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16.4.12

Sarkozy cache sa montre suisse à ses militants (video)

Alors qu'il saluait la foule sur la place de la Concorde dimanche, le président candidat a pris soin d'enlever sa montre à 65'000 francs (suisses...) avant de la ranger dans sa veste.

Avant son discours dimanche, Nicolas Sarkozy a serré les mains de ses militants sur la place de la Concorde. Peut-être par peur d'un pick-pocket, le président s'est arrêté pour enlever sa montre de l'horloger suisse Patek Philippe, d'une valeur de 65'000 francs, d'après le Nouvel Observateur. Une montre en or blanc qui lui a été offerte par son épouse Carla Bruni en janvier 2008. Mais Nicolas Sarkozy a pris des risques en la plaçant dans sa veste.
LA TRIBUNE DE GENEVE


La contre-offensive des fan(d)as de "'ti-sarko" ne s'est pas fait attendre. Ils ont publié ce vidéo-montage pour faire croire qu'en fait le candidat-président aurait été victime d'un pseudo pick-pocket. C'est gros, non? Désespoir, quand tu nous tiens!!! 
JMIRA

Le dessin du jour 16-04-2012




HERRMAN
LA TRIBUNE DE GENEVE

Montréal. Actes de sabotage dans le métro

metro montreal

L'image du jour 16-04-2012

Attaque sur l'ambassade britannique à Kaboul

Attaque sur l'ambassade britannique à Kaboul
Un policier afghan en pleine riposte après l’attaque d’un bâtiment de l’ambassade britannique par un groupe de Talibans ce dimanche. REUTERS/Omar Sobhani

15.4.12

Panique à l'Elysée: Petit Sarko donné battu dans tous les sondages!


Cartoon: Sarkozy Caricature (medium) by hualpen tagged sarkozy
C’est un coup de poignard qui ne va sans doute pas éloigner les nuages noirs qui planaient déjà sur l’équipe de campagne élyséenne. Jeudi soir, Sarkozy, avait mis en cause le "Financial Times" pour sa défense du modèle libéral anglo-saxon, mais surtout pour son appui à François Hollande sur l’adoption d’une stratégie de croissance en Europe.
Le journal a répliqué sans prendre de gants : "Eh bien, nous ne t'aimons pas non plus, Sarko". Et l’organe central de la finance continue et ironise sur la stratégie sarkozyste : "L'économie française est tellement solide au regard du président qu'il a mis en garde les Français cette semaine contre un scénario 'à la grecque' si son rival socialiste était élu." Avant d'ajouter "qu'aucun sondage depuis des mois n'a donné Sarkozy vainqueur".
C’est qu’à l’Elysée la rafale de sondages des derniers jours n’incite pas à l’optimisme sur ses chances de réélection. Car ce n’est pas seulement sa réélection qui est compromise, mais même sa place au premier tour. Et pourtant, Dieu sait s’il avait misé gros sur ce croisement de courbes qui, certes, eut le lieu, mais ne dura que ce que durent les roses.
Désormais, dans l'équipe de campagne en proie au blues, on a fait une croix sur le premier tour. Sarkozy lui-même le laisse entendre : "Au soir du premier tour, on s'attaquera au second tour. Et vous verrez, il y aura une grande surprise !", a promis vendredi matin sur i>Télé le candidat UMP.
Une campagne dans le flou
Alors, on peut toujours imaginer une grande surprise, mais, en l’attendant, dans l’équipe de campagne, on critique à mots couverts les à-coups de cette stratégie. Une stratégie qui au fil de la campagne semble se brouiller : Sarkozy se contredit. Comment faire en même temps des œillades à l’électorat de Marine Le Pen et à celui de François Bayrou, sans risquer ce "flou" que l’UMP reprochait il n’y a pas si longtemps à Hollande ? Car ses réserves sont beaucoup plus maigres qu’en 2007. Il y a cinq ans, son score additionné à ceux obtenus au premier tour par Nihous et de Villiers s’élevait à 34 %.
Or, cette fois, il n’est même pas sûr de pouvoir compter sur la totalité des voix de Nicolas Dupont-Aignan qui a fait une campagne très antisarkozyste. Selon le dernier sondage BVA, il n'a pas encore les reports de voix suffisants pour espérer l'emporter le 6 mai : 51 % des électeurs de Marine Le Pen choisiraient de se reporter sur lui et seuls 29 % des électeurs de François Bayrou décideraient d'en faire autant.
Pendant ce temps, François Hollande, lui, ne dévie pas de la route qu’il s’est tracée : "Je pense que les Français veulent avoir un président qui, non pas leur ressemble, mais qui soit capable de donner une autre relation avec le pays, une relation de confiance, de respect, de considération. Le mot-clé, c’est la considération. Il y a un moment, ce qui compte, c’est la nation plus que l’égotisme. On a tellement souffert de cette dérive personnelle, tellement été même gênés par cette espèce d’exhibition permanente, de dévoilement", déclarait-il hier à "Libération".
LE NOUVEL OBS

