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19.1.13
Photos - Animaux - Le requin joueur
DEL VILLAR/CATERS NEWS AGENCY
Un requin-tigre s'est pris d'affection pour un plongeur. Le requin-tigre fait partie des espèces de requin dangereux pour l'homme.
Photos - Animaux - Au Canada, Les ours dansent!
CATERS NEWS AGENCY/SIPA
L'image du jour 19-01-2013
Festival de sculpture sur neige en Chine
Sculpture de neige réalisée dans le cadre du festival de Harbin, en Chine.
Sheng Li/REUTER
Sheng Li/REUTER
Desenho - "Une impression"
18.1.13
Photo - Oliana Mira
OLIANA MIRA
(ma petite-fille)
Photo - Belles places du Monde - Tian'anmem - Chine
Par Nicolas Alamone, publié le
Faim dans le Monde: Un affreux gâchis
La moitié de la nourriture est jetée.
Près de quatre milliards de tonnes de nourriture sont produites chaque année sur la planète, mais 1,2 à 2 milliards ne seront jamais consommées, affirme une étude réalisée par l'Institut (londonien) du génie civil, qui fait grand bruit.
Cause du gaspillage : des récoltes mal faites, des déficiences dans le stockage et le transport et l'irresponsabilité des distributeurs et des consommateurs.
En ce qui concerne la nourriture en supermarché, 30 à 50% de ce qui est acheté dans les pays développés sera jeté par les clients, la plupart du temps à cause de leur mauvaise compréhension des mentions "à consommer de préférence avant" et "date limite de consommation", précise le rapport. En outre, les offres promotionnelles et les remises quantitatives encouragent les consommateurs à acheter plus que ce dont ils ont besoin. Et à remplir les poubelles en conséquence.
Cause du gaspillage : des récoltes mal faites, des déficiences dans le stockage et le transport et l'irresponsabilité des distributeurs et des consommateurs.
En ce qui concerne la nourriture en supermarché, 30 à 50% de ce qui est acheté dans les pays développés sera jeté par les clients, la plupart du temps à cause de leur mauvaise compréhension des mentions "à consommer de préférence avant" et "date limite de consommation", précise le rapport. En outre, les offres promotionnelles et les remises quantitatives encouragent les consommateurs à acheter plus que ce dont ils ont besoin. Et à remplir les poubelles en conséquence.
Manoel de Oliveira, un cinéma marqué par le doute
Hospitalisé en début d'année, le réalisateur portugais, 104 ans, prépare un nouveau film. Accordant rarement des interviews, il parle ici de la vie, du cinéma et de la foi.
Vos projets inaboutis sont aussi nombreux que ceux portés à l'écran.
MANOEL DE OLIVEIRA C'est exact. Mais ma filmographie a l'Histoire pour fil rouge. Aniki-Bobó [son premier long-métrage en 1942 sur le quotidien d'enfants des quartiers populaires de Porto] représente en partie mon enfance et les films qui ont suivi ont acquis un caractère toujours plus historique. Mes films évoquaient la plupart du temps des événements historiques. Puis je me suis intéressé à l'histoire du cinéma. Aujourd'hui, on considère le cinéma comme un mouvement. Mais le mouvement n'existe pas. Ce qui existe, ce sont les choses qui évoluent dans l'espace. Et cela représente du temps. Quand les frères Lumière ont réalisé à trois reprises un film sur la sortie d'usine des ouvriers, ils ont voulu imprimer du mouvement à des personnages.
Vous avez eu l'idée audacieuse de filmer l'histoire du Portugal à travers ses défaites dans Non, ou la vaine gloire de commander (1990). Pourquoi un tel choix ?
Camões fait dire au vieux du Restelo [personnage des Lusíadas – épopée nationale écrite au XVIe siècle – qui symbolise les sceptiques quant au succès des conquistadors portugais] la chose suivante : "Prenez garde aux victoires, car elles peuvent produire des défaites." Et c'est ce qu'il s'est produit. Tout ce que nous faisons laisse présager une défaite. Un philosophe a affirmé que l'Histoire était finie, car, désormais, on écrit des romans. Et dans un film historique, personne ne raconte fidèlement les événements.
