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Texto - Violência reprimida
Confesso que nunca adepto
de incompreensão fui. Sou normalmente um ser calmo e, concerteza,
anti-violento. Porém, às vezes, chegam-me à mente tão violentas ideias que,
rapidamente fecho os olhos tratando de desviar o meu cérebro para sentimentos
mais risonhos.
Este é o meu jeito
de viver. Não faço mal a ninguém e pretendo tão somente que me deixem viver em
paz os últimos anos de vida! Mas é facto que, por vezes, me apetece ir
torturando lentamente até à morte certas criaturas maléficas, fora da familia.
Poderia, vida
inteira, continuar suprimindo idiotas; mas reconheço que tão ardil tarefa
duraria, decerto e no mínimo, um milhão de anos-luz à escala humana; por isso
me quero definitivamente remeter à minha pobre condição, poupando com amor,
todos os que me ofenderam..
Mas não esqueçam
nunca que sempre ajudei, apoiei, dei meu contributo à família; cometi faltas,
sem dúvida, mas nunca foram intencionais; un erro infeliz nessa merda do
facebook não pode servir de pretexto para que me condenem; quem não gostar não
leia; quem não perceber Português que aprenda; Tentei sempre dar o meu
contributo possível a todos e nunca esquecerei, o bem ou mal, tudo o que foi
dito e feito.
Que dadores de
lições - fora dos meus filhos Véro, Dan, Sophie et Mary, - façam um trabalho exaustivo de introspecção e
venham depois confrontar ideias. Verão que depois de simples reflexão, ficarão
felizes de pertencerem à familia Mira !
Facebook c’est terminé. Quand vous
voudrez me parler, mon téléphone c’est le 07.83.44.18.45
01 de Maio de 2016
JoanMira
Cette page
est disponible en version française intégrale
Renaud - "Les mots" - Video - Musique
"Les mots"
Texte - Souvenirs de jeunesse
Comme la vie passe vite au gré de tant d’imbéciles rencontrés au passage.
De mes souvenirs d’école il ne me reste qu'un seul marquant, parmi tant d’autres. Je ne sais dans quel Pays, école, époque, il y avait un élève délicat, intelligent, calme que tous appelaient la "fillette"… Je ne me souviens plus de son nom ; seul j’ai présent son souvenir de garçon délicat qui n’aimait pas trop se joindre aux jeux de brutes auxquels nous nous livrions quand nous en avions le temps, c’est-à-dire, constamment !
Je transportais ma petite sœur, Christine, à l’école des filles et, entre son domaine et le parvis de Saint-Vincent, j’entrais dans le beau et brutal royaume…
Les profs, Pène, Passicousset, Lataste, Guichemère distribuaient autant le savoir que les coups; ils étaient bons, "enseignaient" bien, parfois à grands coups de baffes arrivées le plus souvent en temps opportun.
Et, grandeur de la méthode, donnait, dans la plupart des cas, des résultats au-delà de toute espérance !
A la "récré" toute la frustration d’une vie familiale moins réussie se réglait et jouait là ! Entre deux cours à Saint-Vincent c’était "Yo pour le Roi", une espèce de jeu de pelote stupidement adapté aux règles de "costauds"... Valait mieux être viril car il ne s’agissait pas simplement, au milieu de la confusion, de "chopper" la balle : encore fallait-il ne pas se la faire prendre par l’andouille immensément costaud et la probable "tabassée" qui pouvait s’en suivre..
Ce jeu, au demeurant intéressant, finissait invariablement par une bagarre générale interrompue par la sonnerie indiquant la fin de la " récréation"…
Comme je comprends, aujourd’hui, que la "fillette" ne voulût point se joindre à ce jeu "à la con"; si j’avais pu saisir à l’époque son idée, peut-être que je n’y aurais jamais participé…
La "fillette", (j’en ai marre je l’appellerai Jean désormais) subissait tous les sévices de cette virilité campagnarde, sans dire mot… je le comprenais mais ne m’empêchais pas de me placer du côté des " hommes"; J’ai un grand regret rétrospectif : ne pas m’être opposé à la bande de brutes dont je faisais partie…
Parfois, le mercredi surtout, nous nous aérions allant jouer au " ruby " du côté du Gond… Avec mes frêles 65 kilos, je ne faisais pas trop le poids ni le fier ; mais je jouais, quand-même, profitant de ma vitesse pour éviter l’affrontement; souvent cela marchait.
Mais un jour, en pleine vitesse, sur un terrain very boueux, après quelques feintes de passe, regardant à gauche et à droite, me suis-je venu empaler sur un « mamouth » qui, (d’après Jean qui assistait au spectacle), traînait à cet endroit, immobile depuis pas mal de temps, dans l’espoir d’attraper la brêle qui se présenterait ! Et le le coup de corne fut si rude que j’ai dû reculer de beaucoup de mètres… Lui s'est cassé un bras...