L'image du jour 15-04-2012

Vladimir Poutine célèbre la Pâque orthodoxe Vladimir Poutine célèbre la Pâque orthodoxe
Le premier ministre russe, élu président, Vladimir Poutine assiste à l’office de la Pâque orthodoxe, à l‘église du Christ Sauveur à Moscou. REUTERS/Maxim Shemetov

¿Qué es un bistró?


¿Qué es un bistró?

Sí, es un término muy usado pero a diferencia de la palabra restaurantes, son pocos los que conocen su origen. Entonces ¿Qué es un bistró?
El término bistró se emplea para referirse a un establecimiento pequeño con una oferta de platos bastante acotada, que se muestra en una pizarra colgada de las paredes. Acostumbran a tener un plato del día, son más baratos que los restaurantes y se caracterizan por tener una atención informal.
Es, por decirlo de alguna manera, el hermano menor de un restaurante. Actualmente hay un auge de estos “boliches” en toda Francia, un fenómeno llamado “bistronomie”, que responde a las menores exigencias de servicio y administración, que tienen los negocios de estas características, a todas luces, más sencillos.
Pero la etimología del nombre “bistró” quizás sea lo más interesante. Parece ser que durante las guerras napoleónicas, cuando el ejército ruso invadió Francia, los soldados que se sentaban a comer y gritaban “¡bwystra!” (“rápido” en ruso), para ser atendidos con celeridad. De ahí, se dice que deriva la muy francesa palabra bistró…
CLARIN -ARGENTINA

14.4.12

Présidentielle. A Marseille, Mélenchon fait l'éloge du métissage et attaque le FN


Jean-Luc Mélenchon lors de son meeting à Marseille, le 14 avril 2012.

Après la Bastille à Paris et la place du Capitole à Toulouse, Jean-Luc Mélenchon a déplacé les foules samedi à Marseille, où plusieurs dizaines de milliers de personnes ont assisté au meeting du leader du Front de gauche sur les plages de la ville.

Une affluence de 120.000 personnes

Sur les plages du Prado, le candidat à l'élection présidentielle a effectué une nouvelle démonstration de force à huit jours du premier tour du scrutin. Le Front de gauche, qui avait tablé sur une assistance de 50.000 personnes, a tenu son pari. Pour mobiliser large, il avait affrété près de 200 autocars dans tout le Sud-Est, installé une puissante sonorisation et quatre écrans géants pour accueillir la foule.

>> La fiche de Jean-Luc Mélenchon par ici

Selon les organisateurs, 120.000 personnes, une affluence comparable au meeting de la Bastille, sont venues écouter dans les quartiers Sud et plutôt huppés de la ville Jean-Luc Mélenchon exposer sa «révolution citoyenne de la VIe République» dont la principale force, dit-il, est «que (nos) adversaires n'y comprennent rien».

Marseille, la «troisième marche»

A la veille des meetings en plein air de Nicolas Sarkozy et de François Hollande, qui seront respectivement dimanche à la Concorde et au bois de Vincennes, Jean-Luc Mélenchon a ironisé sur ce qu'il considère comme une «imitation» des méthodes du Front de gauche de la part des deux candidats en tête dans les sondages. Le Front de gauche a lancé une «mode suffisamment puissante», a estimé le député européen pour que, «par imitation», ses adversaires sortent des «salles obscures où ils s'attroupaient pour tâcher de faire aussi bien que nous».
Qualifiant le meeting marseillais de «troisième marche» vers la VIe République après celles de la Bastille et de Toulouse, Jean-Luc Mélenchon a dit vouloir une «République sociale» qui mette fin à «la monarchie absolue du patronat» dans l'entreprise. «C'est la classe ouvrière qui est la classe d'intérêt général et la classe d'intérêt patriotique dans ce pays, a-t-il déclaré. Il ne sert à rien d'élire un gouvernement de gauche si ce n'est pas pour le faire.»

Jean-Luc Mélenchon a appelé les syndicats français à un «1er mai stupéfiant d'unité et de puissance». «S'ils nous en donnent la consigne, nous mettrons un point d'honneur à être les premiers sous les bannières des syndicats», a-t-il promis.

