Nombre total de pages vues
13.1.16
12.1.16
Petit Sarko au bord des larmes
Si Nicolas Sarkozy s'est montré offensif, notamment sur la déchéance de nationalité, face aux nouveaux adhérents de son parti samedi, sa cote de popularité s'effrite. En l'espace de deux semaines, le patron des Républicains (LR) a perdu des points dans plusieurs sondages. Dernier en date, le baromètre Ipsos paru lundi soir sur le site du Point le voit chuter de neuf points par rapport à celui de novembre (il n'y en avait pas eu en décembre). Seuls 23% des Français ont une opinion favorable de lui selon cette étude, loin derrière Alain Juppé (60%) et François Fillon (39%).
Dans un autre baromètre paru la semaine dernière dans Les Echos, Nicolas Sarkozy perd 15 points de popularité chez les sympathisants LR, tandis qu'un sondage Ifop pour Le Figaro de lundi ne lui donne que 29% d'intentions de vote à la primaire derrière Alain Juppé (38%).
Les déçus de Sarkozy
Ce coup de mou est accompagné d'une série de critiques dans son camp. Son ancienne ministre Valérie Pécresse, nouvelle patronne de l'Ile-de-France, a ainsi réclamé un inventaire de "notre mandat 2007-2012" sur RTL. DansLe Parisien, Gérald Darmanin, un proche de Xavier Bertrand qui a été pendant 18 mois porte-parole de Nicolas Sarkozy, récuse "l'orientation que le président de (son) parti semble prendre". "La ligne identitaire ne peut pas être l'alpha et l'oméga de la future campagne", argue-t-il.
Dans ce contexte, les autres prétendants, officiels ou présumés, ne se privent pas de commentaires. Désormais totalement libre de parole, Nathalie Kosciusko-Morizet dénonce depuis une semaine la position de son parti sur l'extension de la déchéance de nationalité. Lundi matin, Hervé Mariton a tout simplement estimé que Nicolas Sarkozy n'était plus en position de se présenter à la primaire de droite. "J'ai cru en Sarkozy, mais il m'a déçu. J'ai du respect pour lui mais il faut des hommes neufs", a expliqué sur France 2 l'élu de la Drôme, candidat à l'investiture.
"J'aurais aimé retrouver l'enthousiasme de 2007 et pas les visages de 2012"
Pour certains, le problème ne s'arrête pas au seul débat sur la déchéance de nationalité. Lydia Guirous, écartée du porte-parolat du parti après les régionales, s'en prend ainsi à l'entourage de Nicolas Sarkozy. "Quand on voit l'orientation qui va être celle du parti, (...) c'est l'école buissonnienne", a-t-elle reproché mardi sur iTélé après avoir lancé : "J'ai un problème avec l'entourage (de Nicolas Sarkozy) qui à mon sens l'éloigne des Français. J'aurais aimé retrouver l'enthousiasme de 2007 et pas les visages de 2012."
Conscient de la "mauvaise passe" que traverse l'ancien Président, Jean-Pierre Raffarin a, lui, évoqué une "crise profonde" déclenchée par les résultats du "premier tour" des régionales, celui qui a vu le FN terminer en tête. Sur France Inter, mardi, l'ancien Premier ministre a toutefois prévenu : "Tous ceux, y compris certains de ses adversaires, qui le considèrent abattu auraient tort de sous-estimer son énergie."
Preuve en est, la contre-attaque est déjà préparée. Après une escapade, mercredi à Abou Dhabi, pour une conférence - publique et ouverte à la presse -, Nicolas Sarkozy va préparer une série de déplacements pour rencontrer ses électeurs. "Du terrain, du terrain, du terrain", résume un conseiller cité par Atlantico. Problème de cette stratégie : Alain Juppé, François Fillon, Bruno Le Maire et Jean-François Copé ont la même.
JDD - France
Yves Simon - "Un autre désir" - Audio - Musique
"Un autre désir"
France. Où est Charlie ?
