Voilà plus de 6 siècles que le marché de Peyrehorade se tient chaque semaine dans le centre du village. Si vous voulez avoir un aperçu des traditions culinaires locales, c'est l'endroit où aller dans les Landes. Canard, saumon, tourtière, pastis… Promis, vos yeux et vos papilles ne seront pas déçus !
La chanteuse décide de tirer sa révérence avec l'album « Décalage », dont est extrait « Partir quand même » (signé par Jacques Dutronc). Muse de divers chanteurs comme Etienne Daho , Françoise Hardy revient sur sa décision et enregistre un album en 1995, « Le Danger ».
Puis vient le très beau « Clair obscur » cinq ans plus tard. « Puisque vous partez en voyage », interprété avec son mari, revisite un tube interprété en son temps par... Mireille.
En 2000 toujours, elle est présente sur l'album d' Henri Salvador « Chambre avec vue » avec lequel elle interprète « Le fou de la reine ». Quelques mois plus tard, c'est Marc Lavoine qui fait appel à elle pour le duo « Chère amie ».
« Message personnel », écrit par Michel Berger , sort en 1973. Si le titre marche, l'artiste refuse de monter de nouveau sur scène. L'année suivante sort « Entracte », très bel opus malheureusement moins connu.
La rencontre avec le compositeur Gabriel Yared en 1977 insuffle une nouvelle dynamique à la carrière artistique de la chanteuse. « Star » conquiert un nouveau public, Françoise Hardy se fait une seconde jeunesse. « Musique saoule » devient un autre album à succès. « Jazzy rétro Satanas », « Tamalou », « Villégiature », « Tirez pas sur l'ambulance », « Moi vouloir toi », « V.I.P » marquent les années 80.
On entre dans la Soule par sa capitale : Mauléon-Licharre. Mauléon n’est pas qu’un chef-lieu administratif, c’est une réelle capitale économique, celle de l’espadrille. Une tradition basque bien ancrée dans le pays et le cœur de ses habitants. Le Saison, sa rivière divise le village en deux. Vous aurez donc l’occasion de visiter d’un côté la bastide fortifiée et sur l’autre rive le vieux bourg médiéval. Pour continuer le fil de l’histoire, le château Renaissance d’Andurain de Maytie vous accueille.
Françoise Hardy s'émancipe grâce au photographe Jean-Marie Périer, qui devient son pygmalion. En 1963, ses premiers pas à l'Olympia, en première partie de Richard Anthony sont couronnés de succès.
Elle participe à l'Eurovision (pour le Luxembourg) avec le titre « L'amour s'en va ».Ce qui plait chez elle, c'est la distance qu'elle met avec son personnage de chanteuse populaire. Très appréciée en dehors de nos frontières (son album « In English » est très bien accueilli en Angleterre et en Amérique), elle côtoie toutes les pops stars de l'époque et s'illustre dans quelques films.
En 1967, elle tombe amoureuse de Jacques Dutronc , sans doute une des liaisons les plus durables du show business. Son album « Ma jeunesse fout l'camp » sonne presque comme un aveu pour la chanteuse qui devient vite esclave de son travail, entre enregistrement et tournée.
Les années 70 vont lui offrir une alternative. Sa nature introvertie reprend le dessus. « La Question », extrait d'un album confidentiel, dévoile une autre facette de l'artiste, toute en faille et tendresse, aspect de sa personnalité qu'elle revendique plus aisément. Par ailleurs, l'astrologie, à laquelle la jeune femme s'intéresse depuis son adolescence, prend une large place dans sa vie.
Françoise Madeleine Hardy est née le 17 janvier 1944 à Paris. Adolescente introvertie dans une structure familiale évanescente, la chanson est pour elle une véritable échappatoire, voire même une thérapie. Le monde de l'opérette la fascine, elle chante pour elle-même des airs qui lui donnent du courage.
Des débuts orchestrés chez Mireille
La guitare, l'un des rares cadeaux que lui fera son père, lui permet de se lancer dans l'aventure. Françoise Hardy compose des mélodies et entre au petit conservatoire de la chanson dirigé d'une main de maître par la redoutable Mireille qui, dans un premier temps, ne pense faire qu'une bouchée de cette jeune étudiante un peu gauche.
Pourtant la ferveur de l'adolescente paye puisqu'elle parvient à décrocher un contrat avec une maison de disque. « Oh oh chéri », sera son premier 45 tours. Mais c'est surtout un titre qu'elle a écrit seule, « Tous les garçons et les filles » qui va marquer, et pour longtemps, le public. En peu de temps la voilà figure de proue de la fameuse vague yé-yé.
« Mon amie la rose » a été écrite par Cécile Caulier (qui travaillera avec Claude François ou Marie Laforêt) en hommage à la comédienne Sylvia Lopez, deuxième épouse de Francis Lopez. Mais l'autrice-compositrice ne trouve pas d'interprète pour reprendre cette jolie ballade mélancolique sur le temps qui passe, très inspirée des vers de Ronsard, et qu'elle a présentée au Petit Conservatoire de la chanson de Mireille. Françoise Hardy, devenue vedette de la chanson depuis deux ans, en fera un standard en 1964 en en vendant 75 000 exemplaires. Une chanson qui donnera lieu à de nombreuses reprises, dont une version orientale portée par la chanteuse Natacha Atlas dans les années 1990.
Françoise Hardy n'a que 18 ans quand sort cette chanson qui restera peut-être la plus célèbre de son répertoire. On est en 1962. Ce morceau s'invite dans la vie des Français via une diffusion télé en pleins résultats du référendum sur l'élection du président de la République au suffrage universel. Les ventes du 45 tours s'envolent dès le lendemain. Cette ballade mélancolique sur la frustration des jeunes gens esseulés et solitaires donne une autre couleur à la vague yéyé qui déferle alors sur la France, et permet à la jeune Françoise Hardy de se différencier de ses consœurs plus portées sur le twist et le rock. Pourtant, à longueur d'interviews, l'artiste expliquera combien cette chanson éclipsa d'autres titres qu'elle avait aussi écrits et qui, à son goût, lui semblaient bien meilleurs.
On pénètre en Basse-Navarre, à Saint-Étienne-de-Baïgorry. Niché au cœur d’un vallon, le village offre de beaux panoramas sur les montagnes et les pâturages. Son petit pont, son château et son église agrémentent cette charmante visite.