"O PATIO DAS CANTIGAS" - PARTE 6 DE 9
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Photographie - Robert Doisneau visite Malbrouck
Y sont accrochées plus de trois cents photographies, des plus célèbres - les écoliers pirouettant sur les pavés - aux plus graves - la pause des mineurs -, l'ensemble définissant, comme un éventail magique, le plus célébré des photographes français, aussi l'un des plus aimés.
Jongleur de rues. Reporter avec frontières. Copain des écrivains. L'insaisissable Robert Doisneau reste un homme proche de ceux qu'il se plaisait à attraper dans son Rolleiflex, toujours avec empathie.
Sont également présentés, en plus des classiques en noir et blanc, quelques portraits de la société parisienne, la bonne, bien sûr, qu'il réalisa pour le magazine Vogue de 1949 à 1951, à la belle époque d'Edmonde Charles-Roux.
Bonus: la Californie en version couleurs, avec piscines à remous et riches Américain(e)s au bord de la névrose, condamnés à vivre sans travailler.
Cette exposition est accrochée au Château de Malbrouck, site du conseil général de la Moselle, à Manderen jusqu'au 28 août.
Par BRIGITTE OLLIER http://next.liberation.fr/arts/01012353771-doisneau-a-malbrouck
Dette : Marine Le Pen prend Sarkozy pour cible
Elle aussi a interrompu ses vacances à cause de la crise financière. Dans la foulée de Nicolas Sarkozy qui a convoqué une réunion d'urgence à l'Elysée, Marine Le Pen avait annoncé mercredi que face à «la gravité de la situation» elle se remettait également au travail.
La présidente du Front national (FN) a alors organisé une conférence de presse ce jeudi, à Nanterre, au siège de son parti.
D'emblée, la chef du parti d'extrême droite a tenté de disqualifier le président de la République, l'étiquetant «champion incontesté de la dette». Et n'a pas hésité à le décrire «aussi légitime pour imposer la règle d'or de maîtrise des déficits que Mesrine (NDLR : gangster devenu ennemi public n°1) pour réformer le code pénal». Elle a néanmoins demandé au chef de l'Etat de de «prendre tout de suite» des «mesures» et des «engagements» pour «désendetter la France».
Elle a aussi, une nouvelle fois, milité pour la «sortie de l'euro» et la reprise en main du «gouvernail du bateau France». La présidente du FN a ainsi tenu sa ligne en demandant «solennellement» au président de prendre «l'engagement (...) de ne pas embarquer notre pays dans la voie de la fédéralisation européenne» pour «tenter de sauver l'euro à tout prix», car cela amènerait d'après elle «non seulement la ruine généralisée, mais à terme, la guerre».
Marine Le Pen a, enfin, tout à la fois exigé que la France ne soit plus «un paradis fiscal pour les très grands groupes et les très grandes fortunes» et fustigé la «fraude sociale» et ses «10 millions de fausses cartes vitale».
http://www.leparisien.fr/politique/dette-marine-le-pen-prend-sarkozy-pour-cible-11-08-2011-1562779.php
D'emblée, la chef du parti d'extrême droite a tenté de disqualifier le président de la République, l'étiquetant «champion incontesté de la dette». Et n'a pas hésité à le décrire «aussi légitime pour imposer la règle d'or de maîtrise des déficits que Mesrine (NDLR : gangster devenu ennemi public n°1) pour réformer le code pénal». Elle a néanmoins demandé au chef de l'Etat de de «prendre tout de suite» des «mesures» et des «engagements» pour «désendetter la France».
Elle a aussi, une nouvelle fois, milité pour la «sortie de l'euro» et la reprise en main du «gouvernail du bateau France». La présidente du FN a ainsi tenu sa ligne en demandant «solennellement» au président de prendre «l'engagement (...) de ne pas embarquer notre pays dans la voie de la fédéralisation européenne» pour «tenter de sauver l'euro à tout prix», car cela amènerait d'après elle «non seulement la ruine généralisée, mais à terme, la guerre».
