Pas très à l'aise avant de passer au bain obligatoire, mais en sécurité. Ce chiot a été recueilli par le sanctuaire pour chiens abandonnés «Tierra de Animales» à Cancun, au Mexique.
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21.10.12
Photo - "Hum...je me méfie, moi!"
Pas très à l'aise avant de passer au bain obligatoire, mais en sécurité. Ce chiot a été recueilli par le sanctuaire pour chiens abandonnés «Tierra de Animales» à Cancun, au Mexique.
20.10.12
L'image du jour 20-10-2012
Une touche de rouge dans un océan de blanc
Photo - Réunion au sommet
Réunion au sommet et négociations agitées chez les chiens de prairies.
L'image du jour 19-10-2012
Effort, ou réconfort?
18.10.12
Les plus beaux châteaux du monde - Peles - Roumanie
Château de Peleş, Roumanie C’est l’un des premiers châteaux d’Europe à disposer de l’électricité. Sa construction débute en 1873, pour le compte du prince Carol de Hohenzollern-Sigmaringen (Carol Ier de Roumanie), et va s’étendre sur une dizaine d’années. Les 160 salles du château de Peleş mêlent entre autres le baroque allemand, le rococo et l’hispano-mauresque. Parmi les pièces les plus impressionnantes, Les salles d'armes, où sont exposés près de 400 objets, dont une épée de bourreau utilisée pour décapiter les nobles, une épée orientale utilisée par les samouraïs et des couteaux aux manches sertis de saphir et d’ivoire.
Les maîtres de la photographie - Robert Doisneau - "Dimanche matin à Arceuil"
Dimanche matin à Arceuil |
Robert Doisneau est probablement le photographe
français le plus connu dans le monde entier grâce au "Baîser de l'Hôtel de
Ville". Ses photographies des rues de Paris et de sa banlieue ont fait sa
renommée...
Scandale en Tunisie : Rached Ghannouchi, Echeikh et mat !
Pour ceux qui connaissent vraiment le personnage, la vidéo montrant Cheikh Rached Ghannouchi, discutant dans son bureau avec des représentants de la Jeunesse salafiste, n'a rien de surprenant. Le contenu, datant d'avril dernier et mis en ligne le 9 octobre [une autre vidéo fut aussi mise en ligne le lendemain (Cliquez ici pour la voir)] notamment sur les réseaux YouTube et Facebook, a simplement rappelé au peuple tunisien les grandes lignes du programme officieux d'Ennahda. Un programme tant redouté mais officiellement occulté par ses dirigeants pour cause de décence politique, de manière à cacher leur jeu et prendre le temps de faire main-basse sur le pouvoir et d'instaurer une théocratie islamiste en Tunisie.
La Tunisie, trois fois millénaire, terre d'Hannibal, d'Oqba, d'Ibn Khaldoun, de Kheireddine et j'en passe, est actuellement dirigée par un gourou. Ni guide moral, ni leader politique, mais un véritable gourou, chef d'une secte omnipotent tenant sous sa coupe des adeptes endoctrinés et obéissant au doigt et à l'œil. Qui ose l'affronter au sein d'Ennahda ? Qui ose contredire ses décisions rétrogrades ? Qui ose critiquer ses prises de positions à géométrie variable selon les circonstances ? Jusqu'où les militants pourront-ils endurer son machiavélisme ? Y aurait-il un jour un "Pilate" dans l'avion d'Ennahda pour redresser la situation d'un parti en déconfiture totale et, par ricochet, celle de tout un pays, en voie de déliquescence ?
L'échec patent du gouvernement tunisien actuel dans tous les domaines est largement du à la politique désastreuse menée sous les ordres de Ghannouchi qui reçoit, tous les jours, dans son bureau, après la prière du matin dit-on, la plupart des membres du gouvernement et leur chef Hamadi Jebali, pour leur donner des instructions.
Le contenu de cette fameuse vidéo [en arabe], d'une gravité extrême, fera vraiment date dans les annales politiques du pays et servira certainement d'électrochoc à la masse des électeurs indécis et non politisés qui faisaient preuve d'une certaine indifférence ou condescendance vis-à-vis des islamistes.
COURRIER INTERNATIONAL
Hollande lance une offensive cinglante contre Merkel
"Hollande adresse des tirs de semonce à Merkel sur l’austérité à la veille du Conseil européen", titre le Guardian, alors que les dirigeants européens se retrouvent à Bruxelles les 18 et 19 octobre.
