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13.12.11
Attentat terroriste à Liège (Belgique): déjà 5 morts
12.12.11
Cristiano Ronaldo descendu par la presse espagnole
Force est de reconnaître que Cristiano Ronaldo est passé complètement à côté de son Clasico samedi soir. Manque d'altruisme, coups francs dans le mur, passes imprécises: bref, la star portugaise a agacé tout Santiago Bernabeu samedi soir. Si ce n'est un tir puissant en première mi-temps, il a été fantomatique, multipliant les mauvais choix. Et ce n'est pas la presse espagnole qui écrit le contraire.
Il est marqué par ce complexe dont il souffre dans les grands matches. Il a eu deux occasions très nettes. Il a disparu au moment où le Real avait besoin de lui. Il a de nouveau perdu son duel face à Lionel Messi", résumait avec acrimonie le quotidien pro-madrilène AS.
1/10: sa note dans Marca
Pire: le journal Marca lui a attribué un 1, la pire note parmi les joueurs madrilènes. Hormis son but en finale de la Copa del Rey, il faut bien dire que Ronaldo n'a jamais marqué les Clasico de son empreinte. Les statistiques de Messi, en comparaison, doivent faire fantasmer CR7: 13 réalisations en 15 matchs, soit un but en moyenne toutes les 104,5 minutes, sans compter les passes décives. C'est le jour et la nuit entre les deux joueurs.
Sifflé par une partie du public
Les supporters de Bernabeu attendent bien plus d'un joueur qui a coûté 90 millions d'euros.
1/10: sa note dans Marca
Pire: le journal Marca lui a attribué un 1, la pire note parmi les joueurs madrilènes. Hormis son but en finale de la Copa del Rey, il faut bien dire que Ronaldo n'a jamais marqué les Clasico de son empreinte. Les statistiques de Messi, en comparaison, doivent faire fantasmer CR7: 13 réalisations en 15 matchs, soit un but en moyenne toutes les 104,5 minutes, sans compter les passes décives. C'est le jour et la nuit entre les deux joueurs.
Sifflé par une partie du public
Les supporters de Bernabeu attendent bien plus d'un joueur qui a coûté 90 millions d'euros.
7SUR7 - BELGIQUE
Sarkozy est-il toujours le premier flic de France ?
Le chef de l’Etat a construit son image sur ses liens avec la police. A quelques mois de la campagne, cette image de « premier flic de France » est devenue dérangeante et l’Elysée tente de s’en débarrasser. Une belle leçon de marketing.
Pour une fois, il n’était pas là. Lundi après-midi, avaient lieu les obsèques du lieutenant Eric Lalès de la Bac d’Aix-Provence, décédé jeudi après avoir été touché par une rafale de Kalachnikov. Si Claude Guéant était présent à la cérémonie, Nicolas Sarkozy était absent. Il s’était pourtant rendu vendredi au chevet du policier à Marseille, peu avant sa mort.
Sa visite à Marseille lui a, en tous cas, valu une belle polémique. Nicolas Sarkozy a été accusé d’avoir annoncé la mort de policier jeudi dans la journée alors que certains de ses collègues prétendaient qu’il serait décédé dans la nuit précédente. Une rumeur rapidement démentie. De même, l’annonce de l’octroi de 150 nouveaux fusils à pompe aux Bac (une revendication du syndicat policier de droite Alliance) a également été critiquée dans les rangs de la police. Unité SGP-FO, le syndicat proche de la gauche, dénonçant le « problème de fond » non réglé du manque d’effectifs.
Il est vrai que le terrain de la sécurité est glissant pour le chef de l’Etat. Et encore, ces derniers temps, l’Elysée a voulu éviter toute accusation de surenchère. Nicolas Sarkozy ne s’exprime presque plus sur l’immigration, il n’a pas dit un mot sur l’affaire Agnès. A Marseille, si la visite au policier était inévitable, le chef de l'Etat s’est contenté d’une déclaration dans la cour de l’Hôtel de Police de Marseille et non d’une conférence de presse grandiloquente avec passage des troupes en revue. Ce déplacement n'était même pas prévu au départ, le chef de l’Etat était présent dans la ville pour un tout autre évènement, en l'occurence le Congrès du PPE.
LIRE LA SUITE SUR MARIANNE 2
Sarkozy habló de "dos Europas"
El presidente francés Nicolas Sarkozy afirmó que "hay claramente dos Europas" tras la negativa británica de adherirse a un proyecto de reforma de los tratados para reforzar la disciplina fiscal en la Unión Europea, en una entrevista publicada este lunes por el diario Le Monde.
