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Des scientifiques ont découvert le "talon d'Achille" du cancer
Des chercheurs britanniques de Havard, du MIT et de l'University College London ont publié une étude dans la revue "Science" portant sur une découverte majeure pouvant mener à des traitements révolutionnaires "sur mesure" pour les patients atteints de cancer.
Les scientifiques à l'origine de cette avancée croient avoir identifié le "talon d'Achille" des cellules cancéreuses. Le cancer parvient normalement à échapper au système immunitaire.
L'immunothérapie suscite en effet depuis longtemps de grands espoirs en matière de lutte contre le cancer. Mais le problème est la capacité des cellules tumorales à échapper au système immunitaire "naturel" de notre corps. Les antigènes à leur surface, ces fragments de molécules reconnus comme appartenant ou non à notre organisme, peuvent notamment muter de manière rapide et sont en constante évolution afin de ne pas être détectées.
Une fois que cette cible omniprésente chez les cellules tumorales est identifiée, les lymphocytes T, "défenseurs" de notre système immunitaire, peuvent être utilisés comme des missiles à tête chercheuse visant à détruire le cancer.
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http://tempsreel.nouvelobs.com/sante
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29.2.16
Photographie. Liu Bolin, l'art de la dissimulation
Disparaître,c’est protester.
Quand, le 16 novembre 2005, les autorités chinoises procèdent à la démolition du village de Suo Jia Cun et à l’expulsion de ses habitants pour préparer les Jeux olympiques de 2008, elles ne savent pas encore qu’une nouvelle démarche artistique va naître de cet événement. L’atelier de Liu Bolin est détruit ce jour-là ; l’artiste chinois décide alors de “se fondre dans l’environnement”. “Certains diront que je disparais dans le paysage ; je dirais pour ma part que c’est l’environnement qui s’empare de moi.”
Réseaux sociaux. 5 nouvelles émotions sur Facebook – et une tonne de données sur vous
La vie ne pouvait pas se limiter à une réaction. Et si les utilisateurs du réseau social réclamaient depuis des années l’apparition d’un bouton “je n’aime pas”, Facebook leur a donné cinq nouvelles émotions à utiliser à compter du 24 février. On peut désormais commenter d’un “like”, d’un “love”, d’un “triste”, d’un “en colère”, d’un “ahah” et d’un “wow”. Un changement qui peut paraître anodin, “mais ces petits boutons vont entraîner de grands changements”, souligne The Wall Street Journal.
Car là où l’utilisateur voit des émotions, Facebook imagine surtout des données à récolter, explique Slate. “Facebook vous dira qu’il veut juste donner de nouveaux moyens de communiquer et de s’exprimer à ses utilisateurs, prévient le site d’information américain. Mais, comme pour tout ce que fait Facebook, il y a ici un double objectif, et ce second objectif implique les données personnelles. Plus spécifiquement, Facebook va désormais pouvoir en collecter – et en profiter – bien davantage.”
Les publicitaires à l’affût:
L’entreprise de Mark Zuckerberg s’est construite essentiellement sur la collecte et la revente de données personnelles, et le bouton “like” en était déjà un pilier essentiel.“Quand vous ‘likez’ une information sur votre fil d’actualité, cela signifie que vous souhaitez en savoir plus”, indique Slate. Mais, avec cet unique bouton, Facebook ne pouvait pas savoir à quel point vous vouliez en savoir davantage.
Courrier International - France
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