Marine Le Pen a, enfin, tout à la fois exigé que la France ne soit plus «un paradis fiscal pour les très grands groupes et les très grandes fortunes» et fustigé la «fraude sociale» et ses «10 millions de fausses cartes vitale».
http://www.leparisien.fr/politique/dette-marine-le-pen-prend-sarkozy-pour-cible-11-08-2011-1562779.php
Une deuxième tranche du plan d'aide au Portugal débloquée
L'Union européenne (UE), le Fonds monétaire international (FMI) et la BCE, représentant les créanciers du Portugal, ont donné leur feu vert au déblocage d'une deuxième tranche d'aide d'un montant de 11,5 milliards d'euros dans le cadre du plan de sauvetage du pays de 78 milliards d'euros sur trois ans.
La "troïka" a pris cette décision après une évaluation des comptes publics portugais, que le gouvernement a promis d'assainir le plus vite possible. Fin mai, une première partie de l'aide internationale au Portugal d'un montant de 26 milliards de dollars avait été débolquée par le FMI.
HAUSSE D'IMPÔTS EN VUE
Les conditions posées par les organismes internationaux étaient drastiques : le déficit portugais devra être réduit à 5,9 % du PIB en 2011, 4,5 % en 2012 et revenir dans les limites fixées par le traité de Maastricht, à 3 %, en 2013.
Vendredi, le ministre des finances portugais, Vitor Gaspar, a annoncé de nouvelles augmentations d'impôts pour atteindre ces objectifs budgétaires. La TVA sur l'électricité et le gaz sera augmentée au dernier trimestre, alors que cette mesure était initialement prévue pour 2012.
L'armée américaine perd le contact avec HTV-2
Cet engin devait atteindre la vitesse de 22.000 km/h, plus de 20 fois la vitesse du son. Neuf minutes après le début de son deuxième vol d'essai, tout contact avec l'appareil a été perdu.
Curieusement, l'avion le plus rapide du monde n'a pas de moteur. Envoyé dans l'espace par une fusée, il atteint sa vitesse de croisière en «retombant» vers la Terre. Il atteint ainsi 22.000 km/h, soit plus de 20 fois la vitesse du son ou six fois la vitesse d'une balle qui sort d'un fusil d'assaut M16. De petits réacteurs permettent alors de contrôler la trajectoire de ce bolide sans pilote.
Seulement, en pratique, et pour sa deuxième tentative, le contact avec le Véhicule de technologie hypersonique Falcon 2 (HTV-2) a été perdu au bout de neuf minutes. L'Agence américaine des programmes de recherche avancée de défense (DARPA) a confirmé que la fusée avait atteint l'espace avec succès et que la séparation de la fusée et de l'engin avait été confirmée par caméra, avant que le contact soit rompu.
«Air Sarko One», la «deuxième maison» du président
LIEUX DE POUVOIR - Les aménagements du nouvel Airbus présidentiel A330 ultramoderne ont suscité la polémique.
Quand les ministres accompagnant le chef de l'État dans ses «VO» (voyages officiels) sont montés pour la première fois à bord du nouvel Airbus présidentiel, Nicolas Sarkozy leur a fait les honneurs de l'A330: «Ici le four à pizzas ; ici le court de tennis ; et là, bien sûr, le jacuzzi!» «Il y a eu de tels fantasmes sur cet avion, c'était de bonne guerre !», glisse un ministre. Plus sérieusement, le président a conclu sa visite en justifiant sa décision, début 2008, de renouveler la flotte.
Les deux anciens A319 siglés «République française» ont été vendus. Ils étaient jugés vétustes, incapables de couvrir de longues distances. Quand le président devait se rendre en Asie, l'avion faisait escale à Novossibirsk, en Sibérie. Surtout, les appareils n'étaient pas équipés de la technologie de pointe pour communiquer 24 heures sur 24. «Les écrans retraçant le trajet de l'avion notaient encore qu'on survolait Leningrad, alors que la ville avait été rebaptisée depuis longtemps!», se souvient un ministre, qui rappelle avec effroi l'incident survenu en 2009 avec l'ancien avion, sur la piste de Villacoublay, pour un déplacement vers l'Afrique. «L'avion roulait quand il y a eu un grand bruit, raconte-t-il. L'un des réacteurs avait lâché. Si ça s'était produit en phase de décollage… Ceux qui critiquent le nouvel avion devraient se souvenir de ce qui s'est passé en Pologne», où l'appareil du président polonais s'est écrasé en 2010.