L'Histoire est-elle, d'une certaine façon, une fiction ?
C'est une fiction. Plus nous en sommes conscients et moins nous avons l'illusion de réaliser véritablement un film historique. [Changeant de sujet ou peut-être pas – note de l'intervieweur] Dans Guerre et Paix, un noble est blessé et sait qu'il va mourir, il se demande ce qu'est la mort. Il regarde autour de lui et voit une porte. Il dit alors : "Ah, c'est une porte !" C'est une porte qui a une sortie mais dont on ne connaît pas l'entrée.
Vous pensez qu'il y a quelque chose derrière la porte ?
Le doute existe. Saint Paul disait que si le Christ n'était pas ressuscité toute notre foi serait vaine. La religion elle-même est empreinte de doute. Personne ne peut dire ce qu'il y a derrière la porte.
Outre l'Histoire, il y a un autre thème central dans votre œuvre, celui des amours frustrés.
La vie est une défaite. Les gens vivent dans la défaite. On naît à contrecœur et nous ne sommes pas maîtres de notre destin.
La persistance est un des aspects les plus admirables de votre parcours, la notion que vous aviez un chemin à suivre même si le public ne le comprenait pas.
J'ai été élevé dans une famille catholique. Un jour, un prêtre, ami de mon grand-père, rend visite à l'hôpital à un autre prêtre et lui dit : "Ah ! tu as vraiment très bonne apparence." Le malade lui répond : "Je n'ai pas à me plaindre de mon apparence." Cette anecdote répond à beaucoup de choses. L'apparence ne permet pas de tirer de conclusions.
Mais la conviction que votre cinéma était différent vous a-t-elle aidé à ne pas vous décourager ?
J'admire les saints... plus que les révolutionnaires.
Pour quelle raison ?
Parce que les saints œuvrent dans l'abstrait.
Proposez-vous au spectateur d'être ouvert à l'idée de mystère ?
Le monde est complexe, incompréhensible, sans doute moins pour ceux qui croient fermement à quelque chose que pour ceux qui vivent dans le doute. Ce que je leur propose, c'est le doute. Le doute est une manière d'être.
Et vous gardez la foi dans le cinéma ? Ou là aussi vous éprouvez des doutes ?
C'est la même chose que d'avoir foi en l'honneur. Mais qu'est-ce que l'honneur ?
COURRIER INTERNATIONAL
Images du Monde - Chine - des chats bons à manger!
HAP/Quirky China News/rex/sipa
En Chine, des activistes ont réussi à sauver 1.000 chats qui partaient en direction d'un restaurant à bord d'un camion qui s'est retrouvé accidenté. Accident qui s'avère bienvenu pour ces petits félins.
La Suisse grelotte sous un froid sibérien
En Suisse romande, le mercure est descendu jusqu'à -12 à Vuisternens-devant-Romont (FR) et à Oron (VD), selon meteonews.
En montagne, le froid était encore plus mordant: -17 au Glacier des Diablerets (VD), -19 au Gornergrat (VS), -18 au Grand St-Bernard (VS), -21 au Jungfraujoch (VS).
La Brévine (NE) n'a pas démenti sa réputation d'endroit le plus froid du pays avec -23 degrés. Le Plateau n'a pas échappé aux basses températures puisque les météorologues ont relevé -13 à l'aéroport de Zurich.
La neige est également tombée par endroits. L'aéroport de Bâle-Mulhouse a carrément dû interrompre les vols entre jeudi 17 heures et vendredi matin. Mais c'est surtout l'est de la Suisse qui s'est vu recouvrir d'une légère couche blanche, comme à Pfäffikon (ZH) avec 10 cm de neige fraîche. En Autriche, il est même tombé 40 cm à Bregenz. (ats/Newsnet)
Dopage: Ce qu'Armstrong nie ou tait
S'il a reconnu s'être dopé pour gagner le Tour de France, Lance Armstrong a
minimisé son rôle dans l'organisation du dopage au sein de l'US Postal, a
défendu le sulfureux Michele Ferrari et a nié toute tentative de couvrir un
contrôle positif avec l'aide de l'UCI.
