(une oeuvre du peintre impressionniste britannique Alfred Sisley, qui a vécu au 19e siècle, et qui était un spécialiste de la reproduction de paysages)
Première des 5 places royales de Paris, la Place des Vosges est sans aucun doute l’une des plus belles places de Paris. Un lieu chargé d’histoires, qui transformera définitivement le visage de la capitale au début du 17e siècle.
Visiter la Place des Vosges, c’est avant tout faire un voyage au temps des rois de France. Remarquez, l’unité de la composition des bâtiments et leur hauteur uniforme. Seuls deux bâtiments dérogent à cette règle : le Pavillon du Roi, côté sud (par lequel on accède depuis la rue Saint-Antoine via la rue de Birague) et le Pavillon de la Reine, qui lui fait face (entrée côté rue du Béarn).
Bien que cette place, nommée « place royale » lors de sa construction au début du 17e siècle sous le règne d’Henri IV, fût pendant de nombreuses années un haut lieu de la royauté, le roi lui-même n’y a jamais habité. Les 36 pavillons qui entourent la place furent des hôtels particuliers de la haute bourgeoisie de l’époque et des hauts fonctionnaires de la Monarchie.
la Place bien que construite à l’époque pour les frasques de la bourgeoisie, fut aussi l’un des premiers lieux publics dédiés aux promenades des parisiens à la recherche de calme et de bien-être. Cela se retrouve encore aujourd’hui.
A l’intérieur de l’Hôtel de Soubise, surement les plus splendides hôtels du Marais, ont été ouverts au public en 2011 les Jardins des Archives Nationales.
Magnifiques espaces verts composés de jardins autrefois propriétés de différents hôtels particuliers : les hôtels de Rohan, d’Assy, Breteuil, Fontenoy et Jaucourt.
En plein cœur du Marais, cette adresse méconnue vous offrira un délicieux cadre romantique et vous transportera entre le 18e siècle, époque où le quartier était le centre de la vie intellectuelle et mondaine parisienne, et le 19e, apogée du style architectural Second Empire (dont l’une des œuvres maîtresse est l’Opéra Garnier).
Pour s’y rendre, il faut traverser l’imposante cour en demi-lune de l’Hôtel de Soubise et prendre l’entrée qui se trouve au fond à droite. Vous pénétrerez alors dans les jardins via une petite allée (ruelle de la roche), l’une des plus anciennes rues de Paris, autrefois lieu de passage public entre l’actuelle rue des Archives et la rue Vieille-du-Temple.
Sur la droite, les jardins des hôtels d’Assy et Breteuil sont des espaces caractéristiques des jardins de ville qui avaient cours au 19e siècle. Agrémentés d’une rivière et de magnifiques arbres (dont un marronnier d’Inde unique à Paris), vous y découvrirez une atmosphère romantique et intime.
Cette photo prise dans la réserve de Limbe au Cameroun, montre Bobga, un bébé gorille orphelin, exprimant sa reconnaissance envers ses sauveurs en étant très démonstratif envers son soigneur qu’il ne lâche pas d’une semelle !
Au cœur de Paris, à quelques pas de Musée du Louvre et caché au milieu de plusieurs bâtiments gouvernementaux et culturels (Conseil Constitutionnel, Ministère de la Culture et de la Communication, Comédie française, Théâtre du Palais-Royal…), se trouve le somptueux Jardin du Palais-Royal.
Un havre de paix qui réunit depuis plus de 4 siècles lieux de pouvoir et de plaisirs.
Le photographe Tom Duffin a pris ces images étonnantes de la lune du chasseur, mercredi soir à Edimbourg, en Écosse, Il explique : « Le lever de la lune à Edimbourg ce soir était assez impressionnant et mérite 3 ans de tentatives ».
L'artiste Cai Guo Qi Ang, inspiré par les couleurs et les formes florales, a organisé un feux d'artifice sur le thème des fleurs de Primavera de Botticell, à Florence, en Italie.
Le photographe a a utilisé le ciel nocturne comme toile de fond pour photographier ce site naturel, illuminé par des millions d'étoiles, à Rockville aux États-Unis,
Dans une ambiance quasi-insurrectionnelle, plusieurs milliers de manifestants aux motivations très disparates ont laissé éclater leur colère dans plusieurs face-à-face violents avec les forces de l'ordre tout au long de la journée.
A plusieurs reprises, Libération a vu des convois de plusieurs véhicules de police littéralement pris d’assaut par des casseurs survitaminés, qui les ont contraints à déguerpir en vitesse. Plus loin, ce sont des policiers à cheval qui sont hués par la foule. A un autre endroit, les manifestants prennent même le volant d’une pelleteuse de chantier et avancent, comme un défi, vers les cordons de police.
Certains parisiens signalent à grand renfort de klaxons et d’applaudissements leur soutien aux gilets jaunes. On croise en ces passants qui lèvent le poing place de l’Opéra lorsqu’ils entendent «Macron démission !»...