«Sièges croco et fontaine à champagne»
Reste qu'avant même d'avoir volé - pour la première fois vers Séoul en novembre 2010 - le nouvel A330, baptisé «Air Sarko One», en référence à l'avion du président américain, a suscité la polémique. Son coût - 176 millions d'euros, selon le ministère de la Défense, 259,5 millions, selon le député PS René Dosière qui se fonde sur un rapport de la Cour des comptes - fut jugé excessif par la gauche. Mais ce sont surtout des rumeurs sur de luxueux équipements qui ont alimenté la critique. Les «Guignols de l'info» en ont fait un sketch: Air Sarko One s'arrête en plein ciel devant l'Air Force One de Barack Obama, et Nicolas Sarkozy, un verre à la main, fait l'article de sa nouvelle acquisition - «sièges croco» et «fontaine à champagne» -, devant un président américain médusé.
Allah dans la caserne
Le gouvernement a peut-être trouvé une solution pour que les musulmans du quartier Barbès à Paris ne prient plus dans le caniveau. Une caserne désaffectée depuis quatre ans et située sur le boulevard Ney est proposée comme lieu de culte provisoire par les autorités. Bonne idée, non? Il n’y a rien de plus proche d’un lieu de culte qu’une caserne. C’est le meilleur endroit pour croire aveuglément et obéir sans réfléchir. Bravo, on est pour!
Deux salles de 1200 et 800 m2 pourraient accueillir jusqu’à 2700 fidèles. Les frais d’aménagement et d’entretien seraient à la charge des associations cultuelles qui géreraient le lieu. Elles devraient par ailleurs payer un loyer. Parfait? Presque.
Dalil Boubakeur, le recteur de la mosquée de Paris tempère notre enthousiasme dans Le Figaro: «l’Etat, très à l’écoute de la population musulmane, sait pertinemment que l’on n’installe pas un lieu de prières, qui touche à l’intime et à la sacralité, comme on organise un bal populaire. Certains représentants des fidèles émettent encore quelques réserves. Nous sommes encore en phase exploratoire». Certes, il ne s’agit pas d’accepter n’importe quoi à n’importe quelle condition, mais, dans le pire des cas, il vaudrait encore mieux que la prière ressemble à «un bal populaire» qu’à une manif de motocrottes…
Parmi les objections, il y a le fait que le bâtiment n’est pas orienté vers la Mecque… La rue Myrha, où prient actuellement les fidèles n’est pas non plus orientée vers la Mecque. Ca n’empêche pas les croyants de se tourner dans le bon sens pour prier. Le vrai problème ne réside pas dans ce genre de détail. Le vrai problème, c’est la lutte que vont se livrer les différents courants de l’islam pour contrôler ce nouveau lieu de pouvoir et d’influence. Si le projet échoue, ce ne sera pas à cause de la taille du paillasson à l’entrée de la mosquée, mais à cause de la taille de l’ego des curés.
Charb
Deux salles de 1200 et 800 m2 pourraient accueillir jusqu’à 2700 fidèles. Les frais d’aménagement et d’entretien seraient à la charge des associations cultuelles qui géreraient le lieu. Elles devraient par ailleurs payer un loyer. Parfait? Presque.
Dalil Boubakeur, le recteur de la mosquée de Paris tempère notre enthousiasme dans Le Figaro: «l’Etat, très à l’écoute de la population musulmane, sait pertinemment que l’on n’installe pas un lieu de prières, qui touche à l’intime et à la sacralité, comme on organise un bal populaire. Certains représentants des fidèles émettent encore quelques réserves. Nous sommes encore en phase exploratoire». Certes, il ne s’agit pas d’accepter n’importe quoi à n’importe quelle condition, mais, dans le pire des cas, il vaudrait encore mieux que la prière ressemble à «un bal populaire» qu’à une manif de motocrottes…
Parmi les objections, il y a le fait que le bâtiment n’est pas orienté vers la Mecque… La rue Myrha, où prient actuellement les fidèles n’est pas non plus orientée vers la Mecque. Ca n’empêche pas les croyants de se tourner dans le bon sens pour prier. Le vrai problème ne réside pas dans ce genre de détail. Le vrai problème, c’est la lutte que vont se livrer les différents courants de l’islam pour contrôler ce nouveau lieu de pouvoir et d’influence. Si le projet échoue, ce ne sera pas à cause de la taille du paillasson à l’entrée de la mosquée, mais à cause de la taille de l’ego des curés.
