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5.5.12

Mélenchon appelle à une défaite "profonde" de Sarkozy


Un dernier pour la route. Le Front de gauche, dont le candidat Jean-Luc Mélenchon a obtenu 11,11% des suffrages au premier tour, a clôturé vendredi soir la campagne pour la présidentielle avec un rassemblement place Stalingrad, à Paris, à l'endroit même où son leader avait prononcé son premier discours de candidat en juin dernier. Mot d'ordre : « Chassons Sarkozy ! ».
Comme prévu, Jean-Luc Mélenchon, qui est monté sur scène la mine renfrognée, comme si le souvenir amer de la soirée électorale du premier tour, qu'il avait passée sur cette même place Stalingrad, lui était soudain revenu en mémoire, a pris la parole à 19h30. Savourant l'accueil chaleureux qui lui a été réservé, l'ex-candidat du Front de gauche a fait le bilan de sa campagne avant de se lancer dans une explication pédagogique du vote du dimanche 6 mai.
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FRANCE SOIR

Petit sarko, en désespoir de cause, s'en prend aux journalistes... (Video)




Mardi, c’est une journaliste de Mediapart qui a été prise à partie par des militants lors de la fête du travail de Nicolas Sarkozy au Trocadéro, à Paris. Jeudi, ce sont deux journalistes de BFM TV qui ont été agressés en marge du meeting du candidat UMP à Toulon, l’un d’entre eux ayant reçu, en plus d’insultes, une bouteille d’eau sur le visage.
Après avoir expliqué ce vendredi qu’il n’avait «jamais attaqué la presse», Nicolas Sarkozy a tout de même affirmé sur Europe 1 qu’il comprenait «l’exaspération vis-à-vis des journalistes». Et quelques heures plus tard, lors d’une réunion publique aux Sables-d’Olonne, le candidat UMP a illustré ses propos, s’en prenant à un journaliste qui effectuait un plateau en direct pendant le discours: «Si notre ami qui fait un direct en me tournant le dos pouvait s’arrêter, ça m’arrangerait», lance Nicolas Sarkozy, visiblement agacé.
Après avoir laissé la salle siffler le journaliste en question, il poursuit: «La politesse n’est qu’une question d’éducation, et s’il y a eu quelque manquement, nous y porterons remède.»
Coïncidence? BFM TV a diffusé un communiqué de presse vendredi après-midi, pour rappeler que si «les médias, autant que les hommes politiques, doivent pouvoir accepter la critique, BFM TV tient à rappeler que la protection des journalistes ne saurait en aucun cas être remise en cause. La direction de BFM TV en appelle au Conseil supérieur de l’audiovisuel, garant du pluralisme de l’information dans l’audiovisuel, pour qu’il rappelle l’exigence intangible et non négociable du respect de la liberté de la presse pour la bonne tenue du débat démocratique.»
Nicolas Bégasse

Un équilibriste traversera les chutes le 15 juin


NikWallenda

« La marche devrait prendre 35 à 40 minutes, mais si le fil est solide et que la météo est bonne, je pourrais passer plus de temps là-bas », a déclaré mercredi M. Wallenda.
NIAGARA FALLS, Ont. – L'équilibriste Nik Wallenda traversera les chutes du Niagara le 15 juin prochain, sur un fil de cinq centimètres.
« La marche devrait prendre 35 à 40 minutes, mais si le fil est solide et que la météo est bonne, je pourrais passer plus de temps là-bas », a déclaré mercredi M. Wallenda devant un parterre de journalistes canadiens et américains et les équipes de télévision.
Il s’agira de la première traversée des chutes en plus d’un siècle. Le contrat a été signé avec la Commission des parcs de Niagara et la New York State Parks.
Il reste à déterminer à quelle heure la marche au-dessus des chutes Niagara se déroulera et cela dépendra des discussions en cours avec un réseau national de télévision aux États-Unis, qu’on croit être ABC.
« En fin de soirée est ce que nous envisageons, mais nous n'avons pas encore déterminé le moment, a dit l’équilibriste. Cela fait partie des négociations avec le réseau. »
Le câble construit à cet effet sera tendu entre deux grues mises en place à Table Rock au Canada, et sur Goat Island à New York.
« Nous ne sommes pas certain de la direction que nous allons prendre, a déclaré M. Wallenda. Cela sera déterminé en fonction de la température. »
LE JOURNAL DE QUEBEC

4.5.12

Résultat de la Présidentielle en France, dimanche prochain, dès dix-huit heures, sur ce blog


Dimanche prochain, dès dix-huit heures (heure de France), ce blog publiera une estimation très proche de la réalité du résultat de la Présidentielle en France.
JMIRA

Jean Charest: «Ça va bien se passer »


charest conseil

Même si la tension est palpable, le premier ministre estime que le conseil général du Parti libéral du Québec à Victoriaville se déroulera dans l’ordre.

