Les cases ont été anéanties, les toits de tôle ondulée se sont envolés, des poteaux électriques sont tombés à terre, des arbres et bambous ont été brisés… La plupart des routes sont impraticables, les communications extrêmement difficiles. Et ce sont certainement des centaines de personnes qui ont perdu la vie. C’est un paysage cataclysmique qu’offre aujourd’hui Mayotte, le département français le plus pauvre, après le passage du cyclone Chido. La députée de Mayotte Estelle Youssouffa (Liot) a appelé l’Etat à déclarer l’état d’urgence pour « protéger personnes et biens ».
Ce paysage. de désolation montre comment les bidonvilles de Mayotte n’ont pas pu résister à la violence du cyclone Chido.
Une photo prise le 15 décembre 2024 montre la barge inter-îles « Karihani » échouée parmi les débris à Mamoudzou après que le cyclone Chido ait frappé le territoire français de Mayotte dans l’océan Indien
Les bâtiments en dur ont aussi eu du mal à résister au cyclone qui a arraché les toitures et les fenêtres de beaucoup d’immeubles de Mayotte.
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