Le Guardian, quotidien britannique de centre-gauche, publie une grande interview du président français alors que s'ouvre le Conseil européen à Bruxelles. Cet entretien devait être publié dans cinq autres quotidiens européens, dans le cadre du projet "Europa" mené conjointement par Le Monde, Gazeta Wyborcza, La Stampa, El País et la Süddeutsche Zeitung.
François Hollande y expose son projet européen mais surtout, il prévient que le moteur franco-allemand qui guide l’Europe pourrait caler en raison des profondes différences de vues entre Paris et Berlin sur la façon de sortir de la crise. Bien que le président français croit qu’il y a "une lumière au bout du tunnel de la zone euro", le Guardian énumère les remarques du président français. Lire la suite sur presseurop.eu
François Hollande y expose son projet européen mais surtout, il prévient que le moteur franco-allemand qui guide l’Europe pourrait caler en raison des profondes différences de vues entre Paris et Berlin sur la façon de sortir de la crise. Bien que le président français croit qu’il y a "une lumière au bout du tunnel de la zone euro", le Guardian énumère les remarques du président français. Lire la suite sur presseurop.eu
A Rio, le foot renaît sur la plage
Un championnat et un documentaire rappellent à quel point le football de plage fait partie de la culture populaire de la ville. Signe des temps, ce sport renaît sur les plages de Copacabana, longtemps minées par la violence.
Au Lido, là où la plage de Copacabana est la plus large (70 mètres), la traversée depuis la promenade peut s’avérer difficile pour qui marche en tongs un jour d’été. Mais la souffrance de courir, pieds nus, pour échapper à une température d’environ 50 °C se transforme en un rare plaisir lorsqu’il s’agit de taper dans la balle. Et, dans ce Rio qui court vers la mer, le sable est le meilleur thermomètre pour mesurer l’ambiance et la créativité de la ville. Avec 17 équipes de 11 joueurs et 9 terrains, le championnat de football de plage qui a débuté le 1er septembre cherche à retrouver l’âge d’or de ce sport, qu’on redécouvre grâce aux images du documentaire Ao som do mar, a luz do céu [“Au son de la mer, à la lumière du ciel”] de Pedro Amorim, diffusé récemment sur la chaîne sportive ESPN Brasil.
“Sans protège-tibias ni chaussettes, je ne connais personne qui n’ait pas été blessé dans le sable”, affirme l’ancien gardien et actuel président de la fédération, Marcelo Vargas.A Copacabana, le ballon rond a des origines nobles. Avant de mélanger éléments nationaux et étrangers dans la bossa-nova, la classe moyenne carioca [originaire de Rio] avait déjà créé le football de plage. Tout comme la curiosité musicale de la jeunesse, passée par les quartiers populaires, a engendré l’afro-samba, le sport s’est métissé et a gagné en intensité. A une époque où la bande de sable n’était que bonheur, il existait 32 équipes et 20 terrains depuis Botafogo jusqu’à Leblon [quartiers bourgeois situés le long de la plage, de part et d’autre de Copacabana]. Mais, quand le climat s’est détérioré, l’horizon du football s’est bouché. Après avoir été confiné vingt ans dans des enceintes gardées par des vigiles privés, le beach soccer [“football de plage”] respire de nouveau grâce aux opportunités ouvertes par la promotion de Rio au statut de capitale olympique pour 2016.
“Sans protège-tibias ni chaussettes, je ne connais personne qui n’ait pas été blessé dans le sable”, affirme l’ancien gardien et actuel président de la fédération, Marcelo Vargas.A Copacabana, le ballon rond a des origines nobles. Avant de mélanger éléments nationaux et étrangers dans la bossa-nova, la classe moyenne carioca [originaire de Rio] avait déjà créé le football de plage. Tout comme la curiosité musicale de la jeunesse, passée par les quartiers populaires, a engendré l’afro-samba, le sport s’est métissé et a gagné en intensité. A une époque où la bande de sable n’était que bonheur, il existait 32 équipes et 20 terrains depuis Botafogo jusqu’à Leblon [quartiers bourgeois situés le long de la plage, de part et d’autre de Copacabana]. Mais, quand le climat s’est détérioré, l’horizon du football s’est bouché. Après avoir été confiné vingt ans dans des enceintes gardées par des vigiles privés, le beach soccer [“football de plage”] respire de nouveau grâce aux opportunités ouvertes par la promotion de Rio au statut de capitale olympique pour 2016.