«Ça va bien se passer», a lancé Jean Charest à son arrivée à Victoriaville, où le conseil général se tiendra sous haute surveillance policière, dans un climat d’appréhension de manifestations étudiantes.
Refusant de parler de dénouement possible ce week-end, le chef libéral indique toutefois que la tenue d’une réunion au sommet entre la ministre de l’Éducation, les associations étudiantes et les représentants des établissements d’éducation post-secondaire, présentement en cour à Québec, constitue un signe encourageant.
«Aménager un espace de discussion c’est déjà en soi une bonne chose. Et de le faire dans un environnement respectueux et apaisé, c’est ce que nous voulons», a déclaré Jean Charest.
Il reconnaît que le contexte demeure tendu, mais a tout de même envoyé le signal qu’il n’était pas trop affecté par la crise.
«Ça fait partie de la vie politique, qu’il y ait des moments comme ça, plus intense. Espérons que ça se passe bien, en fait, je pense que ça va bien se passer», a-t-il ajouté.
Alors que des autobus remplis de manifestants entrent dans la ville, M. Charest s’est dit heureux, à tout le moins, de renouer avec ses militants, dans le cadre du conseil général.
«On va beaucoup parler d’avenir. Pour nous qui aimons la politique passionnément, c’est un moment fort dans notre vie quand on a des conseils généraux, de retrouver nos militants.»
LE JOURNAL DE MONTREAL

10 raisons pour ne pas voter sarko



CHARLIE HEBDO

L'image du jour 04-05-2012 - "KASS'-TOI PAUV' CON!

Até à próxima!

"Kass'-toi, pauv' con!"

Photo - Enfant du Vénézuela



"Venezuela" - Carlos Garcia Rawlins

3.5.12

Résultat de la Présidentielle en France, dimanche prochain, dès dix-huit heures, sur ce blog





Dimanche prochain, dès dix-huit heures, ce blog publiera une estimation très proche de la réalité du résultat de la Présidentielle en France.
JMIRA

L'image du jour 03-05-2012

Le volcan mexicain Popocatepetl crache de la cendre Le volcan mexicain Popocatepetl crache de la cendre
Le volcan Popocatepetl a craché dans les airs un nuage de cendres et de vapeur, à seulement 12 km de la ville de Santiago Xalizintla, les faubourgs de Puebla, au Mexique. REUTERS/Imelda Medina

Militant UMP: "L'antisarkozysme est trop présent, on le sent bien..."





Les 8.000 personnes venues assister au dernier grand meeting de Nicolas Sarkozy du Zénith de Toulon, jeudi, scandent: «on va gagner, on va gagner!» Suzanne, une retraitée, glisse, l’air las: «c’est la méthode Coué». Elle, comme bon nombre de sympathisants, disent encore «espérer» une victoire de leur champion mais le cœur n’y est plus.
>> Revivez le discours de Nicolas Sarkozy àToulon en direct par ici
La faute aux «médias», développe Suzanne, qui «veulent influencer» le vote. Mais un peu aussi au débat de mercredi soir qui n’a pas permis à Nicolas Sarkozy de s’imposer. «Il a été très bon mais il n’a pas su faire la différence, admet Bastien, membre du syndicat étudiant de droite Uni. C’est vrai que François Hollande était en forme.» Il le dit sans détour: une victoire dimanche soir «tiendrait du miracle». «Tous ceux qui tractent pensent comme moi. L’antisarkozysme est trop présent, on le sent bien.»
«Hollande a mis à plat Sarkozy»
Même pessimisme chez Mireille, une retraitée du département. «Avant le débat, j’y croyais encore. Mais Hollande a mis à plat Sarkozy», lâche celle qui se dit «déçue» que le candidat socialiste «se défende aussi bien». «Il n’était pas mou du tout.» «Il était préparé, c’est tout», la coupe son mari, Raymond. Lui veut encore croire à la victoire mais admet que «ça sera juste, dans les 50% virgule quelque chose.» Il a trouvé Hollande «arrogant». «Il coupait tout le temps la parole» mais regrette que Nicolas Sarkozy «n’ait pas mieux conclu».
Chez les pontes de l’UMP, le scepticisme se traduit par une prudence de bon aloi. «Ca va être très serré de toute façon, estime la députée Valérie Rosso-Debord. Mais comme en 74 pour VGE, il y a toujours une voie de passage.» A la tribune, Nicolas Sarkozy conclut en un appel à «construire l’immense vague qui va submerger ceux qui ne connaissent rien au peuple de France». Quelques minutes plus tard, depuis Paris, François Bayrou a annoncé qu’il voterait, à titre personnel, pour François Hollande. A Toulon, le président de la République n’aura donc pas empêché la digue de s’épaissir.
Alexandre Sulzer, à Toulon - 20 MINUTES 

Présidentielle : François Hollande, vainqueur du débat


François Hollande lors du débat télévisé le 2 mai 2012

Alors, qui a convaincu les plus de 17 millions de téléspectateurs qui ont regardé le débat télévisuel de mercredi soir? François Hollande largement, selon une étude réalisé jeudi par CSA pur 20 minutes, BFMTV et RMC. Dans ce sondage, 44% des personnes interrogés après le duel télévisés estiment que le candidat socialiste a été «le plus convaincant». Seulement 38% donnent le nom de Nicolas Sarkozy et 15% répondent «Ni l’un, ni l’autre». Ce rapport de force est quasiment l'inverse des premiers sondages au lendemain du débat de 2007 (48% pour Sarkozy, 35% pour Royal).