Charb
L’increvable mensonge nucléaire
Comme chacun le sait, ou devrait le savoir, le nuage radioactif qui s’est malencontreusement échappé de la centrale de Tchernobyl et qui a survolé la France en 1986 n’a eu aucune conséquence sur notre santé. L’Etat l’a dit, la justice est venue le confirmer. Vous n’êtes pas convaincu? Vous vous rendez responsable de blasphème contre l’atome. Comme ces deux professeurs, Pierre-Marie Bras et Gilbert Mouthon qui ont enquêté pour savoir si les particules radioactives ukrainiennes qui ont généreusement assaisonnée l’île de beauté ont eu un impact sur la santé de la population. Ils n’ont rien à signaler d’autre que la multiplication des troubles thyroïdiens après 1986. En moyenne, ils ont augmenté de 44%. Dans certains cas, la hausse est de 100%. Chopper le cancer de la thyroïde en Corse ne serait donc pas une coutume locale…
Pourquoi la France rechigne tant à reconnaître les dégâts causés par le nuage de Tchernobyl? Après tout, ce nuage n’est même pas issu du ventre toujours fécond de nos centrales nucléaires. Nos centrales nucléaires, les plus sures du monde! Alors? S’agit-il de couvrir les bavures des responsables politiques et scientifiques de l’époque? Ils sont tous mourants ou à la retraite…
La France ne reconnaîtra jamais que l’explosion de la centrale de Tchernobyl a causé une catastrophe sanitaire en France, parce que ce serait une mauvaise publicité pour le nucléaire. S’il avait été possible de taire l’ampleur de l’accident de Fukushima, le gouvernement français l’aurait fait. D’ailleurs, il a tenté de le faire, mais la récitations de mantras destinés à rassurer tout le monde n’a pas suffit. Les moyens de s’informer en 2011 ne sont pas les mêmes qu’en 1986. Si demain, les eaux françaises étaient baignées par le liquide radioactif qui s’est échappé de la centrale de Fukushima, les autorités françaises tenteraient encore de minimiser les risques pour la santé.
Le lobby du nucléaire protégera jusqu’au bout son plus que très rentable gagne-pain. La France est un Etat laïc si l’on excepte le culte du nucléaire… N’oublions pas que le nucléaire n’est encore aujourd’hui qu’une technologie prometteuse, mais absolument pas au point. On a mis sur le marché des centrales nucléaires avant qu’elles fonctionnent parfaitement. Elles ne résistent finalement ni aux tremblements de terre, ni aux tsunamis, ni aux mensonges d’Etat…
Charb
Pourquoi la France rechigne tant à reconnaître les dégâts causés par le nuage de Tchernobyl? Après tout, ce nuage n’est même pas issu du ventre toujours fécond de nos centrales nucléaires. Nos centrales nucléaires, les plus sures du monde! Alors? S’agit-il de couvrir les bavures des responsables politiques et scientifiques de l’époque? Ils sont tous mourants ou à la retraite…
La France ne reconnaîtra jamais que l’explosion de la centrale de Tchernobyl a causé une catastrophe sanitaire en France, parce que ce serait une mauvaise publicité pour le nucléaire. S’il avait été possible de taire l’ampleur de l’accident de Fukushima, le gouvernement français l’aurait fait. D’ailleurs, il a tenté de le faire, mais la récitations de mantras destinés à rassurer tout le monde n’a pas suffit. Les moyens de s’informer en 2011 ne sont pas les mêmes qu’en 1986. Si demain, les eaux françaises étaient baignées par le liquide radioactif qui s’est échappé de la centrale de Fukushima, les autorités françaises tenteraient encore de minimiser les risques pour la santé.