L'image du jour 18-10-2012
Grève général en Grèce alors que les dirigeants européens se réunissent
Au Portugal, dépenser moins pour vivre moins
Le Conseil national d'éthique pour les sciences de la vie [cet organisme indépendant auprès du Parlement portugais est l'équivalent du Comité consultatif national d'éthique français] affirme dans un rapport qui vient d'être rendu public que l'Etat portugais peut et doit rationner l'accès aux médicaments les plus chers pour le traitement des cancers, du sida et de la polyarthrite rhumatoïde. Le médecin qui dirige cette institution prétend qu'il s'agit d'"une lutte contre le gaspillage et l'inefficacité, qui est considérable en matière de santé (...) Un combat non seulement légitime mais aussi souhaitable". Il va jusqu'à dire que dépenser 50 000 euros pour survivre deux mois de plus ne peut se justifier.
Une vie n'a pas de prix. Ni une quelconque portion de celle-ci. Comment un homme, médecin, peut-il arriver à la conclusion qu'il existe un montant raisonnable pour un mois de vie en plus ? Tuer de façon absolue l'avenir de quelqu'un est un délit. Cela s'appelle un homicide. Dans la vie, il y a des moments, un regard, un sourire, un baiser qui durent quelques secondes mais qui valent (plus qu')une vie. La vie, c'est essentiellement un avenir. Même sur un lit d'hôpital, en pleurs, dans un océan de souffrance. La vie c'est cela aussi. Ce n'est pas seulement de la joie, c'est également la douleur.
Les médecins vont-ils tourner le dos au serment d'Hippocrate pour, de façon hypocrite, jurer de défendre avec orgueil, brio – et une discipline toute militaire – le budget ? Dans son rapport, le conseil estime que les médecins devraient obligatoirement avoir une formation dans le domaine de l'éthique afin de prendre des décisions plus justes et, rendez-vous compte, plus responsables !
Vous me direz que l'on a plus les moyens et vous me demanderez qui je choisirais entre deux malades aux diagnostics et aux pronostics différents... Le problème n'est pas le coût des thérapies, mais l'argent qui aurait dû exister pour les payer et qui est canalisé pour d'autres profits.
Il doit y avoir une foule de gens en quête d'une formule mathématique qui déciderait du oui ou du non à donner, s'agissant du futur des malades se trouvant dans un état avancé. Néanmoins, il me semble bien plus humain que, dans les cas extrêmes, ce soit quelqu'un qui le fasse, quelqu'un avec des valeurs qui l'assume. Jamais un algorithme qui s'applique de façon impersonnelle... Et derrière lequel, par la suite, beaucoup se cacheront.
Bientôt, la capacité de l'Etat à payer les retraites se terminera. Que diront alors ces messieurs des sciences de la vie ? Sans doute l'un d'entre eux viendra nous dire que la vie, au-delà de 70 ans, n'a plus de sens, que la qualité de vie des plus jeunes est mise en cause par ces égoïstes qui ont déjà vécu plus qu'il ne faut... Ou peut-être nous dira-t-il que l'on aurait dû privilégier l'avortement... Ou une autre énormité difficile à imaginer.
Ceux qui contribuent, avec leur savoir sur l'éthique et la vie, à l'application de telles mesures politiquement inhumaines se fourvoient. Et ce dans un pays qui peut avoir peu d'argent mais qui n'en a pas moins beaucoup de valeurs. Malgré ceux de nos concitoyens prêts à échanger des vies contre de l'argent.
COURRIER INTERNATIONAL
Le dessin du jour 17-10-2012
17.10.12
Tais-toi, et creuse !
Après avoir racheté les clubs parisiens de football et de handball, le Qatar continue de lorgner sur la capitale française. Cette fois, ce sont les banlieues franciliennes qui sont dans le viseur. L'Emirat, fort de sa manne pétrolière, serait prêt à injecter 50 millions d'euros dans un fonds d'investissement mis en place par le gouvernement français. Opportunité pour soutenir les PME selon les uns, abandon de souveraineté et outil de prosélytisme pour les autres, le débat est intense.
Dessin de Bénédicte
"Fouz allei trinker"!
Alors que la Grèce, le Portugal plient et souffrent terriblement sous le poids des mesures d'austérité imposées par le néolibéralisme, Angela Merkel s'est déplacée à Athènes mardi 9 octobre. La venue de la chancelière, pour la première fois en cinq ans, a provoqué des manifestations qui ont rassemblé environ 50 000 personnes à Athènes. Angela Merkel a salué les "efforts" et les "progrès accomplis" par le pays. Et trinqué à la santé des Grecs.
Dessin de Burki
Dessin - Armstrong, l'idole des drogués...
"Waouh ! Lance Armstrong ! Je peux avoir un autographe ?"
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