“Un contraste saisissant” : c’est ainsi que The Daily Telegraphse souvient du 11 janvier 2015, qui avait vu plus de 1,5 million de personnes se rassembler à Paris sous la bannière “Je suis Charlie”.
Ce 10 janvier 2016, quelques milliers de personnes seulement ont convergé vers la place de la République pour assister aux dernières commémorations de la semaine.
La présence du chanteur Johnny Hallyday, tant de fois moqué par les journalistes de Charlie Hebdo, et qui a interprété une chanson écrite pour l’occasion, a nourri une polémique, ce qui fait dire auTemps de Genève que “Johnny Hallyday a chanté à Paris, malgré la haine”.
Courrier International - France
11.1.16
8.1.16
7.1.16
L’homme tué devant le commissariat de Barbès a été identifié
Un homme a été abattu par les policiers, jeudi 7 janvier, vers 11 h 30, alors qu’il tentait d’entrer dans un commissariat de police du quartier de Barbès, dans 18e arrondissement de Paris. Décrit comme « menaçant » par la police, il était armé« d’une arme blanche de type feuille de boucher » et portait également un dispositif explosif « factice ».
Selon la Place Beauvau, l’homme a crié « Allah Akbar ! » en tentant de s’en prendre à un policier à l’accueil « avant d’être atteint par des tirs de riposte des policiers ». L’individu, qui ne portait pas de papiers sur lui, a été identifié en fin d’après-midi. Son nom n’a pas été révélé. Il aurait été mis en cause pour vol en 2013, selon des sources proches de l’enquête.
Selon le procureur de la République, François Molins, « ont été découverts sur lui un téléphone portable et un papier sur lequel figurent le drapeau de Daech [acronyme arabe de l’organisation Etat islamique] et une revendication non équivoque en langue arabe ».
La section antiterroriste du parquet de Paris a donc été saisie, et une enquête a été ouverte pour tentative d’assassinat sur personnes dépositaires de l’autorité publique en relation avec une entreprise terroriste.
L'image du jour - 07-01-2016 - Comment on voyait le futur en 1930
Description : Un magazine allemand en 1930 avait imaginé le futur. On peut voir des femmes faire un appel vidéo avec leur enfant, comme on le fait aujourd'hui avec Facetime ou Skype.
6.1.16
Maroc - Déchets ménagers Entre 700 et 1.000 tonnes collectés à Fès
La collecte quotidienne de déchets ménagers aux niveaux de six arrondissements que compte la cité Idrisside varie entre 700 et 1.000 tonnes, selon la commune urbaine de Fès.
La société délégataire du service de collecte de déchets ménagers qui emploie quelque 1.160 personnes gère le secteur du ramassage des ordures à Fès moyennant une enveloppe budgétaire annuelle de 138 millions de DH, a indiqué la commune urbaine en marge d'une rencontre qui a réuni récemment le maire, Driss Azami Idrissi et le directeur général de cette société.
Cette rencontre a été une occasion pour rapprocher les visions entre la mairie et la société délégataire du service de collecte de déchets ménagers, a fait savoir la même source, relevant qu'il a été procédé à la mise en place d'un plan d'action visant notamment l'amélioration de la qualité du nettoiement et de la collecte des ordures dans les six arrondissements de la ville, outre l'éradication des bacs en galvanisé ainsi que l'introduction des bacs à papier dans les établissements scolaires.
Pour le président de la commune urbaine de Fès, la société est appelée à multiplier des rondes et régler les problèmes les plus apparents de malpropreté en particulier dans des secteurs stratégiques ciblés, en donnant la priorité aux quartiers défavorisés, tel que défini au décret d'agglomération, notamment : les quartiers surpeuplés ou les règles de propreté ne sont pas respectées, les principales artères commerciales et les sites les plus fréquentés par les touristes.
Azami Idrissi, qui a appelé à l'application de la règle «pollueur-payeur», a tenu à préciser que la commune devra, elle-aussi, numéroter les rues, aménager les parkings, organiser les marchands ambulants, lutter contre les souks clandestins et aviser, avertir et pénaliser les producteurs de déchets ou gravats.