Sarkozy admitió haber fracasado en su intento, junto a la jefa del gobierno alemán Angela Merkel "para que los ingleses sean parte de ese acuerdo", y agregó que "ahora hay claramente dos Europas, una que quiere más solidaridad entre sus miembros y más regulación y otra que sólo tiene apego a la única lógica del mercado".
El presidente destacó sin embargo que Europa "necesita a Gran Bretaña" y que una salida de Londres del mercado único europeo "no está a la orden del día".
Como ya explicó el pasado viernes en Bruselas, Nicolas Sarkozy recaló que las "demandas (del primer ministro británico David Cameron) sobre los servicios financieros no eran aceptables".
"La crisis vino por la falta de regulación de las finanzas, nunca podríamos haber aceptado dar marcha atrás. Europa tiene que ir hacia una mayor regulación", dijo Sarkozy a Le Monde.
A pesar del "no" británico, Nicolas Sarkozy no concibe la salida de Gran Bretaña del mercado único de la UE.
"Necesitamos a Gran Bretaña. Sería empobrecedor asistir a su salida que, por suerte, no está a la orden del día", dijo.
El presidente francés recalcó los lazos con Londres y recordó que ambos países intervinieron juntos en Libia.
"Con Londres compartimos nuestro apoyo a la energía nuclear y una cooperación fuerte en defensa, que es esencial", añadió.
Los europeos se pusieron de acuerdo el pasado viernes para reforzar la disciplina presupuestaria para salvar la zona euro.
Todos los países de la Unión Europea aceptaron revisar los tratados europeos, excepto Gran Bretaña.
EL DIA - ARGENTINA
10.12.11
El gran classico - Madrid-Barcelona
Este sábado, en el Bernabéu, nueva entrega del partido más largo del mundo. El clásico Madrid-Barça (22.00 horas, AUT, LaSexta, Radio MARCA y MARCA.com) se reedita por octava vez en el último año, aunque se trata de un partido diferente al que ambos equipos llevan jugando desde el advenimiento de Pep Guardiola al banquillo del Camp Nou.
Cristina juró con referencias a Néstor Kirchner y fuera de todo protocolo
La presidenta, Cristina Kirchner, asumió nuevamente como primera mandataria. Juró en su cargo y dijo que si no cumple con la Constitución "que Dios, la Patria y él, me lo demanden". La banda presidencial, en contra del cualquier protocolo, se la puso su hija, Florencia Kirchner. El acto fue inaugurado por el ex vicepresidente Julio Cobos. Una multitud liderada por la agrupación kirchnerista La Cámpora está en la Plaza del Congreso.
"Yo, Cristina Fernández de Kirchner juro por Dios, la Patria y los Santos Evangelios ejercer con lealtad y patriotismo el cargo de la Presidenta de la Nación y observar y hacer observar en lo que de mí dependa la Constitución Argentina y si así no lo hiciera, que Dios, la Patria y él (Néstor Kirchner) me lo demanden", manifestó. “Oh yo soy argentino, soy soldado del pingüino”, comenzaron a cantar los diputados y militantes kirchneristas que ingresaron al Congreso después de estas palabras de Cristina.
CLARIN - ARGENTINA
Un avion s’écrase sur un bidonville de Manille: au moins 13 morts
L'avion s'est embrasé juste après l'accident, a précisé Florencio Bernabe, le maire de Paranaque, une ville située dans la banlieue de Manille, la capitale philippine. Les élèves n'étaient pas en cours quand l'avion s'est écrasé, mais les secours recherchaient des personnes qui auraient pu être tuées ou blessées au sol, a-t-il ajouté.
Peu après le décollage, le pilote avait demandé à effectuer un atterrissage d'urgence.
Les pompiers ont annoncé que les seules personnes se trouvant à bord de l'appareil, le pilote et le co-pilote, étaient morts dans l'accident, selon M. Bernabe.
Peu après le décollage, le pilote avait demandé à effectuer un atterrissage d'urgence.
Les pompiers ont annoncé que les seules personnes se trouvant à bord de l'appareil, le pilote et le co-pilote, étaient morts dans l'accident, selon M. Bernabe.
LE MATIN - SUISSE
Real/Barça - CLÁSICO DE LA LIGA - El dedo de Mourinho vuelve al Bernabéu
"Mou, tu dedo nos señala el camino". Este es el desagradable mensaje que se podía leer en una pancarta que colgaba hasta poco antes del clásico, en una de las gradas del estadio Santiago Bernabéu. Los aficionados blancos ya exhibieron esta pancarta el pasado agosto durante el Trofeo Santiago Bernabéu en el que los blancos se enfrentaron al Galatasaray.
El Real Madrid ha accedido sin embargo a las peticiones del Barça y ya ha retirado la pancarta ofensiva que hacía alusión a la agresión de Mourinho a Tito Vilanova durante el partido de Supercopa en el Bernabéu. Este incidente coincide, precisamente, con la presencia en el estadio blanco del segundo entrenador azulgrana dos semanas después de haber sido operado de la glándula parótida.
