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13.12.11

Attentat terroriste à Liège (Belgique): déjà 5 morts

 Un cinquième victime à Liège

Cinq personnes sont mortes, place Saint-Lambert à Liège, l'auteur de l'attaque, Nordine Amrani (© photo de Jim Sumkay), un jeune homme de 20 ans, deux adolescents et une femme âgée. 74 autres personnes ont été blessées. L'auteur est connu des services de police pour détention d'armes. Il devait se rendre au commissariat. Il s'agit d'un acte isolé, selon la ministre de l'Intérieur. Suivez la situation en direct.

http://www.lesoir.be/regions/liege/2011-12-13/un-cinquieme-victime-a-liege-883451.php 

12.12.11

Cristiano Ronaldo descendu par la presse espagnole



Force est de reconnaître que Cristiano Ronaldo est passé complètement à côté de son Clasico samedi soir. Manque d'altruisme, coups francs dans le mur, passes imprécises: bref, la star portugaise a agacé tout Santiago Bernabeu samedi soir. Si ce n'est un tir puissant en première mi-temps, il a été fantomatique, multipliant les mauvais choix. Et ce n'est pas la presse espagnole qui écrit le contraire.
Il est marqué par ce complexe dont il souffre dans les grands matches. Il a eu deux occasions très nettes. Il a disparu au moment où le Real avait besoin de lui. Il a de nouveau perdu son duel face à Lionel Messi", résumait avec acrimonie le quotidien pro-madrilène AS.

1/10: sa note dans Marca
Pire: le journal Marca lui a attribué un 1, la pire note parmi les joueurs madrilènes. Hormis son but en finale de la Copa del Rey, il faut bien dire que Ronaldo n'a jamais marqué les Clasico de son empreinte. Les statistiques de Messi, en comparaison, doivent faire fantasmer CR7: 13 réalisations en 15 matchs, soit un but en moyenne toutes les 104,5 minutes, sans compter les passes décives. C'est le jour et la nuit entre les deux joueurs.

Sifflé par une partie du public
Les supporters de Bernabeu attendent bien plus d'un joueur qui a coûté 90 millions d'euros.
7SUR7 - BELGIQUE

Sarkozy est-il toujours le premier flic de France ?

(Dessin : Louison)Le chef de l’Etat a construit son image sur ses liens avec la police. A quelques mois de la campagne, cette image de « premier flic de France » est devenue dérangeante et l’Elysée tente de s’en débarrasser. Une belle leçon de marketing.
Pour une fois, il n’était pas là. Lundi après-midi, avaient lieu les obsèques du lieutenant Eric Lalès de la Bac d’Aix-Provence, décédé jeudi après avoir été touché par une rafale de Kalachnikov. Si Claude Guéant était présent à la cérémonie, Nicolas Sarkozy était absent. Il s’était pourtant rendu vendredi au chevet du policier à Marseille, peu avant sa mort.
Sa visite à Marseille lui a, en tous cas, valu une belle polémique. Nicolas Sarkozy a été accusé d’avoir annoncé la mort de policier jeudi dans la journée alors que certains de ses collègues prétendaient qu’il serait décédé dans la nuit précédente. Une rumeur rapidement démentie. De même, l’annonce de l’octroi de 150 nouveaux fusils à pompe aux Bac (une revendication du syndicat policier de droite Alliance) a également été critiquée dans les rangs de la police. Unité SGP-FO, le syndicat proche de la gauche, dénonçant le « problème de fond » non réglé du manque d’effectifs.
Il est vrai que le terrain de la sécurité est glissant pour le chef de l’Etat. Et encore, ces derniers temps, l’Elysée a voulu éviter toute accusation de surenchère. Nicolas Sarkozy ne s’exprime presque plus sur l’immigration, il n’a pas dit un mot sur l’affaire Agnès. A Marseille, si la visite au policier était inévitable, le chef de l'Etat s’est contenté d’une déclaration dans la cour de l’Hôtel de Police de Marseille et non d’une conférence de presse grandiloquente avec passage des troupes en revue. Ce déplacement n'était même pas prévu au départ, le chef de l’Etat était présent dans la ville pour un tout autre évènement, en l'occurence le Congrès du PPE.
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Sarkozy habló de "dos Europas"



El presidente francés Nicolas Sarkozy afirmó que "hay claramente dos Europas" tras la negativa británica de adherirse a un proyecto de reforma de los tratados para reforzar la disciplina fiscal en la Unión Europea, en una entrevista publicada este lunes por el diario Le Monde.
Sarkozy admitió haber fracasado en su intento, junto a la jefa del gobierno alemán Angela Merkel "para que los ingleses sean parte de ese acuerdo", y agregó que "ahora hay claramente dos Europas, una que quiere más solidaridad entre sus miembros y más regulación y otra que sólo tiene apego a la única lógica del mercado".
El presidente destacó sin embargo que Europa "necesita a Gran Bretaña" y que una salida de Londres del mercado único europeo "no está a la orden del día".
Como ya explicó el pasado viernes en Bruselas, Nicolas Sarkozy recaló que las "demandas (del primer ministro británico David Cameron) sobre los servicios financieros no eran aceptables".
"La crisis vino por la falta de regulación de las finanzas, nunca podríamos haber aceptado dar marcha atrás. Europa tiene que ir hacia una mayor regulación", dijo Sarkozy a Le Monde.
A pesar del "no" británico, Nicolas Sarkozy no concibe la salida de Gran Bretaña del mercado único de la UE.
"Necesitamos a Gran Bretaña. Sería empobrecedor asistir a su salida que, por suerte, no está a la orden del día", dijo.
El presidente francés recalcó los lazos con Londres y recordó que ambos países intervinieron juntos en Libia.
"Con Londres compartimos nuestro apoyo a la energía nuclear y una cooperación fuerte en defensa, que es esencial", añadió.
Los europeos se pusieron de acuerdo el pasado viernes para reforzar la disciplina presupuestaria para salvar la zona euro.
Todos los países de la Unión Europea aceptaron revisar los tratados europeos, excepto Gran Bretaña.
EL DIA - ARGENTINA