Mélenchon salue Marseille la «métissée»

Fustigeant les débats sur «les frites molles et la viande halal» dans les cantines scolaires, il a estimé que le Front de gauche avait le seul programme proposant une «nouvelle extension du droit des travailleurs», notamment par un «droit de continuité» pour une «sécurité sociale professionnelle» qui garantirait la continuité des droits des travailleurs en maladie ou au chômage.
Dans la cité phocéenne, qui «a donné à la France son hymne national», une ville «métissée, mélangée», le natif de Tanger a livré un discours plus personnel, faisant de la Méditerranée le «socle et l'identité républicaine de la patrie».

Celui que les sondages présentent comme un potentiel «troisième homme» du scrutin a réaffirmé son opposition aux «partis extrémistes de la haine», sans jamais citer le Front national de Marine Le Pen auquel il dispute la troisième place du premier tour de l'élection et qui a fait du Sud-est de la France l'une de ses terres d'élection.

Bayonne gagne le derby... et le droit d'y croire


Bayonne gagne le derby - Rugby - Top 14

Rien ne laissait supposer que l’intensité dramatique du 101e derby basque entre Bayonne et Biarritz serait moindre que le 100e. Chiffre symbolique ou non, ce type de matche livre forcément une part d’enseignements. Et l’Aviron bayonnais avait tout intérêt à posséder au moins un petit point d’avance au coup de sifflet final prononcé par l’arbitre. Finalement, ils en ont eu cinq. En cas de défaite, les Ciel et Blanc pouvaient précipiter leur descente en Pro D2. Avec cette victoire, les Bayonnais reviennent à trois points de Bordeaux-Bègles, qui se déplace ce samedi soir à Castres. De quoi garder quelques espoirs à trois journées de la fin. Un petit "ouf" de soulagement, au terme d’une partie rythmée par des fautes. Des fautes, et encore des fautes.
Bayonne tournait à la mi-temps avec une petite avance (18-12), où tous les points inscrits l’étaient sur pénalité. D’un côté, Jacques-Louis Potgieter - titulaire à la place de Benjamin Boyet, blessé - a livré un festival au pied, avec un 6/6 à la pause (7e, 10e, 21e, 27e, 32e, 42e). Un chiffre digne de… Dimitri Yachvili, le buteur adverse, pas en reste non plus avec un 4/4 face aux poteaux. L’Aviron menait même 15-6 à la 32e, avant de commettre quelques fautes dans son camp, que l’artificier Yachvili se faisait un plaisir de transformer. Mais c’est le BOPB qui offrait trois points bêtement à son adversaire, juste après la sirène. Sur une touche anodine dans les 22m Ciel et Blanc, Guillaume Bernad remontait le terrain, jusqu’aux 22 mètres. Là, Pelu Taele plaquait un peu trop haut au détour d’un regroupement et se voyait puni par Potgieter.
Biarritz marque en vain
A défaut d’avoir été riche en essais (un seul), la deuxième période a eu au moins le mérite d’avoir été le théâtre d’un rythme beaucoup plus soutenu. Même l’Aviron se décidait à envoyer le ballon sur les extérieurs, où Yoann Huget, Cédric Heymans et Marvin O’Connor attendaient le précieux sésame. Le jeu amenant les fautes, Bayonne avait même l’occasion de faire gonfler le score. Pourtant, Potgieter donnait un sacré coup de bambou à ses stats en manquant trois fois la mire. Biarritz trouvait alors le moyen de planter une banderille destinée à suspendre le souffle d’un stade Jean-Dauger médusé. Julien Peyrelongue trouvait un espace dans les 22m bayonnais et donnait à hauteur à Bolakoro qui n’avait plus qu’à filer entre les poteaux (50e, 21-19).
Plus tard, un drop de l’entrant Cédric Garcia finissait de donner le tournis au public ciel et blanc (70e, 24-19). Et ce, malgré une dernière touche pour le BOPB à quelques mètres de la ligne dans les dernières secondes. L’arbitre sifflait une faute biarrote et abrégeait les souffrances d’un peuple. Même si l’heure n’est pas aux sourires et aux effusions de joie, les pensionnaires de Jean-Dauger s’offrent le droit de respirer et d’y croire. Un peu. Pas plus que cela. Mais ils s’en contenteront.

