Eclectique, Frank Horvat l’est, à l’évidence. Car
depuis qu’il a découvert cet outil magique qu’est un appareil photographique, il
est passé avec bonheur du reportage à l’image composée, du paysage à la mode, du
nu au portrait. Pourtant par delà cette diversité de sujets, il y a une
constante, un style qui se développe. Ses premières réussites seront ces
élégantes qu’il plonge dans un univers qui n’est pas le leur et qui révolutionna
la photographie de mode.
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Bar à Pigalle en 1956 |
Nombre total de pages vues
7.10.12
Les maîtres de la photographie - Frank Horvat - 1928
Les maitres de la photographie - Edouard Boubat - 1923-1999
Rémi écoutant la mer - août 1955 |
Edouard Boubat, photographe français, exposa en
1952 ses œuvres aux côtés de celles de Brassaï, Robert Doisneau, Izis et
Fachetti à la galerie de la librairie «La Hune ». Il entre à la revue
"Réalités", et fait le tour du monde. Boubat ne cesse de s'émerveiller devant le
monde et les hommes : « photographier, dit-il , c'est exprimer une gratitude ».
Dans un état de grâce perpétuelle, il fixe les rencontres, les paysages, les
instants de plénitude. Il immortalise « les moments où il ne se passe rien ,
sauf la vie de tous les jours ». Boubat est en quelque sorte un sage, un apôtre,
un photographe béat, « un correspondant de paix », disait Prévert.
Marine Le Pen : «l'islam de France n'existe pas»
L'islam est financé par de l'argent venant de l'étranger: il n'y a pas d'islam de France...
«Les opérations de prosélytisme de l'islam radical ne sont pas maîtrisées sur notre sol»
«Nicolas Sarkozy a créé le Conseil français du culte musulman qui permet à tous les musulmans de voter (pour ses instances) même s'ils sont clandestins: il n'y a pas d'islam de France, a lancé Marine Le Pen lors de «C'Politique» sur France 5. «L'islam est financé par de l'argent venant de l'étranger: il n'y a pas d'islam de France», a martelé la présidente du FN qui arborait pour la première fois un pendentif représentant une carte de France que lui a offert la fédération FN de Perpignan.
Interrogée sur le démantèlement d'un groupe islamiste, l'ex-candidate à la présidentielle a jugé «évident» que «les opérations de prosélytisme de l'islam radical ne sont pas maîtrisées sur notre sol». «Je crois pouvoir dire qu'il y a un grand déficit en matière de renseignement, notamment dans nos quartiers. Nous assistons, depuis un certain nombre d'années à une hybridation entre l'islam radical et la criminalité et le trafic de drogue. Cela fait des années qu'on en parle, il y a des milliers d'armes qui circulent dans les banlieues», a dit la leader frontiste.
«Pas d'amalgame»
«Nicolas Sarkozy devait vider les caves, manifestement rien n'a été fait en ce domaine», a-t-elle relevé, avant d'appeler à «surveiller les imans qui prêchent» pour éviter notamment les recrutements des jeunes délinquants dans les quartiers. «Il faut être ferme et expulser les imams étrangers qui professent ce genre de prêche. Il faut supprimer le financement étranger des mosquées. Et, pour ceux qui célèbrent les mariages religieux de personnes déjà mariées (polygamie), il faut les expulser s'ils sont étrangers et les condamner s'ils sont français», a-t-elle demandé.
«Les Français savent qu'il ne faut pas faire d'amalgame entre l'islam radical et des musulmans qui acceptent parfaitement le fonctionnement laïc de notre pays», a estimé Marine Le Pen. Elle a fait valoir que beaucoup de ces musulmans étaient «victimes de cette pression inadmissible, celle faite aux jeunes femmes pour qu'elles se voilent ou qu'on insulte quand elles sont en jupe, celle faite aux citoyens musulmans qui ne se soumettent pas au ramadan et que l'on agresse». «Tous ces musulmans victimes devraient être à nos côtés et je leur dis: venez combattre avec nous l'islam politique», a-t-elle dit.
La peur de l'amalgame est une des grandes préoccupations de l'exécutif ces derniers jours. Après François Hollande, le chef de la diplomatie française Laurent Fabius a estimé dimanche que la seule réponse face au terrorisme était «une fermeté absolue», tout en appelant à éviter «tout amalgame» avec l'ensemble des musulmans.