Un désaveu pour Nicolas Sarkozy qui avait expliqué en petit comité qu'il allait «exploser» François Hollande...
20 MINUTES

Le centriste Bayrou votera Hollande




Le dirigeant centriste a précisé qu'il laissait libres ses électeurs de voter pour le candidat socialiste ou le président sortant Nicolas Sarkozy dimanche prochain.
«Je ne veux pas voter blanc, cela serait de l'indécision et dans ces circonstances, l'indécision est impossible. Reste le vote pour François Hollande, c'est le choix que je fais», a déclaré le président du Mouvement Démocrate (Modem) lors d'une déclaration à son siège de campagne, à Paris.
Le dirigeant centriste a précisé qu'il laissait libres ses électeurs de voter pour le candidat socialiste ou le président sortant Nicolas Sarkozy dimanche prochain. Il s'est toutefois livré à une charge virulente contre Nicolas Sarkozy, lui reprochant la «violence» de sa stratégie d'entre-deux-tours et sa «course- poursuite» à l'extrême droite.
LA TRIBUNE DE GENEVE
Cette annonce pourrait être le coup de grâce pour le président sortant, qui n'a pu obtenir le ralliement d'aucun des trois premiers éliminés du premier tour.
Les jeux sont faits
Par ailleurs, le duel télévisé de mercredi entre Nicolas Sarkozy et François Hollande, présenté comme la dernière chance pour Nicolas Sarkozy de refaire son retard sur le candidat socialiste, n'a pas fait bouger le rapport de forces dans les sondages d'opinion.
Trois enquêtes réalisées après cette confrontation âpre entre les deux finalistes et publiées jeudi donnent à penser que les jeux sont faits, trois jours avant l'échéance. François Hollande a été jugé plus convaincant que Nicolas Sarkozy lors du débat par 45% des sondés, 41% étant d'un avis inverse, dans un sondage LH2 pour Yahoo.

Le débat - tension: Petit sarko mis sur le reculoir -- Hollande marque des points


Atmosphère tendue dès le début de l’affrontement télévisuel entre François Hollande et Nicolas Sarkozy. Les deux finalistes de l’élection présidentielle avaient manifestement envie d’en découdre. Et le climat politique dégradé, violent de cette fin de campagne, planait aussi dans le sinistre studio de télévision accueillant le débat. Sur la forme, le président-candidat fut pugnace, accrocheur, cherchant constamment le combat. A l’offensive mais aussi, souvent, sur la défensive. François Hollande, nettement plus serein, n’a pas esquivé, loin de là, n’hésitant pas à faire monter la pression et à attaquer lui aussi. Parfois brutalement et avec une vraie gourmandise. Toujours prompt à dégainer quelques formules bien senties : «Vous aurez du mal à passer pour une victime» ; «ce n’est jamais de votre faute» ; «vous êtes toujours content de vous». Car, sur le fond, tel aura été le grand paradoxe de ce débat : le refus constant d’assumer le bilan du quinquennat, le «conseiller à la Cour des comptes» François Hollande ayant toujours beau jeu d’opposer aux propositions de Nicolas Sarkozy les piteux résultats des politiques publiques qu’il a mises en œuvre. Et, au-delà, les dix dernières années de droite au pouvoir. Enfin, par rapport à 2007, et en dépit d’une réalisation digne de la télévision époque ORTF, la dynamique propre du débat aura permis d’éviter la juxtaposition des langues de bois, le choc des slogans creux. Et, à ce jeu-là, François Hollande a marqué bien des points.
Nicolas Demorand

Le grand débat - Petit sarko/Hollande : "Moi, président de la République..."



Extrait:

Et voici comment Hollande souhaite exercer son mandat: "Je veux être un président qui respecte les Français, qui ne veut pas être chef de tout en en définitive de rien", assure-t-il. "Moi, président de la République, je ne traiterai pas mon premier ministre de collaborateur. Moi, président de la République, je ne participerai pas à des collectes de fonds pour mon parti dans un hôtel parisien. Moi, président de la République, je ferai en sorte que mon comportement soit exemplaire. Je ferai réformer le statut pénal du chef de l’Etat. Je constituerai un gouvernement paritaire, les ministres ne pourraient pas cumuler avec un mandat local. Je ferai en sorte que les partenaires sociaux soient considérés. J’engagerai de grands débats, celui de l’énergie. J’introduirais la représentation proportionnelle. J’essaierai d’avoir de la hauteur de vue."

(A-t-il fait exprès? car c'est, me semble-t-il, tout le contraire de ce qu'est "Petit sarko". Bien vu!)