C'est la double peine pour le groupe dirigé par Christophe de Margerie : le 25 septembre, la Cour de cassation a confirmé la responsabilité pénale du pétrolier français, mais a également retenu sa responsabilité civile dans le naufrage de l'Erika au large des côtes bretonnes, en décembre 1999. Une victoire totale et absolue, selon les avocats des parties civiles.