«Nicolas Sarkozy a créé le Conseil français du culte musulman qui permet à tous les musulmans de voter (pour ses instances) même s'ils sont clandestins: il n'y a pas d'islam de France, a lancé Marine Le Pen lors de «C'Politique» sur France 5. «L'islam est financé par de l'argent venant de l'étranger: il n'y a pas d'islam de France», a martelé la présidente du FN qui arborait pour la première fois un pendentif représentant une carte de France que lui a offert la fédération FN de Perpignan.
Interrogée sur le démantèlement d'un groupe islamiste, l'ex-candidate à la présidentielle a jugé «évident» que «les opérations de prosélytisme de l'islam radical ne sont pas maîtrisées sur notre sol». «Je crois pouvoir dire qu'il y a un grand déficit en matière de renseignement, notamment dans nos quartiers. Nous assistons, depuis un certain nombre d'années à une hybridation entre l'islam radical et la criminalité et le trafic de drogue. Cela fait des années qu'on en parle, il y a des milliers d'armes qui circulent dans les banlieues», a dit la leader frontiste.
«Pas d'amalgame»
«Nicolas Sarkozy devait vider les caves, manifestement rien n'a été fait en ce domaine», a-t-elle relevé, avant d'appeler à «surveiller les imans qui prêchent» pour éviter notamment les recrutements des jeunes délinquants dans les quartiers. «Il faut être ferme et expulser les imams étrangers qui professent ce genre de prêche. Il faut supprimer le financement étranger des mosquées. Et, pour ceux qui célèbrent les mariages religieux de personnes déjà mariées (polygamie), il faut les expulser s'ils sont étrangers et les condamner s'ils sont français», a-t-elle demandé.
«Les Français savent qu'il ne faut pas faire d'amalgame entre l'islam radical et des musulmans qui acceptent parfaitement le fonctionnement laïc de notre pays», a estimé Marine Le Pen. Elle a fait valoir que beaucoup de ces musulmans étaient «victimes de cette pression inadmissible, celle faite aux jeunes femmes pour qu'elles se voilent ou qu'on insulte quand elles sont en jupe, celle faite aux citoyens musulmans qui ne se soumettent pas au ramadan et que l'on agresse». «Tous ces musulmans victimes devraient être à nos côtés et je leur dis: venez combattre avec nous l'islam politique», a-t-elle dit.
La peur de l'amalgame est une des grandes préoccupations de l'exécutif ces derniers jours. Après François Hollande, le chef de la diplomatie française Laurent Fabius a estimé dimanche que la seule réponse face au terrorisme était «une fermeté absolue», tout en appelant à éviter «tout amalgame» avec l'ensemble des musulmans.
LE PARISIEN
LE
L'image du jour 07-10-2012
L’orbiteur réalise son ultime périple vers un musée californien. Amarrée à un Boeing 747, la navette spatiale a quitté la Floride pour rejoindre le California Science Center de Los Angeles. REUTERS/Sheir Locke/NASA/Handout
6.10.12
Rugby - Bayonne 37 - Agen 16
Gagner à Biarritz, c'était bien. Confirmer face à Agen, c'était mieux. Message reçu cinq sur cinq du côté de Bayonne. Une semaine après son succès dans le derby basque (13-15), l'Aviron enchaîne sur une deuxième victoire consécutive très précieuse face à un concurrent direct au maintien, qui repart en plus de Jean-Dauger sans le moindre point (37-16). Un succès qui permet aux hommes de Lanta et Deylaud de se donner un bol d'air au classement en dépassant même leurs victimes du soir. Pour leurs retrouvailles avec le SUA quelques semaines après un départ assez tendu, les hommes forts de Bayonne avaient à coeur de s'imposer, peut-être plus que la semaine passée à Aguiléra.
Comme à Biarritz, le salut est venu de Benjamin Boyet. Héros du derby avec sa pénalité victorieuse dans le temps additionnel, l'ouvreur bayonnais a enchaîné sur une prestation parfaite six jours plus tard. Un sans-faute au pied - 9/9 sur les pénalités, une transformation et un drop - a permis à son équipe de prendre le large en deuxième mi-temps. L'écart de cinq points à la pause (18-13) s'est accru, Boyet ne se privant pas de punir des Agenais beaucoup trop indisciplinés. Son inspiration sur un coup de pied par-dessus aurait mérité un meilleur sort mais un en-avant de Puricelli a détruit l'action (49e), symbole d'un match où les maladresses se sont multipliées. Le SUA commence à voir la zone rouge se rapprocher
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