Poco antes de la retirada de la pancarta, los presidentes del Real Madrid y del Barça, Florentino Pérez y Sandro Rosell, han exhibido su cordialidad en la comida de las directivas de ambos clubs. "Transmito de parte del Real Madrid la satisfacción por que Tito Vilanova pueda disfrutar de este partido con todos nosotros", ha señalado el presidente del Real Madrid en alusión precisamente a la presencia del segundo entrenador azulgrana. Por su parte Rosell ha afirmado que Pérez es "un gran presidente y una gran persona, por lo no se puede tener una mala relación con él".
7.12.11
Les français ne veulent plus de Petit sarko!
Sondage d'opinion du "Parisien": Sarkozy marque le pas Omniprésent sur la scène européenne comme sur la scène nationale, le président sortant ne récolte pas, pour le moment, les fruits de son activisme. Au contraire, il affiche même une légère baisse d’un demi point au premier tour (24,5%). Notre enquête, qui a été réalisée dans les deux jours qui ont suivi son discours de Toulon, jeudi dernier, montre qu’il n’a pas bénéficié de ce rassemblement aux allures de meeting. En tenant à distance Marine Le Pen, le président sortant s’épargne toutefois le risque d’un «21 avril à l’envers» qui inquiétait certains de ses amis, il y a encore un mois. Mais le plus inquiétant pour lui est évidemment son score au second tour : six français sur dix ne veulent plus lui accorder leurs suffrages. Une mauvaise performance qui traduit davantage un rejet de sa personne qu’une adhésion à son rival, François Hollande. Autre mauvaise nouvelle pour le chef de l’Etat, à cinq mois du scrutin, ses réserves de voix restent très faibles : 38% seulement des électeurs de Marine Le Pen se reportent au second tour sur son nom, tandis que ceux de François Bayrou, choisissent en majorité, François Hollande.
Ligue des champions : "Un match important dans l'histoire de l'OM" selon Deschamps
L'Olympique de Marseille a obtenu mardi soir sa seconde qualification consécutive pour les huitièmes de finale de la Ligue des champions grâce à une victoire au forceps à Dortmund (3-2), acquise après avoir été mené 2-0 en première période. Un scénario aussi renversant que salvateur pour l'entraîneur Didier Deschamps, qui jubilait à l'issue de la rencontre : "Le foot c'est merveilleux. On était en très mauvaise posture, on a fait une première mi-temps très, très difficile. On a eu le bonheur de mettre ce but par Rémy juste avant la mi-temps. Rentrer à la pause à 2 à 0, ça aurait été très difficile. A la 85e minute, on est toujours mené 2 à 1. C'est quelque chose de fabuleux ce soir. On est passé tout près de n'avoir rien du tout, c'est une grosse performance collective. On y a cru jusqu'au bout, nos supporteurs qui étaient dans le stade aussi. C'est un match qui restera très important dans l'histoire de l'OM, avec la fierté d'être deux années de suite en 8e de finale".
L'entraîneur de l'OM a salué la performance de son équipe qui a évolué dans un dans un "contexte particulier", à savoir l'ambiance bouillante du Westfalenstadion, et a su se galvaniser pour aller chercher une victoire que plus personne n'attendait : "Il ne faut pas oublier qu'on était mené 2 à 0, et qu'on n'était pas loin de prendre un 3e but. C'est ça aussi la C1. On est capables de se sublimer avec l'énergie du désespoir à la fin. Etre capable d'arracher la victoire c'est quelque chose de très fort."
6.12.11
Greenpeace refroidit le nucléaire
Ah, elles sont bien gardées les centrales nucléaires françaises!... Il a suffi d'un petit groupe de pacifistes pour démontrer que l'on pouvait y entrer comme dans...une éolienne! Imaginons que ce soient des terroristes... Nous serions tous irradiés! Merci aux clowns (riches) de la politique de continuer d'essayer de nous prendre pour des cons!
L’intrusion de militants sur le site de Nogent-sur-Seine révèle des lacunes dans la sécurité.
Par SYLVESTRE HUET - LIBERATIONLa centrale nucléaire de Nogent-sur-Seine, le 5 décembre 2011.
«Société nucléaire, société policière», scandaient dans les années 70 les opposants à cette source d’énergie électrique. Hier, Greenpeace a parfaitement démontré que cette crainte ne s’est pas réalisée, du moins en France, où il est donc possible, pour un petit groupe de militants très déterminés et s’y prenant la nuit, de cisailler les clôtures qui entourent une centrale nucléaire - qui n’a donc rien d’un camp retranché militaire - puis de pénétrer sur le site en courant.
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