SON RÔLE AU SEIN DE L'US POSTAL : «Jamais de directive»
Non, Lance Armstrong n’était pas le grand organisateur
du dopage au sein de l’US Postal. L’ancien septuple vainqueur du Tour de France
n’a même jamais forcé ses coéquipiers à se doper. « J’étais le leader, pas
le directeur sportif ou le manager. Est-ce que je pouvais (licencier quelqu'un
dans mon équipe qui ne se dopait pas) ? Je suppose que je le pouvais, mais je ne
l'ai jamais fait (...). Il n'y a jamais eu un ordre ou une directive pour dire
''Tu dois le faire si tu veux participer au Tour, si tu veux faire partie
de l'équipe''. Cela n'est jamais arrivé».
Plusieurs anciens coéquipiers, comme Christian Vande Velde, ont pourtant témoigné sur la façon dont Lance Armstrong les poussait à se doper : « En tant que leader, je montrais l’exemple, a-t-il reconnu du bout des lèvres. Nous étions dans un environnement compétitif. Nous étions des adultes, nous faisons des choix et certains dans l’équipe ont refusé de le faire. (…) D’ailleurs, ces gars ont continué à le faire quand ils ont changé d’équipe. »
Plusieurs anciens coéquipiers, comme Christian Vande Velde, ont pourtant témoigné sur la façon dont Lance Armstrong les poussait à se doper : « En tant que leader, je montrais l’exemple, a-t-il reconnu du bout des lèvres. Nous étions dans un environnement compétitif. Nous étions des adultes, nous faisons des choix et certains dans l’équipe ont refusé de le faire. (…) D’ailleurs, ces gars ont continué à le faire quand ils ont changé d’équipe. »
SES RELATIONS AVEC MICHELE FERRARI « Un homme bien »
Qui était le
véritable responsable du système de dopage à l’US Postal ? Lance Armstrong ? Le
directeur Johan Bruyneel ? Ou l’ancien médecin Michele
Ferrari, banni à vie depuis l’enquête de l’USADA ? Contre un million de dollars, l’Italien
aurait fourni pendant des années produits dopants et techniques pour
tricher. «Pour moi, c'était un homme bien, un homme intelligent. Je continue
à le penser aujourd’hui», s’est contenté de répondre Armstrong. « Je ne
suis pas à l’aise pour parler d’autres personnes. »
DES CONTRÔLES POSITIFS COUVERTS : « Jamais »
C’est une des accusations qui ébranlaient l’Union
cycliste internationale. Selon Tyler Hamilton, ancien coéquipier du Boss, Lance
Armstrong avait été contrôlé positif à l’EPO lors du Tour de Suisse 2001 mais
avait couvert l’affaire en donnant notamment 125.000 dollars à l’UCI. «Ce
n'est pas vrai. Il n'y a pas eu de contrôle positif, pas de paiement ou de
rencontre secrète avec le laboratoire. Cela n'est pas arrivé. Je ne suis pas un
fan de l'UCI mais il n'y a pas eu de contrôle positif à couvrir avec lui,
a-t-il répondu. Il y a eu une donation à l'UCI mais ce n'était pas pour
couvrir un contrôle positif. (…) Ils m’ont demandé de l’argent. J’étais retraité
(à l’époque du don, il était encore coureur, ndlr) et riche. Je me suis dit :
''Pourquoi pas ?'' » Le coureur explique qu’éviter les contrôles
positifs était seulement «une question de timing » : « A l’époque,
il n’y avait des contrôles que pendant les courses. Depuis, tout a changé avec
le passeport biologique et les contrôles hors compétition. » Ce qui
l’aurait poussé à rester propre pour son retour en 2009.
A. T.-C.
L'image du jour 18-01-2013 - Panda prend la pose
Un panda rouge prend la pose
Un panda rouge profite de son repas après l’examen médical de la vétérinaire Hanna Vielgrader et de sa gardienne Nicole Samek au zoo Schoenbrunn de Vienne. REUTERS/Herwig Prammer
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