Le 16ème arrondissement n’a pas la réputation d’être le plus bourgeois de Paris pour rien. Au sud de l’arrondissement, dans le village d’Auteuil, vous trouverez de nombreuses Villas, allées privées remplies d’élégantes petites maisons individuelles.
Toutes sont grillagées, mais certaines restent assez facilement accessibles, comme la Villa Dietz-Monin, au niveau de la rue Parent de Rosan. Si vous êtes aventuriers, essayez de pénétrer la Villa de Montmorency (demeure de Bolloré, Lagardère, Niels, Carla Bruni…). Bon courage !
Située à la bordure de la forêt des Landes de Gascogne et à l’entrée Sud du bassin d’Arcachon, la Dune du Pilat est la plus haute dune d’Europe avec une hauteur de 110 mètres.
La rue Oberkampf, plus connue par les parisiens pour être une « rue de la soif », cache bien des secrets. Parmi eux, la surprenante Cité Durmar, petite impasse pavée fleurie et bordée d’ateliers plus ou moins vétustes.
Vous trouverez d’ailleurs tout au long de la rue Oberkampf de nombreuses cours cachées, dont les pus jolies sont incontestablement la Cité Durmar et la Cité des Figuiers.
Site inscrit au patrimoine mondial de l’humanité par l’UNESCO, la grotte de Lascaux comporte plusieurs œuvres préhistoriques dont des peintures et des gravures datant de plus de 17 000 ans.
Surement l'une des plus belles rues cachées de Paris , peut-être parce que l'on ne s'attend surement pas à la trouver là. Jouxtant la grande rue Raymond Losserand, c'est un véritable îlot de calme et de verdure.
Avec les paysagistes anglais de la fin du xviiie siècle (en particulier John Constable et William Turner), ces peintres sont, au début des années 1860, les maîtres de jeunes artistes nommés Claude Monet, Pierre-Auguste Renoir, Frédéric Bazille, Alfred Sisley – qui vont devenir les premiers « impressionnistes ». Cette volonté de peindre en plein air n’est pas d’un phénomène isolé : dans les mêmes années, Eugène Boudin et Johan Barthold Jongkind pratiquent la peinture ou l’aquarelle sur la côte normande, au bord de la mer ; cela conforte Monet dans la voie qu’il emprunte.
Jean-Christophe Combe a (très largement) surévalué les revenus des assistantes maternelles, avant de se corriger. L’erreur aurait presque pu passer inaperçue. Mais non. Ce mercredi 26 octobre lors de l’examen du projet de financement de la sécurité sociale à l’Assemblée nationale, Jean-Christophe Combe a affirmé qu’une assistante maternelle gagnait « trois Smic en moyenne ». Une affirmation qui n’a pas manqué de faire réagir sur les bancs de l’hémicycle. « Trois Smic en moyenne ? » lance un député. « Oui monsieur », persiste le ministre des Solidarités, de l’Autonomie et des Personnes handicapées. Après des huées et des échanges de regards avec les bancs de la majorité, le ministre s’est ensuite corrigé : « un tiers de Smic fois trois en moyenne, donc ça fait un SMIC effectivement pardon ». Une bourde à laquelle pas grand monde n’avait prêté attention, mais qui a refait surface sur Twitter le lendemain. Un internaute a partagé la vidéo de l’intervention de Jean-Christophe Combe, comptabilisant plus de 300 000 vues en moins de 24 heures. Sans surprise, la séquence est exploitée par des opposants au gouvernement, notamment du côté du Rassemblement national.
De nos jours, le carburant vaut de l'or. Alors, avant d'aller faire le plein de votre voiture, jetez un regard et comparez les prix... Cela vaut le coup (coût !) non ?