Mais, dans l’enthousiasme de la narration, j’ai complètement oublié le pourquoi de ce post…
Si je ne suis pas éternel, du moins j’ai quelque peu vécu.
Ma vie (mes vies) a été passionnante. Je souhaite la même à tous ceux qui me survivront !
Un jour vous lirez ces quelques mots – le plus tard possible – et vous penserez, des étoiles dans les yeux : c’était vraiment un sacré man !
Bordeaux, le 30 avril 2016.
JoanMira
30.4.16
29.4.16
Images du Monde - Violences à Paris
Les nouvelles manifestations contre la loi Travail du 28 avril ont été marquées par des débordements et affrontements à Paris et en région. Un policier a été grièvement blessé dans la capitale et un jeune manifestant a été blessé à l'œil à Rennes. À Nantes, où plusieurs milliers de personnes – entre 8.500 et 20.000 selon les sources – se sont rassemblées, cette Porsche garée sur le passage de casseurs a été incendiée.
AFP PHOTO / LOIC VENANCE
28.4.16
Séisme en France: des répliques possibles
Un tremblement de terre de magnitude 4,9 s'est produit ce jeudi avant 9 heures entre La Rochelle et Rochefort. Il a été largement ressenti dans l'Ouest de la France.
De La Rochelle à Rochefort en passant par Saintes, nombreux ont été ceux à ressentir pendant quelques secondes une forte secousse ce jeudi vers 8h45. Il s'agit d'un tremblement de terre, confirme le Réseau national de surveillance sismique (Renass) joint ce jeudi peu après 9 heures. Aucune victime n'est à déplorer mais il faut s'attendre à de possibles répliques.
La préfecture de la Charente-Maritime communique : "La forte secousse ressentie ce matin à 8h46 est imputable à un séisme de magnitude 5,2 (magnitude réévaluée à 4,9 en milieu de journée) dont l'épicentre se situe entre La Rochelle et Rochefort.
A cette heure, cet événement a fait l'objet de nombreux appels auprès des services d'urgence mais aucun sinistre n'a été signalé et aucune victime n'est à déplorer. Le recensement plus précis des conséquences est en cours, en particulier auprès des collectivités locales et des établissements sensibles.
Les habitants sont invités à faire des vérifications de précaution d'usage dans les maisons et les entreprises sur les installations électriques et de gaz. Ils sont également invités à signaler toute suspicion aux services de secours et les dégâts auprès de leur mairie.
Sud-Ouest - France
27.4.16
26.4.16
Barbara - "Dis, quand reviendras-tu?" (Classiques de la chanson française) - Video - Musique
"Dis, quand reviendras-tu?"
Texte - Marianne – “dit Titi Clown”
J’étais
tranquille et peinard, je ne marchais pas au hasard puisque je baignais dans un
insouciant farniente de bonheur confortable dans le ventre de ma maman. Ô, bien
des sons intrigants appelaient mon attention ; naturels, ils faisaient
partie de la vie heureuse, celle que l’on croit, va durer l’éternité… C’était,
je crois, en juin de 1950, puisque en mars de l’année suivante je débarquais
dans le monde que je ne savais pas encore cruel…
Et,
quelque temps après, je commençais le parcours de la vie ; rampant, me
redressant et marchant, finalement, comme il est prévu dans les gênes des
êtres.
Là,
je suis obligé de faire un grand bond dans le temps ; non pas que ma vie
ait été inintéressante mais, simplement, parce qu’elle pourrait ressembler à
toute vie commune des êtres qui naissent, vivent et meurent…
La
mort nous guette avant même notre naissance et, comme tous, j’y ai été
confronté ; mort du père et, en suivant, celle de la femme qui m’a mis au
monde avec, dans l’espace, d’autres êtres très chers aussi. Et puis la mienne,
en 1991… Non, non, aussi extraordinaire que cela paraisse, j’ai survécu…
La
vie est faite, aussi, de grands bonheurs, heureusement ; je dédierai
d’autres textes à la naissance de ma Nini, mon premier amour-né ; et
Daniel, ma fierté de garçon… S’ensuivit Sophie que j’ai
« chouchouté » à l’infini…
Mais
il me restait une avant dernière mission : celle de contribuer à mettre au
monde un petit être extraordinaire : le "P’tit Clown", pour mettre un peu de baume dans mon cœur après la disparition
d’autres êtres aimés.
Et
mon rayon de soleil est arrivé le 15 décembre 1992 !
Comprenez-vous
pourquoi j’écris en ce jour ?
C’est
son anniversaire ! Et mon P’tit Clown a 20 ans. C’est le plus beau des anniversaires !
Titi,
je l’ai voulue, je l’ai choyée, je l’ai aimée et aujourd’hui je l’adore et fier d'elle.
Rio de Janeiro, le 15 décembre 2012.
JoanMira
24.4.16
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