Le lobby du nucléaire protégera jusqu’au bout son plus que très rentable gagne-pain. La France est un Etat laïc si l’on excepte le culte du nucléaire… N’oublions pas que le nucléaire n’est encore aujourd’hui qu’une technologie prometteuse, mais absolument pas au point. On a mis sur le marché des centrales nucléaires avant qu’elles fonctionnent parfaitement. Elles ne résistent finalement ni aux tremblements de terre, ni aux tsunamis, ni aux mensonges d’Etat…
Charb
Opinião - A incapacidade para estarem sozinhas (e caladas)
É oficial: não vou mais ao cinema. Já não é possível ir ao cinema sem sair de lá com uma irritação & dor de garganta. As pessoas já não conseguem ficar caladas durante duas horas. Têm um duende, algures no ombro, a dizer "tens de falar, tens de conversar, fala, conversa, dá uma piada, fala, dá uma risada parva, fala outra vez, ai que bom". E já não estamos a falar apenas de adolescentes. Ontem, um grupo de trintonas achava que podia transformar a fila F num café de bairro. Fui obrigado a explicar-lhes que, com certeza, podíamos bater um papinho, não me importava, mas só depois do filme acabar, o café é lá fora, meus amores. Acreditam que ficaram ofendidas? Depois, ao meu lado, uma senhora de idade começou a explicar o filme ao neto. Eu tentei explicar-lhe que existe uma linha na areia entre a casa dela e o cinema público, e que, por isso, ela tinha de estar caladinha. Acreditam que ficou ofendida? Eu, o tipo que estava calado, é que estava a ser mal-educado.
É oficial: a nuvem (telemóveis & net) anda a dizimar a inteligência e o bom senso da malta. De forma generalizada, as pessoas estão a perder a capacidade para estarem sozinhas e caladas. E não é só no cinema. É em todo o lado. Uma pessoa vai ao restaurante e parece entra num big brother. O "Francisco" chega 5 minutos antes da "Joana". Acham que ele consegue ficar sozinho e calado nesses 5 minutos a olhar, sei lá, para a ementa? Claro que não: pega de imediato no telemóvel. No processo, todas as pessoas num raio de 10 metros ficam a saber que o "Francisco" e a "Joana" têm problemas na cama. Caro "Francisco", era escusado, não? E esta telenovela mexicana repete-se em todo o lado. No café, na frutaria, na fila do Pingo Doce, nos correios. Uma ida à rua passou a ser uma ida à intimidade do "Fransciso", da "Joana", do "Marco", da "Dona Laurinda". Caramba, calem-se um pouco.
Há dias, no consultório, vi uma morena giríssima (sim, eu sei: "morena gira" é um pleonasmo, mas hoje é sexta-feira) a ler Joseph Conrad. Confesso que tive um orgasmo literário e, por breves momentos, reconciliei-me com a espécie. Por breves momentos, voltei ao tempo em que as pessoas liam em silêncio, ao tempo em que as pessoas sabiam estar caladas e sozinhas.
Henrique Raposo (www.expresso.pt)
OVNIs: dia da revelação dos segredos está a chegar
O Governo da Grã-Bretanha divulgou mais 34 arquivos «secretos», com nove mil páginas, sobre alegados avistamentos de OVNIs (Objectos voadores não identificados), avança a BBC. Os documentos foram recolhidos entre 1985 e 2007. Vão estar disponíveis para download durante 30 dias.
David Clarke, consultor dos Arquivos Nacionais, considera que «era importante revelar mais documentação sobre o assunto».
Num dos ficheiros agora divulgados, por exemplo, um comandante militar prevê que a população ficaria decepcionada se soubesse que devido a falta de verbas os alegados «avistamentos» não estavam a ser investigados pelas autoridades.
Mas, nas páginas agora disponíveis são também descritos diversos casos. Como, por exemplo, o avistamento de várias pessoas de um OVNI no festival de Glastonbury, em 2003.
David Clarke, consultor dos Arquivos Nacionais, considera que «era importante revelar mais documentação sobre o assunto».
Num dos ficheiros agora divulgados, por exemplo, um comandante militar prevê que a população ficaria decepcionada se soubesse que devido a falta de verbas os alegados «avistamentos» não estavam a ser investigados pelas autoridades.
Mas, nas páginas agora disponíveis são também descritos diversos casos. Como, por exemplo, o avistamento de várias pessoas de um OVNI no festival de Glastonbury, em 2003.
11.8.11
CLASSICOS DO CINEMA PORTUGUÊS (5/9) - O PÁTIO DAS CANTIGAS
"O PÁTIO DAS CANTIGAS" - PARTE 5 DE 9
PHOTO - ROBERT DOISNEAU
Le Paris nostalgique, magique et enchanté sous l'appareil De Robert Doisneau
CLASSICOS DO CINEMA PORTUGUÊS (4/9) - O PÁTIO DAS CANTIGAS
"O PÁTIO DAS CANTIGAS" - PARTE 4 DE 9
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