L'oeuvre "Terrasse du café le soir, Place du forum, Arles ", peinte en 1888 par l'artiste peintre et Grand Maître Vincent Van Gogh, exposée au musée Rijksmuseum Kroller-Mueller, Otterlo.
Mais où était Nicolas Sarkozy la veille du bureau politique de l'UMP ? Selon l'hebdomadaire Marianne,dans un article mis en ligne jeudi, l'ex-président s'est rendu à Abu Dhabi pour y donner une conférence rémunérée lundi, au lendemain de la législative partielle du Doubs qui a vu l'UMP se déchirer face au duel PS-FN. Alors que "l'UMP se réveille traumatisée par son élimination dans le Doubs", son président "se rend à Abu Dhabi pour une conférence très privée... et surtout très rémunérée", écrit Marianne, sans préciser de montant.
L'ex-président de la République, selon l'hebdomadaire, "répondait à l'invitation du cheikh Mansour et du fonds souverain IPIC". Aux Émirats arabes unis, il a "consacré son temps à une quinzaine de personnes triées sur le volet" et le matin "il a aussi été reçu par le prince héritier qui l'a invité au Majlis, le parlement de l'émirat". Interrogé mercredi en fin de soirée, l'entourage de Nicolas Sarkozy n'a pas réagi dans l'immédiat. ...
L'oeuvre "Enfants à Guernsey", peinte en 1883 par l'artiste peintre et Grand Maître Pierre-Auguste Renoir, exposée au musée Barnes Fundation, Merion, Pennsylvanie.
A droite, Mykola Azarov. L’ancien Premier ministre ukrainien a présenté son livre lors d’une conférence ce mercredi à Moscou. A gauche, un portait du président russe Vladimir Poutine.
Azarov est accusé par Kiev d’avoir joué un rôle dans la répression du soulèvement populaire en Ukraine en janvier 2014. Il est réfugié en Russie. REUTERS/Sergei Karpukhin
Le Midwest et le nord-est des Etats-Unis n’ont pas été épargnés par une forte tempête de neige lundi. C’est la deuxième qui frappe le pays en une semaine. À Chicago, les conditions étaient celles d’un blizzard, suivi d’une baisse des températures.
Presque un mois après les attentats terroristes qui sont survenus à Paris, et notamment dans les locaux de Charlie Hebdo, un ancien ministre pakistanais a déclaré hier être prêt à payer 200 000 dollars, soit 176 000 euros, à la personne qui tuerait le propriétaire du journal satirique. Riss, le directeur de la publication, est donc aujourd’hui clairement menacé de mort.
Ghulam Ahmad Bilour, ex-ministre du Pakistan, avait déjà appelé en 2012 à l’assassinat du réalisateur du film très controversé « L’innocence des musulmans ». Il proposait alors 100 000 dollars à celui qui réussirait à effectuer cette mission. A l’époque, sa déclaration avait été vivement critiquée par son parti, le Parti national Anawi, mais il n’avait pas pour autant été sanctionné.
Ce lundi, il a mis à prix la tête du patron de Charlie Hebdo. « J'avais déjà déclaré que je ne tolèrerai aucune attaque sur la sainteté du Saint Prophète » a-t-il déclaré devant l’Assemblée nationale de son pays. L’homme propose également 100 000 dollars aux héritiers des frères Kouachi, les auteurs de la tuerie de Charlie Hebdo, et d’Amedy Coulibaly, qui a tué plusieurs personnes juives dans une épicerie casher Porte de Vincennes et une policière à Montrouge.
L'oeuvre "Boulevard des Capucines", peinte en 1873 par l'artiste peintre et Grand Maître Claude Monet, exposée au musée Nelson-Atkins Museum of Art, Kansas City.
Le carnaval de Venise vient de débuter, mais des inondations se sont invitées à la fête. Masques et costumes vont envahir la Cité des Doges jusqu’au 17 février prochain, pour un carnaval sous le signe de la gourmandise. REUTERS/Stefano Rellandini
This is how beautiful the Iberian peninsula looks from above. The image was captured by a 24mm lens on a Nikon D3S situated around 350 kilometers above the surface of the Earth – the average altitude of the International Space Station (ISS) as it orbits around the planet. This shot of Spain – one of many taken from the ISS – is dated December 4, 2011.
Bataille légale autour du copiright du selfie du macaque
Une bataille juridique oppose la fondation Wikimedia au photographe naturaliste David Slater sur le copyright de la photo d’un macaque qui aurait été prise par le singe lui-même.
Wikimedia estime que si l’animal a pris le cliché, le photographe ne peut pas réclamer de copyright (droit) et que la photo appartient donc au domaine public. L’artiste réfute que la fondation n’a jamais cherché à le contacter pour connaître les faits, et que l’affaire est bien plus compliquée.