Pour sa part, le directeur général de la société délégataire du service de collecte de déchets ménagers, Aziz El Badraoui, a souligné la volonté de la société de ne ménager aucun effort pour renforcer la communication tous azimuts, la collecte de nuit notamment dans les principaux arrondissements de la ville et assurer ainsi une amélioration structurelle du service.
Par ailleurs, la ville de Fès est déjà dotée d'une décharge publique contrôlée, qui constituait une première au niveau national voire au niveau de l'Afrique et ce, dans la gestion moderne des déchets solides tout en permettant la préservation de l'environnement de la région.
Cette décharge, située dans la commune Aïn Beida traite quelque 900 tonnes de déchets solides par jour dont près de 700 tonnes d'ordures ménagères.
La sirène italienne Silvana Pampanini n'est plus
L'actrice et beauté italienne Silvana Pampanini est décédée à l'âge de 90 ans, ont rapporté mercredi les médias locaux. Elle a été l'une des stars de cinéma les plus connues de l'après-guerre.
Silvana Pampanini, qui avait été hospitalisée après être tombée malade en octobre selon le journal Corriere della Sera, a joué dans plus de 50 films au cours de sa carrière, notamment dans les années 50.
Cette brune voluptueuse aux grands yeux, surnommée Nini Pampan en France, avait acquis la notoriété en perdant le concours de Miss Italie en 1946, ce qui avait provoque un tollé dans la presse populaire. Elle a tourné au côtés de Buster Keaton, Marcello Mastroianni, Alberto Sordi, Toto et Jean Gabin.
Elle a incarné la beauté italienne à travers le monde, avant d'autres sirènes italiennes comme Sophia Loren et Gina Lollobrigida.
Très courtisée
Silvana Pampanini ne s'est jamais mariée mais aurait été courtisée par beaucoup d'hommes célèbres, du dirigeant cubain Fidel Castro à l'ex-roi d'Egypte Farouk, en passant par les acteurs Orson Welles et Omar Sharif.
Catholique pratiquante, elle ne jouait plus qu'occasionnellement depuis les années soixante. Elle avait arrêté sa carrière à plein temps pour s'occuper de ses parents âgés.
Belgique - Partouze entre militaires et policières au commissariat en pleine alerte terroriste!
Exclusif: L’affaire impliquerait deux inspectrices de police de la zone Ouest et huit militaires.
L’information s’est propagée comme une traînée de poudre ces derniers jours au sein de la police. Dans plusieurs zones de la capitale, c’est devenu le sujet de conversation du moment. Huit militaires qui partouzent avec deux policières dans un commissariat, forcément, ça choque, ça interpelle, et ça alimente les conversations entre collègues.
Les faits dateraient d’il y a moins d’un mois. Ils se seraient produits au commissariat de Ganshoren et impliqueraient deux policières et huit militaires. Le chef de corps de la zone Ouest ne confirme pas, mais nous y reviendrons plus loin.
Ce qui est certain, c’est que lors du passage au niveau 4 d’alerte terroriste sur Bruxelles, le commissariat de Ganshoren s’est transformé en site d’accueil pour une vingtaine de militaires. Un étage du bâtiment a spécialement été aménagé en dortoir afin qu’une partie des Chasseurs ardennais puissent y rester la nuit. Ils y ont logé pendant deux semaines au total, avant de migrer une semaine vers le commissariat de Jette.
Pour éviter les longs déplacements vers leur caserne, ces militaires restaient ainsi dormir au commissariat de Ganshoren, une fois leur service terminé, à savoir dès 22 h, chaque soir.
À l’arrivée des militaires dans ce commissariat, plusieurs policiers de la division de Ganshoren ont affirmé que leurs collègues féminines étaient déjà "toutes chaudes et toutes folles" à l’idée de recevoir ces hommes en uniforme.
Selon nos informations , un soir, deux policières, une appartenant à la division de Ganshoren, et l’autre travaillant au dispatching de la zone, seraient passées à l’acte avec huit des vingt militaires dormant sur place.
DH - Belgique
Inscription à :
Articles (Atom)