté la bastide fortifiée et sur l’autre rive le vieux bourg médiéval. Pour continuer le fil de l’histoire, le château Renaissance d’Andurain de Maytie vous accueille.
Françoise Hardy s'émancipe grâce au photographe Jean-Marie Périer, qui devient son pygmalion. En 1963, ses premiers pas à l'Olympia, en première partie de Richard Anthony sont couronnés de succès.
Elle participe à l'Eurovision (pour le Luxembourg) avec le titre « L'amour s'en va ».Ce qui plait chez elle, c'est la distance qu'elle met avec son personnage de chanteuse populaire. Très appréciée en dehors de nos frontières (son album « In English » est très bien accueilli en Angleterre et en Amérique), elle côtoie toutes les pops stars de l'époque et s'illustre dans quelques films.
En 1967, elle tombe amoureuse de Jacques Dutronc , sans doute une des liaisons les plus durables du show business. Son album « Ma jeunesse fout l'camp » sonne presque comme un aveu pour la chanteuse qui devient vite esclave de son travail, entre enregistrement et tournée.
Les années 70 vont lui offrir une alternative. Sa nature introvertie reprend le dessus. « La Question », extrait d'un album confidentiel, dévoile une autre facette de l'artiste, toute en faille et tendresse, aspect de sa personnalité qu'elle revendique plus aisément. Par ailleurs, l'astrologie, à laquelle la jeune femme s'intéresse depuis son adolescence, prend une large place dans sa vie.
Françoise Madeleine Hardy est née le 17 janvier 1944 à Paris. Adolescente introvertie dans une structure familiale évanescente, la chanson est pour elle une véritable échappatoire, voire même une thérapie. Le monde de l'opérette la fascine, elle chante pour elle-même des airs qui lui donnent du courage.
Des débuts orchestrés chez Mireille
La guitare, l'un des rares cadeaux que lui fera son père, lui permet de se lancer dans l'aventure. Françoise Hardy compose des mélodies et entre au petit conservatoire de la chanson dirigé d'une main de maître par la redoutable Mireille qui, dans un premier temps, ne pense faire qu'une bouchée de cette jeune étudiante un peu gauche.
Pourtant la ferveur de l'adolescente paye puisqu'elle parvient à décrocher un contrat avec une maison de disque. « Oh oh chéri », sera son premier 45 tours. Mais c'est surtout un titre qu'elle a écrit seule, « Tous les garçons et les filles » qui va marquer, et pour longtemps, le public. En peu de temps la voilà figure de proue de la fameuse vague yé-yé.
« Mon amie la rose » a été écrite par Cécile Caulier (qui travaillera avec Claude François ou Marie Laforêt) en hommage à la comédienne Sylvia Lopez, deuxième épouse de Francis Lopez. Mais l'autrice-compositrice ne trouve pas d'interprète pour reprendre cette jolie ballade mélancolique sur le temps qui passe, très inspirée des vers de Ronsard, et qu'elle a présentée au Petit Conservatoire de la chanson de Mireille. Françoise Hardy, devenue vedette de la chanson depuis deux ans, en fera un standard en 1964 en en vendant 75 000 exemplaires. Une chanson qui donnera lieu à de nombreuses reprises, dont une version orientale portée par la chanteuse Natacha Atlas dans les années 1990.
Françoise Hardy n'a que 18 ans quand sort cette chanson qui restera peut-être la plus célèbre de son répertoire. On est en 1962. Ce morceau s'invite dans la vie des Français via une diffusion télé en pleins résultats du référendum sur l'élection du président de la République au suffrage universel. Les ventes du 45 tours s'envolent dès le lendemain. Cette ballade mélancolique sur la frustration des jeunes gens esseulés et solitaires donne une autre couleur à la vague yéyé qui déferle alors sur la France, et permet à la jeune Françoise Hardy de se différencier de ses consœurs plus portées sur le twist et le rock. Pourtant, à longueur d'interviews, l'artiste expliquera combien cette chanson éclipsa d'autres titres qu'elle avait aussi écrits et qui, à son goût, lui semblaient bien meilleurs.
On pénètre en Basse-Navarre, à Saint-Étienne-de-Baïgorry. Niché au cœur d’un vallon, le village offre de beaux panoramas sur les montagnes et les pâturages. Son petit pont, son château et son église agrémentent cette charmante visite.
Mes peintures sont le reflet de mes coups de cœur pour des visages familiers ou des rencontres fortuites mais aussi pour des objets du quotidien. A travers l’aquarelle, médium d’exploration par excellence, j’aime emprunter des chemins différents pour aboutir à l’essence même de ma démarche : sublimer mon sujet en allant à l’essentiel.
Sur les terres de Chalosse, il est un village qui rayonne bien au-delà des Landes. La cité médiévale de Saint-Sever est connue pour de nombreux atouts. Son patrimoine architectural tout d'abord : Saint-Sever possède une somptueuse abbaye classée à l'UNESCO, un couvent du XIIIe siècle et de magnifiques maisons bourgeoises historiques. Sa gastronomie ensuite : le poulet fermier de Saint-Sever se retrouve sur la table de grands chefs.
On finit notre parcours dans le Labourd par un autre « Plus beau village de France ». La Bastide-Clairence a su conserver des bâtiments très anciens. En parcourant ses ruelles, vous aurez de belles surprises. C’est également un village, où l’artisanat et les métiers anciens sont très présents. Ces artistes sauront vous faire apprécier leur savoir-faire et leurs créations.
Savez-vous que l'Armagnac est la plus ancienne eau-de-vie de France ? Vous pouvez découvrir toute son histoire dans un lieu emblématique à voir absolument dans les Landes. Il s'agit de Château Garreau, un domaine viticole familial, qui abrite l'écomusée de l'Armagnac. Une exposition complète de tout ce qui touche au métier de vigneron et au travail de la distillerie. La visite peut être complétée par un escape game ou une balade autour des 6 étangs de la propriété, et bien sûr par une dégustation !
A proximité de Genève, au coeur du massif du Jura, j’habite cette belle région de moyenne montagne
au dessus du lac Léman.
Mes sources d’inspiration sont tout naturellement les paysages qui m’entourent, les forêts d’épicéas, les lacs d’altitude, dans une nature encore préservée.
Mon travail à l’aquarelle est réalisé avec une technique personnelle et particulière : je peins à l’aérographe sur différents papiers des éléments constitutifs de paysages et par découpage et déchirage je construis mes peintures par collage sur un support rigide.
Mes peintures sont figuratives sans être des reproductions exactes de lieux précis. Mon travail est présenté régulièrement dans mon atelier – galerie de LAMOURA (station des Rousses , Haut Jura ) ainsi que dans les salons des stations alpines françaises et suisses.