Robert Doisneau


Doisneau dans le ventre de Paris

Robert Doisneau aurait 100 ans ce 14 avril. Une exposition à l'Hôtel de Ville de Paris retrace le parcours du photographe aux Halles, dès les années 1930. Un bel exercice de mémoire collective.
Un jour, aux Halles de Paris, il y eut une otarie. Une des 200 photographies de Robert Doisneau, exposée à l'Hôtel de Ville de Paris, en atteste. A l'heure où les Halles renaissent une fois de plus de leurs cendres, l'exposition retrace le parcours du photographe, dès 1933, au coeur du ventre de Paris, avant que le marché soit installé à Rungis en 1969: architecture, commercants, passants... tout est pris au piège de l'appareil pour garder en mémoire un lieu voué à disparaître.
Doisneau prend les photos comme tout le monde aimerait les prendre. Il saisit la lumière, les mouvements, les regards... et pointe le détail qui fait sourire les nombreux visiteurs venus braver la file d'attente. On ne louera jamais assez le travail de Doisneau.

Rugby: Bayonne fait de la résistance



Bayonne a remporté le derby basque face à Biarritz, samedi lors de la 23e journée du Top 14. (L'Equipe)

Victorieux du derby basque face à Biarritz (24-19), Bayonne s'offre des points précieux en vue du maintien. L'Aviron joue aussi un mauvais tour à son voisin, qui devra patienter pour assurer sa présence en Top 14 l'an prochain. 

Texte - "Oxymore"

OXYMORE

Arrivé à un âge où il sied de faire, sans concession, une introspection des actes commis au long de la vie, j’entends, exceptionnellement, m’arroger le droit de juger un homme. Cette introduction abrupte paraîtrait intempestive si l’homme questionné n’était autre que moi.

Le terme « oxymore » pourrait s’appliquer dans toute l’acception du terme à toutes les associations du personnage: courageux et craintif, point assez lettré mais informé, décidé et parfois hésitant, organisé et quelque fois indolent, communiquant, agoraphile et agoraphobe, timide et décidé, prévenant et égoïste, désintéressé et avare, avare aussi de ses sentiments et parfois exagéré dans les transports, entendant ses semblables au point d’en abstraire son existence, d’un bilinguisme certain, aimant la compagnie et préférant, souvent la solitude.

Est-ce la définition de l’être humain où ces suppositions oxymoriennes pourraient-elles être à l’origine d’un être différent sans idéologie politique aucune sinon celle du bien être de ses semblables, faisant que l’Homme traverse, heureux, la nano-période de son existence matérielle ?

L’exploration de l’Univers est à ses prémices ; nous ne savons presque rien du néant intersidéral dans lequel nous baignons, ignorants ! Nous faisons la guerre aux autres, ceux qui ne nous ressemblent pas – Tous, puisque nous sommes des individus – discriminant arbitrairement, tels des dieux ou architectes visionnaires de l’au-delà ce qui doit être ou pas…« Je pense, donc je suis », « être ou ne pas être ». Réfléchissons.

Rio de Janeiro, 13 de abril de 2012.

JMIRA

L'image du jour 13-04-2012

L'Atlas de l'Espace
La mission Wide-field Infrared Survey
Explorer (WISE) de la Nasa a compilé près de 3 millions d'images
infrarouges depuis 2009, avec une sensibilité jamais égalée. Ci-dessus,
le ciel observable. Le disque central, c'est notre galaxie, la Voie
lactée, qui mesure entre 100.000 et 120.000 années-lumière (la
distance parcourue par la lumière en un an) de diamètre, et abrite
entre 200 et 400 milliards d'étoiles. Seulement 500 millions sont
ici visibles. Pour faire des recherches dans
l'atlas complet, c'est ici.NASA/JPL-CALTECH/WISE

Photo: Le Canal Saint-Martin - Paris

Le canal Saint Martin, toute une histoire...

Le canal Saint-Martin à Paris (auteur inconnu)

13.4.12

Présidentielle: entre petites phrases et grandes polémiques, le résumé en images de cette semaine (video)


Capture d'écran du clip de «Prends le pouvoir sur moi Jean-Luc», 13 avril 2012.


A neuf jours du premier tour du scrutin présidentiel, 20 Minutes a compilé les images les plus marquantes de cette avant-dernière semaine de campagne.
Au menu: de la musique avec le rap de Hollande en banlieue et le tube en devenir «Prends le pouvoir sur moi, Jean-Luc Mélenchon», la voiture de Sarkozy qui file à 200km/h, Cheminade qui se fâche, Ségolène qui se compare à Mélenchon et Philippe Poutou qui se lâche sur le temps de travail et dans son spot de campagne.
20 MINUTES